4.Vernost'

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Près d'une voiture de coloris noire, se trouvait un homme habillé élégamment.
Il était de dos et portait un pantalon beige avec une veste rouge à rayure blanche.
J'observai cette veste, elle me rappelait vaguement quelque chose ou plutôt quelqu'un.
Je décidai de me rapprocher de l'homme pour observer son visage.
Mes pas se faisaient rapides mais silencieux. Et arrivés près de l'homme, j'allai pour poser ma main sur son épaule droite pour qu'il se retourne, mais je fus devancé par celui-ci...

 Et arrivés près de l'homme, j'allai pour poser ma main sur son épaule droite pour qu'il se retourne, mais je fus devancé par celui-ci

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Mes yeux s'illuminèrent en le reconnaissant.
Folle de joie, je sautai dans les bras de l'homme qui m'avait tant manqué.
Mes larmes commencèrent à quitter mes yeux pour rouler sur mes joues, je ne pouvais les retenir plus longtemps.
D'habitude je ne pleurai que rarement, mais depuis qu'il m'avait quitté, beaucoup de choses avaient changé comme mon équilibre mental.
Je ne savais plus réellement comment vivre.
Bien sûr, il y avait eu Elisabeth qui était une très bonne amie, mais au fond de moi, je savais qu'elle n'aurait pas réussi à me faire oublier mes perpétuelles angoisses.
Mais maintenant, il était avec moi et tout irais pour le mieux.

Ne voulant plus le lâcher, je m'accrochai à lui fier d'avoir retrouvé l'unique amour de ma vie.
Son parfum qui me chatouillait délicatement les narines me rendait la plus heureuse des femmes éloignant les derniers mois qui s'étaient écroulées.

Cependant, alors que je me reposais sur son épaule et que mon esprit était pour une fois détendu, je reçu de vives d'insultes dans mon oreille.

Suite à ça, je me décrochai de Charles, pour voir si c'était bien lui qui me les disait, mais ce n'était pas le cas. Il me souriait alors que les insultes persistaient.

Je me retournai pour trouver la source du bruit, et vis une enfant arrivée sur ma droite.
Cette petite tenait une poupée dans ses mains et se plaça devant moi.
Attendrie, je la pris dans mes bras et elle me souria avant de me pousser brutalement au sol.

Apeurée, j'ouvris brusquement les yeux en les écarquillant à de nombreuses reprises.
En reprenant mes esprits, un plafond classique rappelant le style français.
Des insultes de toutes sortes se faisaient aussi entendre.

J'analysai la pièce et vis que je me retrouvais dans un bureau où de nombreux ouvrages étaient disposés à foison.

Il y avait aussi un drôle de petit homme qui était de dos et qui écoutait une course de chevaux avec un bouteille à la main.
Cet impoli insultait les coureurs de chevaux qui semblaient perdre.

Agacée, je décidai de me lever mais une violente douleur à l'épaule droite me fit crier.
Surprise baissai ma tête vers l'épaule souffrante et je vis qu'elle était entourée de bandages.

Les souvenirs d'Arthur Shelby tirant sur moi me revinrent aussitôt à l'esprit.

Mon cri, lui, sembla interpellé l'homme qui était sur sa radio car il se retourna vers moi.

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