Partie 27

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Je suis vraiment désolé pour ce long moment que je suis reste sans écrire.
« Nek si ayi yitée rek ».
J’espère que cette partie vous plaira. Bisou de moi
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PVD HELENE (grand-mère de Laurenne)

Parfois j’ai envie de dire que ma petite fille me manque, mais je chasse cette pensée à la minute qui suit.

Je n’ai jamais toléré ce genre d’erreurs même avec mes filles. Je me rappelle de toujours les conseiller de fermer leurs cuisses parce que les garçons sont et restent tous les même. Leur seul but est de goûter à ton « gâteau au fraise » et ensuite t’abandonner comme une mal propre. Je n’aurai jamais pensé de toute ma vie que Laurène ferait ça un jour. Je ne sais pas ce qui lui ai passé par la tête.

Je ne suis pas mauvaise mais je pense que cette enfant a bien fait de ne pas vivre. Je l’ai aimé à la minute que je l’ai vu, elle était si mignonne mais quand je pense qu’elle est illégitime, de surcroit sa mère ne savait même pas qu’elle existait, j’en ai mal au cœur.

Vous imaginez que la pauvre petite grandisse, et se mit à demander à sa mère où est son père, ou qu’on lui raconte les circonstances dans lesquelles elle est née. Et même Laurène ne serait jamais contente les jours d’anniversaire de la petite, car ça lui rappellera sûrement la mort de son père… Voilà pourquoi je dis que Dieu sait bien ce qu’il fait. 

Quant à mon comportement, pour dire vrai, je ne sais pas trop ce qui m’a pris. J’y suis allé trop fort et je regrette.

J’étais vraiment énervé et j’y allais avec le cœur. La pauvre petite, elle doit maintenant me détester. Je n’en suis pas sûre mais je pense qu’elle est bien chez Anta.

Cette femme est comme l’ange envoyer du ciel pour ma Laurène. Elle l’aime sans attendre quoi que ce soit en retour. Elle est sincère et très honnête. Elle ne rate pas une seule seconde de dire la vérité à son amie et ça me rassure. Elle est entre de bonne main chez elle. Si seulement elle y est.
Il faut que je me rassure. Si elle est vraiment là-bas, je serai tranquille. Demain inChalaH, je passerai chez Anta pour m’assurer que Laurène est chez elle et surtout essayer de lui parler. Pour vu qu’elle m’écoute et revienne à la maison.

C’est vrai que j’ai toujours une dent contre elle, parce que je n’ai toujours pas digérer la pilule. Mais quoi qu’on dise c’est ma petite fille et sa mère ne cesse de se montrer dans mes rêves en pleurant et je n’aime pas ça du tout. Et surtout si son grand père rentre en voyage sans la trouver ici, je serai vraiment dans des problèmes.

Il est temps que je m’excuse auprès de ma petite fille et qu’elle revienne à la maison, sa maison.

Mais avant ça, il faut que je règle le cas de Maurienne. Elle pense que je suis folle pour ne pas essayer de réunir les preuves qu’il faut pour la foutre en prison. Je ne sais pas si ça sera suffisant mais j’ai qu’à même essayer de l’enregistrer au moment où elle affirmait avoir belle et bien tuer ma fille. Si elle savait comme je la déteste actuellement. Je ne suis pas vraiment du genre à vouloir du mal des autres mais il va vraiment falloir que je venge la mort de ma fille, il faut que justice soit rendu.

Je me dirige comme ça chez l’avocat de mon mari, Maitre Diagne pour qu’on puisse voir ce qu’on peut faire. J’en ai parlé à personne, même pas à Mathias (mon mari) qui reviendra d’ailleurs la semaine prochaine. Il va falloir que je mène cette bataille seule et je ne m’arrêterai que si Maurienne est derrière les barreaux.

(…)

-bonjour Maitre, je ne vous ai pas trop fait attendre j’espère

-madame Lopez, ne vous inquiétez pas, j’ai fini mon travail, je n’attendais que vous. Asseyez-vous

L'intarissableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant