Moi, Sarada Hatake

N°0062 et brouillard

( attention: avis aux anciens lecteurs ! cette partie est différente de celle que vous avez lu !pour plus d'explications je vous invite à jeter un coup d'oeil au chapitre "je ne sais plus quoi penser" où kakashi se fera une joie ( quoique non..)à remettre vos pendules à l'heure.)

Le vieil homme, qui d'apparence semble juste être gâteux, se tenait debout au centre de la salle.

hokage: en absence de moyen définitif je vais simplement t'envoyer dans les quartiers de l'Anbu, cette fois le grand conseil ne te laissera pas en paix tant qu'il n'auront pas eu se qu'ils veulent

sarada: Dans ce cas laisse moi partit et j'irais leur rendre visite ,pour les libérer de leur fardeau dans la mort., pardon, pardon je sais pas pourquoi je l'ai dit !

Je prend mon crâne dans mes mains en essayant de mettre fin à ma migraine.

Tenzo fait signe qu'il va nous laisser à cause de l'agitation des couloirs, un de leurs prisonnier et de mes camarades s'est rebellé. Hiruzen ne se sens pas offusquer parce que je viens de lui dire.

hokage: heureusement que personne d'autre était dans les parages...ça risque d'être compliquer.

il commence par se piquer le bout de l'index et il réécrit des caractères sur le sol. Une sorte de voile en sort et il forme un globe autour de nous...il pose sa coiffe d'Hokage et il me fait signe de venir vers lui avec toute sorte de provocations. Ma respiration s'accélèrent et la migraine empire.

Etant assise j'essaye de m'éloigner de lui le plus possible jusqu'à être contre le voile. L'hokage se rapproche, pas à pas jusqu'a être à mon niveau, il s'accroupit.

Hokage: Et-ce, jusqu'à la fin jusqu'à se que l'on te laisse moisir dans la prison de sang; après tout c'est pas toi qui disait que un jour où l'autre on finirait pas mourir n'est ce pas,n°0062 ?

Mon chakra bouillonne de nouveaux et mes mains tremblent, puis un frisson me parcourt de la tête au pieds, le sourire de psychopathe revient lui aussi sur mon visage, je me lève seule juste après avoir saisi le dirigeant du pays par le cou, j'approche mon visage du siens.

Sarada (n°0062): tu as raison, honneur aux vieux.

Je le soulève jusqu'à se qui ne touche plus le sol et le projette vers sa propre barrière. Il grimaça et se relève, quelques membres de l'Anbu arrivent près à engager le combat, leurs supérieur leur fait signe d'attendre. Il passe sa main dans sa nuque rougit.

Hokage: il ne nous entendrons pas, la barrière absorbe notre discutions.

sarada(n°0062): J'ai rien à cacher.

Hokage: alors pourquoi on en sait si peu sur toi ? tu devrais tout nous expliquer non ?

sarada(n°0062): votre méthode est juste mauvaise, c'est un lieu que vous devez trouver, non pas les documents stupide que vous vous tuer à chercher dans des vielles et abandonnées.

Hokage: eh bien je te remercie, si tu as d'autres choses à dire tu pourras toujours m'appeler.

Il désactive le voile en se relevant lentement, les ninja de haut niveaux se rapproche de lui pour s'assurer si tout va bien alors qu'une autre petite partie, m'encercle. L'hokage se retire à présent

Sarada: Et voila que ça coupe court, bravo.

Mon instinct me dicte de partir, est-ce les dernière traces du genjutsu de Hebi ? Je sens le besoin de sortir et d'aller sur le toit.