Déjà Promise ? ; SASUHINA

💐Chapitre 3💐

PDV HINATA :

-Je suis désolée de t'annoncer qu'elle nous ont quittés.

Mon cœur se brise. Comment est-ce possible ? Pourquoi c'est moi qui doit subir cela ?

Après cette annonce, Kabuto est partis me laissant seule avec mes sombres pensée. Je n'ai pas bougé depuis 10 minutes. En boule dans mon lit d'hôpital, silence total. Soudain, quand je commençais à m'assoupir, je sens une présence à ma fenêtre.
Je me relève mais je ne vois rien à cause du soleil.

-Qui est la ? Demandais-je

-C'est moi. Dit une voix que je reconnais bien

-Shikamaru tu m'as fait peur.

-Ce n'était pas mon intention, désoler.

Il rentre dans la chambre et s'assoit sur mon lit avant de me prendre dans ses bras.

-Je suis désolée pour ta mère et ta sœur.

Je sens mes yeux me piquer et des larmes coule le long de mes joues. Je n'ai même pas été la pour elle. Je suis qu'une incapable.

-Comment elles...

-Personne ne le sait. Les forces spéciales on décrété un suicide et l'affaire à était classé. J'ai tenter de le chercher à mon tour, mais rien. C'est un mystère des plus total

Il s'approche de moi et me prend dans ses bras. Son étreinte me fait du bien et arrête mes pleurs.

-Shikamaru.... Aide moi....

Il me regarde, étonné, avant de pencher sa tête sur la droite.

-Qu'est ce qu'il y a ? Demanda t-il

-Je ne veux pas me mariée avec Kabuto. Avant, je me sentais capable de vivre cette vie, mais désormais.... Désormais que je sais que mon époux est Kabuto j'ai perdu cette force. Expliqua t-il

-Non. Je ne te laisserais pas tombé. Je te promets. Tu es ma meilleure amie.

Il resserre son étreinte et je commence à m'assoupir, dans ces bras, je me sens en sécurité, alors je m'endors en laissant tout mes problèmes derrière moi.

Je me réveille dans le même endroit que la dernière fois. Je suis cette fois-ci vêtue d'une robe noire, courte et un voile m'entoure la tête. Je traverse le lac de mes pieds nues.

Je retire le voile que j'ai sur la tête, il tombe délicatement sur le sol, et relâchent mes cheveux que je secoue pour les remettre en place. Je me demande tout de même quelle est cette endroit.
Je m'assois sous le même arbre, entourée de fleur, quand j'entends une voix féminine crier. Je me relève brusquement, surprise, et je me précipite dans la forêt, suivant le son inaudible du la voix aigu.
Quand j'entends clairement ce que dit la jeune fille je me pétrifie, et dès que je vois d'où provins cette voix, les larmes coule tout seul.
Ma petite sœur Hanabi, attaché à un arbre, une personne s'approche dangereusement d'elle, un kunai à la main.

-Non laisser Hanabi tranquille ! Criais-je

Personne ne m'entends. Personne ne me voix ni me remarque. C'est les lois de ce monde.