PDV ELISE
Le lendemain midi Léon et moi sommes retournés à l'hôpital afin de connaitre enfin l'état d'Alice. J'espère de tout cœur qu'elle est encore vivante, et mieux encore qu'elle ne soit pas dans le coma. Lorsqu'on se présenta au lieu indiqué par la madame de l'accueil, on se rendit compte que c'était le même médecin de cette nuit qui revient vers nous. J'espère vraiment qu'il aura plus d'information, et des bonnes en particulier.
- Bonjours, après plusieurs examens et opérations afin de réparer les fractures et os cassés, je peux vous assurer sans crainte que la vie de votre amie n'est plus en danger.
- C'est génial ! Quand pouvons-nous aller lui rendre visite ?
- Vous pouvez y aller maintenant, néanmoins je dois vous prévenir de quelques choses. Votre amie est actuellement dans le coma, et nous ne savons pas quand elle sortira de celui-ci. Cela dépend entièrement d'elle-même à partir de maintenant, nous ne pouvons rien faire pour l'aider mis à part la maintenir en vie.
L'instant de bonheur se transforma aussitôt en cauchemar. C'est une information difficile à avaler, surtout que cette situation est soudaine. Les visages que moi et Léon se sont décomposer aussitôt l'annonce du médecin. Nos espoirs se sont à moitié éteint.
Alice est dans le coma.
Après les formalités remplies lié à l'état d'Alice, Léon me prit à part sur le parking afin de me reparler de la conversation d'hier soir, afin de connaitre ma décision :
- Maintenant que tu connais la situation tel qu'elle est actuellement quant à la situation, que décides tu de faire ?
- Faire ce que j'ai déjà dit hier soir : je veux retrouver ceux qui se sont attaquer à Alice, avec ou sans toi. Alors je préfère être avec toi, en plus je commence à t'apprécier, bien qu'au début je ne t'aimais pas du tout.
- Ah la jalousie...
Après avoir hocher la tête suite à ma réponse, il me demanda mon téléphone. Ne réfléchissant pas vraiment à pourquoi cette demande inattendue, je lui donna. Une fois celui-ci dans ses mains, il prit ma carte SIM et la cassa en plein de petit bout, puis il lança mon téléphone par terre et le cassa jusqu'à ce qu'il ne soit plus opérationnel, afin de ne pas être espionné ou géolocalisé selon lui. Et il dit ensuite :
- Bienvenue dans le monde de l'ombre Elise.
Je crois bien que je suis aussi folle que Léon quand cela concerne Alice finalement. Comment cette fille a t'elle pu me changer en aussi peu de temps ? Me transformant d'une personne vivant dans la débauche et s'en fichant de tous à une personne prête à traquer ceux qui ont oser en vouloir à la vie de celle qu'elle aime.
Le temps passe ainsi que les saisons, qui se succèdent au gré de leurs envies sans se soucier des événements qui se produisent sur terre. Cela faisait maintenant un peu moins de 3 ans qu'Alice était plongée dans le coma depuis son accident. Au début optimistes et confiant, les médecins sont de plus en plus pessimistes quant à son possible réveil. Au départ ses amis allaient souvent la voir à l'hôpital, lui racontant leurs journées, leurs sentiments et ressentiments. Mais tout comme la confiance des médecins qui s'ébranlait de mois en mois sur la santé d'Alice, les visites de ses amis deviennent rares, voire inexistante.
Cela faisait maintenant huit mois que Léon ainsi que ses autres amis n'allait plus la voir, seule une unique personne allait lui rendre visite au moins deux fois par semaine. Décidant que l'hôpital dans lequel était Alice ne s'occupait plus d'elle, cette même personne a fait jouer son réseau afin de faire transférer Alice dans un autre hôpital plus proche d'elle, vu que c'était dorénavant la seule qui s'occupait véritablement d'elle.
C'est au mois de septembre qu'Alice sortit de son long sommeil, dans sa chambre d'hôpital toute blanche. Elle ne fut pas seule à son réveil, en effet l'inconnue aux yeux de ses amis - si on peut vraiment continuer à les considérer comme tel - , était présente dans la chambre ce jour là. Elle dormait paisiblement sur une chaise, la tête appuyé sur le lit d'Alice. C'est lorsqu'elle sentie un des bras d'Alice lui effleurer le visage qu'elle se rendit compte qu'elle était réveillé. Elle enleva le tuyaux dans la gorge d'Alice afin que celle ci puisse respirer toute seule sans se sentir étouffer par l'appareil. Alice fut tenter de poser mille et une question à son interlocuteur, mais lorsqu'elle tenta de parler, elle fut stopper dans son élan.
- Ne tente pas de parler maintenant Al, cela fait longtemps que tu n'as pas user tes cordes vocales pour insulter ou te plaindre, ta gorge doit être sèche. Je vais demander à une infirmière de t'apporter de l'eau, tu pourras parler dans quelques heures. D'ici là fini d'émerger, je dois aller travailler. Je reviendrais dès que j'ai fini ce que j'était entrain de faire avant de venir ici, c'est promis.
Et elle tenue sa promesse. Elle est revenue dans la chambre au bout de cinq heures. Et Alice pu enfin parler :
- Que fais tu ici Liz, enfin non qu'est ce que je fait ici plutôt ?
- Tu n'es pas contente de revoir ta sœur chérie ? Tu me brises le cœur tu sais. Pour répondre à ta question que tu as eu tant de mal à dire, tu te trouve actuellement dans mon hôpital. Tu es resté dans le coma trois années suite à un accident, qui n'en est pas un entre nous.
Blabla
Bon que dire ?
- Merci d'abord d'avoir suivit cette histoire, qui aura mit 1 an et demie à être écrite (ouai j'ai abusée je sais). J'ai pas étais la plus régulière, mais ça vous vous en êtes vite rendue compte je pense. Remerciez vraiment l'autre tortionnaire du nom de kuro qui m'a fait du mal pour que finisse au plus vite cette histoire pour connaitre la fin du prochain tome :D
- Pour les 50k de vue je ferais peut être un hors série fan service.
- La suite arrivera dans 15 jours je pense, je vais vous donner le lien dans la soirée dans les commentaires pour que vous puissiez l'enregistrer.
Salut les gens.
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Ma patronne est un tyran
Teen FictionAlice vient d'arriver à New York après la fin de ses études. Elle y retrouve son ami Josh qui lui est partit quelque année auparavant. Alice, voulant vivre sans compter indéfiniment sur son ami cherche un boulot dans le milieu de l'édition. Lorsqu'e...