Saison 2 : Mise en bouche

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Salut les gens ! Désolé de cette longue absence mais pokemon bouclier et épée(aussi Celeste qui m'as bien fais rager) ca m'a pris énormément de temps. Mais pour me faire pardonnet voicu un extrait du début de la saison 2 du Chevalier de la Nuit j'espere que ca vous plaira comme même. Les partiels arrive donc j'aurais pas enorement de temps pour ecriture mais on a déjà la structure de cette saison et vous promet du très très lourd vous inquietez pas.

Maddison Square Garden :

30 Novembre

Mes genoux s'entrechoquaient ce soir ce n'était pas n'importe quel soir, je jouais mon trône. Un trône gagnait dans les larmes, la sueur et le sang, les main jointe, nouée par le stress et anxiété de tout perdre par négligence durant de ma préparation.

Ce titre de champion du monde des poids moyen je l'avais arraché par des mois de préparation intensifs ou mes limites n'étaient pas une excuse aller au-delà, le seul et unique moyen de réussir.

Ce soir, je conserverais ce titre, la putain ceinture qui allait avec que j'arborais fièrement !

Ce titre symbolisé énormément de choses pour moi. La porte du vestiaire s'ouvrit le temps d'une seconde, le Madison Square s'électrisait en l'attente des deux combattants. Un homme rabougri, posture militaire malgré son âge qui voudrait que ses épaules soit tombantes, un cigare à moitié consumé à bouche, les cheveux grisonnants coiffés en arrière, l'air sèvre, il planta devant moi.

— Alors t'es prêt gamin ? Ou la peur te tiraille encore le ventre ? me questionna sèchement comme un reproche.

— C'est un match retour coach bien sûr que j'ai peur ! déclarais-je.

— La peur c'est pour les tapettes ! beugla-t-il en cognant violemment mon crâne avec le sien. Je ne t'ai pas sortie du caniveau puant où toi et ton imbécile de frère croupissiez pour que tu mettes à douter là !

Poupée d'argile entre mes mains abimée par le temps et le travail, je vous êtes façonné tout les deux, à l'image des plus grands combattants ! Ce soir ! Tu gagneras putain match croit moi ! Tu le feras regretter de pas être resté dans les couilles de son putain père. Nino tu es un invaincu en Boxe Thaï comme ton demeurer de frère et MMA, c'est toi le champion dans ta catégorie depuis 2 ans ! Et cette ceinture de toc !

Tu as intérêt à la garder et la porter fièrement par ce qu'imagine l'image du club si on perdait cette ceinture UFC poids moyen ! Et tes crétins, écervelés ils sont venus te soutenir, traverser un océan et payer une place à prix d'or. C'est qu'ils doivent beaucoup t'aimer.

— Ces crétins vous êtes vaches avec eux, plaisantais-je tout enfilant mes protections pour les talons.

— Ils ne pouvaient pas t'encourager devant leurs téléviseurs ! Parce que ce soir, toutes les bonnes petites New-Yorkaises seront pour eux ! pesta mon coach sans décrocher le moindre sourire. À mon âge ! J'attire que les vielles folles vivant avec une dizaine de chat !

Une jolie top modèle, c'est trop demandé. Et arrête de penser à ta journaliste, t'es pas assez bien pour elle.

— Comment vous ! m'offusquais-je.

— Je te connais depuis tes 13 ans ! Quand ton esprit est obnubilé par une femme, tu me fais importe quoi, déclara-t-il les yeux noirs de colère tout en prenant mon portable. L'heure d'entrer dans l'arène a sonné.

Le stresse s'envolait pour se transformer en traque avant monter sur scène ! J'offrais à des centaines inconnues qui m'admirait un combat de gladiateurs moderne, les décevoir hors de question, je nouais autour de ma taille ma ceinture de champion du monde, en route pour l'octogone.

Dehors mon équipe de soin passa en revenue une dernière fois mon équipement, si mes lentilles de contacte ne risquaient pas d'être éjecté lors un coup malheureux, si le protège-dent était parfaitement moulé afin s'adapter au mieux à ma dentition.

Un silence de mort, sauf pour mon bookmaker qui réglait un dernier détail... des détails particulièrement gênant, malgré le bouraha du stade, j'entendais sa conversation concernant des paris truquer, mon match de surcroît. Qu'est qui m'avait pris de m'entourer d'un pareil crétin !

Une nouvelle montre surement payait sur une avance qui n'avait pas. À la fin du match, il pourra pointer au chômage.

Je n'aimais pas trop qu'on me prenne pour un con. Certes, je n'étais pas la première des lumières, mais le faire à l'envers... moyen.

Sa main se posa sur mon épaule, mon staff allait pour lui demandait qui lui prenait l'heure tournée.

— Écoute Nino... ton dernier match le jury avait décidé de sanctionner Samuel Obaya pour un coup non réglementer qui a fait annuler me match, bredouilla mon bookmaker.

Tu rappelles qu'on avait discuté après ta précédence pesée, ça serait...

— Je t'arrête tout de suite, je ne me coucherais pas pour une poignée d'argent sale Henry, rétorquais-je sèchement en suivant mon staff.

Je le laissais là, son visage se décomposa en quelque second mais ça ne l'empêcha pas de me retenir une seconde fois.

— S'il te plait Nino ! T'es mon frère, on se connait depuis quoi ? Une éternité, s'il te plait... tu le regagneras facilement ce titre, argumenta-t-il le visage dégoulinant de sueur.

— Mon frère ? On serait peut-être frère si tu n'avais pas volé de l'argent destiné aux gens dans le besoin dans notre quartier ! lui rappelais-je remplis d'amertume tout en broyant son poignet. Combien t'a-t-elle couté, mon frère ? 10 ? 20 ? 30 000 dollars ?

Et ce blanchiment des dents ? Tes opérations d'orthodentaire ? Cette tenue ? Et ces bijoux ? Ces chaussures ? Et ta « petit-amie » ? Et ta jolie bagnole ?

— Nino... tu me fais mal, supplia-t-il à genoux.

— Toi tu m'as fait mal ! En me trahissant ! Moi et les autres Henry ! déclarais-je sur un ton détaché. La prochaine fois que je te vois traîner dans les parages, crois-moi tu repartiras entre 4 planches !

Hakim débarrasse toi de lui, les faux frères ça donne la gerbe

Chevalier De La NuitOù les histoires vivent. Découvrez maintenant