Mener par le bout du nez

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Capitaine Hebi : Départ dans une heure !

Tout le monde : oui mon capitaine !

Il part chercher le prisonnier.
La pression redescend puis dans les vestiaires entre-temps j'ai reçu une sorte de saccoche de mon casier

Sarada: Kleib Tu n'aurais pas confondu nos casier ?

Kleib : non pourquoi.... attention le touche pas !

Sarada: pourquoi? jusqu'à présent aucune sacoche n'a tué quelqu'un !

Kleib: oui mais elle ne t'appartient pas! elle appartient à Kamo...un type de passage, il aime bien faire des blagues autres.

Sarada: Eh bien, je vais lui rendre, elle prend toute la place !

Tout en ignorant ces remarques, je me baisse et attrape la sacoche par les ances. Elle me saute des mains!

Depuis quand il s'accoche saute!

Elle se transforme en humain, il avait les cheveux noirs et très longs et une sorte de queue de cheval des yeux de joueur plutôt d'enfants de couleur vert et il a aussi une très longue cape noire. Le portait cracher de Hebi

???: Salut !
Sarada: Sa..lut ?

Kleib ne semblant pas troublé discute tranquillement avec l'homme sacoche.

Kleib: Yo! ça faisait longtemps Kamo ! Je vois que tu continue à faire cette blagues. Le capitaine est au courant que tu es là ?

Kamo: Non....il m'aurais renvoyer à la maison avec un de ces coups de pied....Je pleure déjà mon postérieur...

Son regard ce posa sur moi et pendant plusieurs minutes il paru surpris tantôt triste puis excité. Il se ressaisit et se présente de façon trop formel à mon goût...

Kamo: Bonjour, heureux de faire ta connaissance je suis le capitaine Kamonohashi de l' unité d'élite et de soins, j'espère que on pourra bien s'entendre.

Il conclut sa présentation par une sorte de révérence ! mais qui fait ça !

Sarada: Sarada ,je suis ici pour la journée, j'espère pouvoir vous être utile.

Kamo: mais oui j'en suis sûr.

Il me fixa de nouveau j'ai un un bout de salade dans les dents? pourquoi il me fixe?

Kamo: on dirait vraiment lui..dit combien de fois il t'a frappé depuis que tu es là ?

Sarada: je dirais 3 ou 4 fois je ne fais pas attention ça me gêne pas pour le moment.

Kamo: rien que ça franchement je pense que tu lui plait d'habitude c'est en deux jours qu'il arrive à décourager les jeunes !

La porte d'entrée du vestiaire calqua un ninja qui nous informe qu'il arrivait.
Nous revenions chacun nos places de tout à l'heure.
Le capitaine Hebi s'arrêta net lorsqu'il vu Kamo qui lui faisait un grand sourire il faisait un "coucou" de la main gauche.

Moi, Sarada HatakeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant