Le Commencement

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           Apres cette journée pleine de bonne nouvelles arrive la nuit. 20:30 l'heure a la quelle j'appelle ma famille et mon gang , et comme dans chaque gang y'a toujours ce mouton noir qui gâche tout, ce soir la cette filles qui ma énerver en me disant d'arrêter d'inventer des histoires et de parler tout le temps de ma vie parfaite. 

MOI: Elle sait très bien par quoi je suis passer pour être la ! 

H: oui on le sait toute t'inquiète c juste de la jalousie! 

K: tu la connais t'en fait pas pour elle !

MOI: je suis pas désoler d'avoir réussie et pas elle ! 

T: quand nous on travaillez pour notre avenir, elle penser au mariage, elle a eu ce que elle voulait non. 

Moi: bref les filles vous me manquer  trop vous devriez venir ici il a tout je vous aimes. Bisou a demain je dois aller me défouler la.

gang : on t'aime aussi allez fait attention a toi <3 bisou .

 j'ai pris mes écouteurs qui traîner par la, et je suis sortie pour courir ça m'aide a redescendre et a me calmer, plus d'avoir un bon résonnement . Du 11:11 dans les oreilles et c'est parti. je suis sortis sous les conseils du directeurs des lieux qui ma déconseiller de sortir la nuit dans le parc, mais têtu comme je suis je n'écouter rien.

je courais en repensant a ce que ma dit mon amie, étais-je devenu le genre de personne que je ne supporte pas ? Avant même de répondre a ma question je me fais agresser par derrière. il me tenait les mains par derrière et ma mise par terre, et me disait de lui donner mon téléphone mais encore une fois têtu comme je suis je lui est dit de me laisser car j'étais connus et que j'avais des gardes du corps qui aller lui tombe déçu, tout en priant dieu de m'aider .

Quelque minutes on suffit a un homme grand baraquer, de cogner fort ce fou qui voulais me tuer. J'étais effondrer au points de ne plus pouvoirs me lever. J'avais éclater en sanglot. Ce gentleman ma aider a me lever,  ma prise dans ses bras, et avant même de voir qui c'était je  l'ai serrer fort dans mes bras tout en répétant merci merci. Quand il ma dit y a pas de quoi ! j'ai senti des frissons dans tout mon corps. C'est comme si je connaissais cette voix de puis toujours. J'ai lever les yeux et la je vois Juan. Je le regarde pendant quelques secondes puis je le lâche et je lui dis:

- désoler je n'aurais pas du vous prendre dans mes bras..

il me coupe et dit: il y'a pas de quoi être dessoler je sais ce que sa fais d'être impuissant dans une situation pareille.. enfaîte vous me dite quelque chose. 

- enfaîte c'était moi que vous avez bousculer ce matin! mais vous inquiétez pas je vous pardonne après tout vous êtes mon héros. (il rit et je continu en disant): en faite je suis grave fan de vos chansons je les connais toutes, j'aime trop, et j'aime aussi votre façon d'être, d'aider les gens, vous êtes mon IDOL.

-Oh merci beaucoup! ça me toucher mais vous pouvais me tutoyer !

- je n'ose pas ! 

- enfaîte je voulais vous dire que j'ai vraiment étais ému par votre histoire (il me regarde) ton parcours.. je vous ais dis que je n'oser pas . 

Il me regarde encore sourit, et me demande de me raccompagner. J'ai d'abord dit non juste par politesse mais il insistait, puisque il aller au même endroit . 

MALUMAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant