Chapitre 24: Mauvais pressentiment.
Le soleil se leva, le cœur d'Ethan sentait qu'il allait se passer quelque chose. Il regarda autour de lui, les filles étaient assoupies bien tranquille. Il les réveilla et ils allèrent tous déjeuner. Ils n'étaient plus que sept. Chacun savait que sa mort approchait et tous était sur leur garde. Personne ne voulait mourir.
Toute la journée, Ethan jeta un œil sur les filles de son cœur. Si l'une d'elle, ou pire les deux, venait à mourir, il ne se le pardonnerait jamais.
S'il ne cessait de jeter ses coups d'œil sur Alana et Alexandra, il en profita pour observer pour la peut-être dernière fois les élèves restant. Martin était fier d'être avec la belle Frida qui l'aimait plus que tout. Leur relation coulait comme l'eau dans une rivière. Ils ne cessaient de se taquiner, de s'embrasser et de se dire de jolie mots doux.
Peter lui, faisait des dessins sur le tableau, des dessins des plus morbides. Mais ça lui permettait de se remettre.
Alana lisait un livre qu'elle avait déniché dans une bibliothèque oubliée au font de la classe.
Alexandra qui voulait définitivement partir, essayait d'ouvrir son téléphone. Ça faisait pourtant si longtemps qu'on les avait fermés pour de bon. Willy James les avait verrouillés à jamais.
Et Sage perdait un bras...
Attendez, elle perd un bras!
- Sage!
Tous couraient vers la fille qui avait perdu l'autre bras entre temps.
- Et bien, dit-elle, je suis la dernière mort de décomposition.
- Désolé! Désolé!
Ses jambes et sa tête tombèrent toute seule dans les minutes qui suivirent.
Alana, définitivement troublée, se réfugia dans un coin de la pièce, joint ses genoux à son torse et pleura.
- Chérie, ne pleure pas, lui dit Frida.
- C'est trop dure! Pourquoi on meurt! Elle le savait! Merde!
Elle partit à la course à la toilette.
Elle y trouva une feuille et décida d'y écrire tout ce qu'elle ressentait.
"Cher Willy James,
Une chance qu'on t'a n'est-ce pas? Tu tues nos amis devant nos yeux, tu nous torture physiquement et émotionnellement. Ça te fait plaisir de nous voir comme ça? Tu aime ça? Je ne décide pas de ce que les gens aiment mais ce n'est pas un peu sadique? Tu tues des adolescents mec! Ton métier est de tuer les adolescents d'une pauvre petite classe. Tu ne pouvais pas t'en empêcher. Tu fais ça depuis que tu as onze ans. Je t'en veux mais je ne te demande pas d'arrêter. Tu as rendu ma vie spéciale et peut-être même plus belle. Je ne te dis pas d'arrêter, pas du tout. Je ne peux pas t'arrêter de toute façon. Mais finis-en vite s'il-te-plait. Ce sera plus facile à accepter comme ça. Je t'en supplie!
De tout coeur, Alana"
Elle posa la lettre sur le comptoir.
Par la suite, elle remonta en classe.
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Coucou,
Désolé pour le mini chapitre mais je n'avais pas trop d'inspiration.
1- En fait, j'ai rien a dire.
Donc, A+
- HopeAndHappy❤️