MERCI DE LIRE LE PAVE A LA FIN
Après avoir échangé de simple banalité avec Manu, il décide d'installer le petit groupe à table et de leur apporte le menu puis leur laisse 5 minutes pour qu'il décide ce qu'il désir prendre, promettant " au p'tit lion et à lili" de se rencontrer après la fin de son service afin de pouvoir discuter plus longtemps, accompagnés bien sur par Elise.
Le début de repas se passa sans accro, chacun avait trouvés sont menu, les plats étaient vite servis, et le petit groupe en étaient actuellement au plat principal. Mais lorsqu'Elise s'absenta afin d'aller au toilette, la conversation entre Alice et Léon semblait tout d'un coup moins joyeuse que l'ambiance actuelle.
- Vu qu'Elise est au toilette je peux maintenant t'en parler librement. Tu n'as pas senti des regards sur nous durant le chemin, comme si on était surveillé, notamment durant la traversé du parc ?
- Tu me rassure! Ou pas en fait, je pensais que j'étais la seule à ressentir ça. C'est peut être parce que je suis de retour, mais je t'avoue que cela ne me rassure pas du tout.
- Vaux mieux ne pas que tu retournes à la cité ce soir, on ne sait jamais. Repart avec Elise en taxi directement, tu me fera signe dix minutes avant que tu veuilles partir, j'irai au toilette appeler un taxi de la gare routière.
- T'en fais pas. Et puis il ne faut pas s'en faire pour quelques regards. Il faut profiter des moment de bonheur, on ne sait jamais ce qui risque de nous tomber sur le coin de la gueule.
Si seulement j'avais su que ce que je venais de dire aller se concrétiser...
Après avoir fini de manger et de discuter tranquillement, je fis signe à Léon qu'il était temps qu'on parte, avec un signe des plus discret : un coup de pied dans le tibia, mais pas fort évidemment, je ne voudrais pas le blesser.
- Je vais vous laisser deux minutes entre vous les filles, je vais au toilette et on pourra y aller, ça vous convient ?
- Pas de problème pour ma part.
- Pour moi non plus. Vu que c'est moi qui est proposé de partir. Mais ça il ne faut pas le dire à voix haute devant Elise, elle pourrait se poser des questions.
Pendant que Léon était au toilette pour appeler un taxi, j'observe les environs pour voir si quelqu'un nous espionnes. La seule personne que je trouve suspecte actuellement c'est Manu. En effet, bien qu'il y est beaucoup de monde il prend la peine de venir nous voir toutes les cinq minutes, sans exagérer sur le temps. Normalement il ne fait jamais cela, c'est comme s'il voulait s'assurer de savoir quand va t-on partir. Je deviens sans doute parano à penser qu'on en a auprès de ma vie. Bien que j'ai quitté mon ancien groupe de mercenaire, je sais très bien qu'il ne m'en veulent pas, et qu'il serait près à m'aider si j'en avait besoin. Ce sont de bonne personne même si leurs activités ne sont pas forcement toute légale.
Après être sorti des toilettes, Léon part payer la note pendant qu'Elise et moi attendions dehors. Léon a du expliqué à Elise qu'il n'était pas préférable qu'on retourne à l'hôtel à pied au vu de la dangerosité des cités la nuit. Est ce qu'on lui ment ? A moitié car ce qu'il dit est vrai, mais on lui épargne certains détails afin qu'elle ne se sentent pas en sécurité.
Alors qu'on s'apprêtait à traverser un passage piéton tous ensemble afin de se diriger vers la gare routière où nous attends notre carrosse, quelqu'un qui courait sur le trottoir me fonça dessus, me faisant tomber au passage. Le type ne s'arrête pas et s'excuse encore moins. Quel connard putain. Je me relève facilement, regardant les dégâts subits, et mis à part mon portable qui a la vitre brisé, rien de cassé à l'horizon, et encore heureux. Rassurant les autres sur mon état actuelle, je décide de vite les rejoindre, sachant que le feu piéton aller bientôt passer au rouge. Je me dépêche de traverser afin de rejoindre les autres, mais entendant un bruit suspect venant de la file de voitures attendant à leur feu, je décide de tourner la tête vers celle ci, et la dernière chose que j'aperçus fut les phares de la voiture me fonçant dedans, m'éblouissant la vue par la même occasion, m'empêchant ainsi de voir le visage du conducteur, avant de sombrer dans le noir, et que ma conscience ne me quitte.
Un jour ma mère m'a dit une phrase, qui est devenu en quelques sorte mon credo : Tout individu meurt seul, mais si quelqu'un se souvient de vous après votre mort, alors peut-être que vous ne mourez jamais réellement. Et si je devais mourir suite à cette accident, alors je souhaite que quelqu'un dans se monde se souvienne de moi.
Blabla
Ceci est important et j'ai VRAIMENT besoin de votre avis, qui changera le destin de cette histoire.
Vous avez deux choix quant à la fin de cette histoire : soit elle se fini dans quelques chapitres, avec une vrai fin qui la clôtura définitivement, soit vous voulez une suite de celle ci, racontant des autres événement FUTUR concernant cette univers (je peux pas vous en dire plus sans spoil). Néanmoins je tiens à préciser plusieurs choses:
- Le ton de cette histoire sera plus sombre : fini le monde des nounours comme dans les premiers chapitres, la vengeance et le milieux mafieux seront omniprésent (avec une touche d'amour évidement, et des hors séries)
- Les personnages seront un peu près les même qu'ici ( il y aura que des nouveaux et pas de disparition d'ancien ?)
- Elle répondra à certaines questions que j'ai glissés au fur et à mesure des chapitres sans y avoir répondu, (comme par exemple qui est Lize, la personne une fois évoqué par Alice?)
- Elle ne sera pas publié maintenant ( genre dans 15j, le temps que je fasse le plan)
Si vous préférez qu'elle se termine ici, sachez qu'une autre est en cours de préparation, qui sera complètement différente de celle ci ( et encore une autre que j avais publié y a quelques mois mais que j'ai enlevé car elle ne me convenait plus)
Vous avez le pouvoir !
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Ma patronne est un tyran
Teen FictionAlice vient d'arriver à New York après la fin de ses études. Elle y retrouve son ami Josh qui lui est partit quelque année auparavant. Alice, voulant vivre sans compter indéfiniment sur son ami cherche un boulot dans le milieu de l'édition. Lorsqu'e...