Petit imprévu

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Je serre mes bottes et enfila en gros manteau pour aller à la clinique pour mon genou, autant le faire maintenant je serais tranquille après

Le chemin était tellement enneigé où il y était un exploit de ne pas glisser.

Sarada: Il devrait au moins déblayer le passage.

J'entre dans le grand bâtiment médical.

Infirmière : Bonjour, bienvenue.
SaradaBonjour.

Étant donné que j'avais déjà un rendez vous je n'avais pas eu à attendre.

Le médecin ne se laissa pas désirer et osculta ma jambe en la pliant plusieurs fois.

Médecin : A quand remonte la première apparition de la douleur ?

Sarada: Quelque semaine.

Médecin : Et bien votre genou c'est parfaitement bien rétablit. Vous pouvez partir.

Sarada: Merci.

En quoi ça le regarde !?

Bon bref je sortie de la petite pièce...par la fenêtre...oui oui par la fenêtre

Le couloir était  tellement remplit qu'il y était difficile de s'y creuser un chemin.

J'en profite pour sauter de toit en toit.

Je vais j'essayerde comprendre mon anomalie.

Rai est mort alors que je n'avais que 6 ans lors d'une attaque criminel. Alors que j'avais failli mourrir il s'est précipité à ma place et en est mort depuis j'ai demander, dès la fin de mon rétablissement, de l'enterrer près de sa maison..; il était musicien, quand j'avais le moral dans les chaussettes j'allais le voir.

C'était un adorable chalet à côté du lac.

Les adultes ne faisaient pas attention à mes "remarques " jugé stupide de part mon âge.
Son corps était conserver dans les départements de renseignements pour éviter que les ennemis s'en servent pour obtenir des informations, sauf que personne n'est venue s'en occuper et papa m'avait écouté et nous l'avions enterrer sous un sublime cerisier qu'avais fait pousser Tenzo.

J'étais enfin arrivée au lac mais surtout à ce fameux cerisier.

Sur le tronc y était gravé son nom et comme quoi il était mort avec honneur même si je n'est jamais compris pourquoi ils tenaient à le noté. Il était un soldat d'un pays étranger et il avait demander l'asile politique.

Je m'assoie face à la plaque et la grattais avec le pointe d'un kunai pour que se soit plus lisible.

Sarada: Eh bah mon vieux ça fait longtemps.

Je ne lui avait jamais rendu visite après la cérémonie.

Sarada: Pourquoi t'a fait ça ? Si je serais rester avec les camarde de ma classe tu serais encore la....

Lorsque l'attaque fut annoncer par les sirènes j'étais entrain de lire un drôle de livre jusqu'à qu'un professeur vienne me chercher pour aller à l'abri sauf que quand j'ai compris et entendu que c'était une attaque d'ampleur assez importante, Rai y sera mais quelques chose me disais qu'il allait s'en débarrasser.

Sarada: Tu sais Iruka sensei avait raison,je n'avais pas à paniqué...et d'ailleurs il est toujours aussi a l'écoute.

J'avais déjà essayer d'échapper à son emprise. Mais il m'a dit que je n'avais pas à m'en faire et que la place était avec mes amis et les villageois.

Les explosions commençais à retentir de plus en plus fort et j'ai fini par lui filer entre les doigts et est aller le retrouver.

Sarada: J'étais comme même stupide d'être venue et je te demande pardon parce qu'à cause de moi tu n'as pas pu te concentrer.

Un homme masqué nous avait pris par surprise et Rai m'a poussé pour m'éviter de me faire embrocher et quand je me releva il était presque a califourchon sur moi avec un trou béant dans l'estomac et avait du sang qui ruisselait au coin de sa bouche et ma murmurer quelque que mots.

Sarada: Il faut de tu vive pour moi, désolé de te quitter si tôt mais je...t'aime...tellement....Et tu est mort sur mes genoux. Les yeux sans vie et tes cheveux gris pourtant toujours bien coiffer, tremper de ton sang.

Je m'en souviendrai, cette sensation de brûlure au centre de mon torse et la force qui c'est emparer de mon corps de petite fille. Elle m'avait permis de tuer quelque clones de cet homme jusqu'à ce qu'il me m'arrache mon oeil droit...

Sarada: C'est fou la force que l'on peut avoir l'orque qu'il s'agit de protéger un ami.

Je suis retournée au près de son corps et y ai pleurer tous les larmes de mon corps jusqu'à en avoir mal à la gorge à la force d'hurler ta perte.

Sarada. Papa est arriver au bon moment et ma emmené a l'hôpital pour s'occuper de cet orbite vide. C'est en partie grâce à toi que mon Sharingan est né.
Il a été nommé comme un "miracle" et . Tous ça à cause d'une erreur médicale pourtant inespéré s'avait subi mon père durant sa jeunesse.

Je me releva.

Sarada: Mais je sais que j'ai n'est pas le droit d'être triste car tu nous à quittés avec le sourire.
Mais parfois c'est plus fort que moi et je me laisse allée.
J'te laisse...à la prochaine !

Je me redirigea vers le lac et commença et malaxer mon chakra

Aller il faut essayer de lui donner une forme !

Une fois qu'il fut sous forme d'éclair il se solidifia.

Sarada: Bon plus besoin d'épée mais comment je l'enlève ?

J'ai beau secouer la main où c'était accrocher le chakra mais rien ne se passa.

Sarada: bon bah place à la méthode brute !

Je frappa de toutes mes forces sur le sol créant quelques failles.

Le chakra solide se fissura et éclata en mille morceaux.

Sarada: j'ai compris comment ça marche  bon je vais rentrer.

J'ai tellement pris de temps avec Rai que la nuit commençait à tomber j'ai même du coup courir pour être au village avant qu'il ne fasse totalement nuit.

Une shilouette tapi dans l'ombre se rapprocha de moi.

Sarada: J'te préviens j'ai pas le temps.

Kabuto: Et bah il va en falloir. Il faut impérativement que tu revienne à l'heure la semaine prochaine.

Sarada: Oi sinon quoi ?

Kabuto: Ah...ça il faudra en parler à notre maître.

Sarada: Comment ça "notre" ?

Kabuto: Maître Orochimaru t'attend

Sarada: Orochimaru ?

Kabuto: Oui et tu ferais mieux de ne pas trainer il a besoin de toi.

Sarada: Alors non. Que ce soit clair je ne sortirai pas de mon village pour aller voir un inconnu qui dit avoir besoin de moi !

Kabuto: Très bien alors fait attention.

Il disparut dans la nuit noire.

Sarada: Hey attend faire attention à quoi !












Moi, Sarada HatakeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant