Chapitre 16 : 14 Mai.

665 42 2
                                    

Je suis allonger sur le li avec Offender. J'ai ma tête poser sur son torse et lui me caresse le dos. J'ai refais un cauchemars et bien sur il est entrer dans ma tête pour me calmer.

- Tu te sens mieux?

- Oui... désoler de t'avoir réveiller...

- Excuse pas.

- Ça fais des mois que ça dur...

- Tu as du mal à t'habituer. C'est rien.

Je ne répond rien. 

- Il est quel heure?

Il se tourne légèrement pour voir le réveil puis se recolle à moi.

- Bientôt 7h

Je baille.

- Essaye de te rendormir...

- Non...

Je m'assois. Il s'assoie également et un silence s'installe. Puis...

- Mao?

- Oui?

Je le regarde.

- Ton père te manque? Tu ne m'as jamais vraiment parler de lui.

Je baisse les yeux.

- Oui et non...

- Comment ça?

- Ben... Mon père... travaille dans l'armer... Il n'étais presque jamais à la maison. Et quand il venait il rester à peine 2 jours. il me manque . C'est mon père. Mais c'est pas le même manque que ma mère... Ou Léa...

- C'est pour ça qu'il a eu le droit de te mettre une puce sous la peau?

- Ouais... Eh... normalement il n'avais pas le droit de me mettre la puce dans la nuque. Mais c'était le seul endroit ou un médecin ne pourrais pas me la retirer.

- Comment ça?

- Ben... les supérieure de mon père on autoriser l'installation de la puce mais pour ne pas qu'il y est de problème il devais  me la placer dans une de mes dents. Entre les dents de lait, le dentiste et tout. Il à choisis la nuque.

- Je vois.

- Il ne me retrouvera pas... pas vrai?

Il me regarde.

- Il m'emmènera loin de toi si il me retrouve... 

Il mes ses main sur mes joues.

- Il ne te trouvera pas. Et même si il te retrouve, je m'arrangerais pour pas qu'il t'emmène.

Devant ma tête il se rattrape.

- Je ne le tuerais pas bien sur c'est mon beau père maintenant.

Je rougie. Je l'embrasse. Ile se retrouve assis contre le dossier du lit et moi à 4 pate à moitié sur lui. Je me décolle un peu.

- Offender?

- Mmmmh?

- Je t'aime.

Il sourit.

- Moi aussi je t'aime Mao.

Un simple meurtreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant