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«Aimer , c'est donner rendez-vous au bonheur dans le palais du hasard»

SANAEL

Épouse moi mon amour

Épouse moi mon amour

Cette phrase résonnait dans ma tête comme les paroles d'une musique d'enfance.
Il voulait que je sois sa femme , il voulait que je l'appartienne jusqu'à que la mort nous sépare, il voulait me reconnaître devant Dieu.

-T'es...t'es sérieux ? -dis-je légèrement prise de court-

Il pris mes mains dans les siennes pour les embrasser.

-Je sais que ce n'est pas la demande rêvée je pourrais t'offrir toutes les bagues du monde si tu veux , je peux aussi t'offrir tous ce que tu veux e-

-Chut...-dis-je en posant mon doigt sur ses lèvres- Oui j'accepte

Il pousse un cri de victoire et me retourne pour que je sois en bas de lui.

-Tu verras je vais te rendre heureuse

Je rigole en lui disant qu'il me rendait deja heureuse.

ISAIAH

Elle m'avait dit oui...

Elle allait sûrement devenir ma femme...

Elle me regardait avec intensité et je décide donc de l'embrasser afin de ressentir sa bouche sur la mienne.
Sa poitrine nu était collés a mon torse alors que mon entre jambe qui était simplement vêtue d'un boxer frottait contre sa petite culotte.

-Sanael j'ai très envie de toi -dis-je avec une respiration accélérée- mais...mais on devrait attendre encore un peu...

-Tu...tu veux attendre quelques chose de particulier ? -demande-t-elle confuse-

-Notre mariage ? -dis-je en souriant-

Elle fronça les sourcils.

-Mais...mais on a déjà fait beaucoup non ? Enfin tu ma vu et moi aussi...-dit-elle gêner en se dégageant un peut de mon emprise pour se couvrir avec la couverture-

Je m'assois en face d'elle pour l'admirer.

-Je sais...et je suis désolé j'aurais du me retenir un peu...mais je n'ai plus envie de faire mal les choses avec toi...

Je laisse ma phrase en suspens alors qu'elle hoche la tête.

-D'accord -dit-Elle-

Je pouvais lire de la déception dans son regard.

-T'inquiète pas on aura tout le temps de faire des galipettes.

Elle rougit comme à son habitude en rigolant.

-Laisse moi m'habiller -en tenant la couverture plus fortement contre son corps-

-Tu peux le faire devant moi

-Je croyais que tu voulais qu'on y aille plus doucement ? -dit-Elle avec un sourcil levé et un rictus sur les lèvres-

Sanaël : « Il est mon rythme et mon blues »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant