Les 4 Éléments tome 1 L'éveille.

Chapitre 4

Bonjour je m'appelle Énola, j'ai 16 ans, je suis blonde avec des reflets bruns et mes yeux sont de couleur bleu.
Je ne suis pas très grande, environ 1m60.
Voilà pour ma description physique, après je suis très timide mais ça vous allez très vite le remarquer.
~~~~~~~~~~~~~~~

-Bonne journée ma chérie.
-Merci, toi aussi maman.

Je descends de la voiture et me dirige dans le bâtiment principal.

-Salut Énola.
-Salut Léa, ça va ?
-Très bien et toi  ?
-Je crois que je ne suis pas encore réveillée mais ça va.
-Ho mais ça c'est tout le monde.
-T'as pas tort. Bon on y va, sinon on va être misent en retard.
-Ça marche.

Après une interminable et quotidienne journée, j'entends enfin la sonnerie qui annonce le week-end. Certes ce n'est pas encore les vacances mais c'est déjà ça, on sent contenteras.

-Bon, raconte un peu tes prévisions du week-end.
-Bah j'ai juste ma course de samedi de prévue et toi t'as prévue quoi ?
-Rien de bien intéressant. Glander, dormir et manger.
-Waouh, super prévision.
-T'as vu c'est grave cool les week-ends avec moi.
-Bon, c'est mon arrêt, j'y vais.
A plus dans le bus.
-Ça marche à lundi. Dit-elle en rigolant.

Ellipse jusqu'à la course.

Je demande à tous les dossards de s'aligner.
Avec le dossard numéro 1 nous avons Romain Durand, le dossard 3 avec Martin Lambart, le 8 Julia Ramireze, le 15  Matthieu Jordan et enfin le 18 par notre grande gagnante de l'an dernier, Énola Swift.

Je m'avance donc jusqu'à la ligne de départ et me prépare mentalement à courir de plus en plus vite.

À vos marques, prêts, partez !

Je m'élance d'abord en douceur et commence à faire mon premier tour tranquillement. Après celui-ci j'enchaîne un deuxième puis un troisième puis un quatrième tour un peu plus rapidement. Arrivé au cinquième j'accélère. Ça y est je vois la ligne d'arrivée alors j'accélère encore pour les derniers quelques mètre restant. Je donne tout ce que j'ai, j'y met mes dernières forces. J'arrive à une telle vitesse que mes pieds n'ont même plus le temps de se poser entièrement qu'ils sont de nouveaux en l'air. J'écarte alors les bras et déchire la banderole tirée préalablement pour le ou la gagnante, en l'occurence moi. A peine ai-je soufflé un coup que je m'aperçois de l'expression que fait toute l'assemblée. Je me retourne alors pour voir où en sont mes concurrents. Le prochain doit encore être à une bonne dizaine de mètres de l'arrivée. Je suis étonnée, ce n'est pas possible de creuser un tel écart.