Chapitre 12 : Il est coupable

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Le lendemain, mon réveil se mit à sonner. Je l'arrêtai et mon frère n'est toujours pas arrivé depuis. Je pris mon repas seule comme avant. En priant bien fort. Je suis redevenue la fille comme avant m'interdisant toute sorte de bonheur. Je regardai encore l'heure et mon frère n'est toujours pas revenu. Je débarrassais les couvercles que le téléphone sonna.

_ Allo?

_ Bonjour, je suis le directeur. Ton frère n'est pas venu aujourd'hui. Il est malade ou il a quelque chose?

_ Non... enfin je ne pense pas. Il n'est pas avec vous?

  Qu'est-ce que mon frère a-t-il fait encore?

Et le problème ne s'arrêta pas là. La police frappa à ma porte.

_ Euh... Oui??? dis-je paniquée est très surprise de leur présence.

_ Nous sommes de la police.

_ Oui j'ai remarqué ça.

_ Votre frère n'est pas encore arrivé?

_ Non...

_ Laissez-nous entrer s'il vous plaît, j'ai un mandat de perquisition.

   Ils étaient armés de carton pour pouvoir prendre n'importe quelles énigmes et des gants. Comme si un crime avait eu lieu dans mon appartement.

_ Puis-je savoir ce qu'il se passe? Est-ce... que mon frère a fait quelque chose?

_ Votre frère a attaqué un journaliste qui se nomme Jason Fourrier.

  Je ne savais pas quoi faire mais pourtant, mon frère m'avait conseillé, lorsqu'il était en prison de ne pas aller le voir. Et pourtant une partie de ma mémoire a été retrouvé grâce à ce journaliste. Comme si... mon frère voulait me cacher quelque chose dans cet incident. La chose la plus compromettante était que mes parents ont été tués avant que l'incendie de mon ancienne demeure ait pris feu. Ils étaient poignardés. Mon frère et moi étions dans cette maison. Effectivement c'était le jour de mon anniversaire. Et on ne sait pas qui a tué mes parents, avant cet incendie. Mais mon frère a volontairement mis le feu pour pouvoir cacher les preuves. Mais pourquoi a-t-il fallu qu'il fasse ça?

   Le lendemain je traînais des pas ne ssachant quoi faire, que soudainement je vis une foule devant mon appartement. C'était des journalistes. Je me disais que ce n'était pas gagné et que j'aurai encore des tas d'ennuis. Lorsque je m'approchai, tous les journalistes coururent vers moi comme si j'étais une star...

_ Je viens de Canal w, tu es bien la petite sœur de William Turner. J'aimerai écouter ton histoire...

   J'essayai tant bien que mal, m'échapper à cette foule même si cette question que les journalistes me posent je les pose moi-même tel que:

_ Où est ton frère en ce moment?

  Arrivé chez moi je fermai la porte à clef avec un grand soupir d'angoisse. Le téléphone sonna. Je décrochai:

_ Je suis le proprio. Tu te souviens de moi.

_ Oui.

_ Quand est-ce que tu t'en vas? Je ne veux pas vraiment te dire ça mais c'est vraiment difficile pour moi. Et je suis sûr que tu ne veux pas rester dans un endroit où tout le monde te regarde si froidement. N'est-ce pas? Tu as déjà commencé à chercher un nouvel appartement?

  Pétrifiée de ce que je venais d'entendre, j'ai l'impression que ce n'est toujours pas finit avec ce passé là où l'on me chasse sans arrêt.

_ Je suis désolée. Donnez-moi un peu de temps s'il vous plaît. Je suis vraiment dés... que la personne a raccroché.

  Puis le téléphone sonna encore une fois.

_ Allo?

_ Je suis du journal Daily gougle, que je raccrochai immédiatement.

  Et la sonnerie continua de sonner et de sonner que j'étais dans une déprime totale.

   La nuit tomba est cela devenait calme. J'entendais plus les journalistes. Que soudain, quelqu'un toqua à la porte. Mais pour faire abstraction de tout ça je mis le cadeau musical que Leo m'avait offert et je me concentrai qu'à cette musique.

_ Amanda? entendis-je la voix de Leo rien qu'en écoutant la musique. Amanda, tu es là? 

  Non je ne rêvais pas. C'était bien la voix de Léo. Je me retournai et je m'approchai de la porte tout doucement.

   Je ne voulais plus qu'il s'occupe de moi. Je ne voulais plus qu'il ait des problèmes à cause de moi. Après une minute d'attente et de silence je me suis dis qu'il était parti. J'ouvris la porte et il était là. Et il me sourit.

  Je le fis entrer sans savoir quoi lui dire. Sans même lui dire bonsoir. Tout ce faisait dans le silence. Je l'accompagnai jusqu'au salon.

_ Je sais à propos de ton frère, me dit-il que je restai figée.

Cœur innocent 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant