Chapitre 3

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Bonjour, ma tribu me prénomme Lérra.
Je vie en Amazonie avec les miens depuis le commencement.
Nous vivons reclus dans la forêt loin du poison crée par l'Homme.
Dans ma tribu on est resté dans les règles fixées par nos ancêtres, c'est a dire que nous faisons encore certain rituel traditionnel, nous avons encore certains ancien qui pratiquent une magie très ancienne et presque oublier, mais nous avons aussi cinq gourous.
La dernière chose que je pourrais dire sur notre tribu c'est que nous avons un chef, aimé et respecté de tous et j'ai l'honorable privilège d'être son unique fille.
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-Mon enfant, es-tu réveillée ?
-Oui père, je vous en prie, entré.
-Dit moi, comment te sent tu ce matin ?
-Très bien père, je suis prête !
-Je suis si fière de la guerrière forte et intelligente que tu es devenue.
-Merci mille fois père pour ces compliments.
-Je t'en prie. Allons-y comme tu es prête. De plus tu portes une robe des plus belles qu'il soit, encore un de t'es chef d'œuvre je suppose ?
-Vous supposez juste Pacu. Dis-je en sortant de ma chambré.
-Pas aujourd'hui ma fille. Aujourd'hui est ton jour alors nous sommes égaux.
-Non père nous ne serons jamais égaux mais je peux faire de mon mieux pour ne pas vous faire de honte.
-Tu ne peut me faire honte et tu le prouveras aujourd'hui, j'en suis certain.
-Merci pour votre confiance.

-Pacu Oru.
-Relève toi mon ami. Aujourd'hui si tu veux te prosterner, c'est devant ma fille et non moi.
-Non père je n'accepterai pas ce respect avant la fin de la journée d'épreuve. Si j'en suis digne et seulement lorsque j'en serais digne je pourrais accepter que les membres de la tribu veuillent se prosterner.
-Que ton choix soit respecté mon enfant. Que voulez tu me dire ?
-Tout est prêt pour les annonces.
-Très bien alors nous pouvons y aller.

Le stresse me gagne peut à peu et je ne sais pas si je vais réussir à garder mon sérieux sans perdre pied.

-Mes amis, Maître Pacu.

Le premier homme de mains de mon père l'appel pour monter sur l'estrade certainement pour qu'il prononce son discours me concernant.
Une fois celui-ci terminé il me demande à moi, sa seule et unique fille, de monter sur l'estrade, pour que tout le monde m'admire avant la dure et rude journée d'épreuve qui m'attends. À mon arrivée sur l'estrade une holà en mon nom est faite.

-Merci mes amis. Tout d'abord, je tiens à remercier mon père de me faire bénéficier de cette magnifique tradition, qui est la journée du deuil. Évidemment ce n'est pas un deuil de décès, mais un deuil de passage à l'âge adulte. Ma vie d'enfant se termine aujourd'hui. Car enfin je prouverais ma valeur aux yeux de tous en affrontant chaque épreuve, chaque difficulté et chacun des obstacles que vous m'auraient posé.

Les 4 Éléments tome 1 L'éveille.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant