Sur la route Marinette et moi nous apprenions à nos connaitre, ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de discutes aussi naturel avec quelqu'une autre que ma famille ou mon psychiatre. Quelque chose me disait que je pouvais lui faire confiance. Nous avions énormément de points communs pas croyables. Puis notre conversation interrompit, un appel visiblement urgent qu'elle devait prendre. Son petit-ami disait-il, discutions classiques de couple, enfin imagine moi et Kagami c'était plutôt formel que dans une regèle démonstration de sentiment.
Par fois gênante, mais disons que j'y étais habitué avec mon environnement familial. Une fois sa conversation téléphonique, elle excusa de petits désagréments, de ce que j'avais compris son copain était en déplacement loin de la France, et qu'il allait à certaine heure fixe par manque de temps de son côté. Au moins eux ils se parlaient et ne tombaient pas sur le répondeur constamment.
— Puis-je vous poser une question ? reprit Marinette.
— Bien sur poser vos questions, je tâcherais de vous donner une réponse satisfaisante.
— Pourquoi avoir disparu de la circulation pendant de plus de 2 ans et revenir en décrochant plusieurs titres en escrimes ? demanda Marinette à mon avis importe quelle personne intéressant aux travailles de mon père et à ma carrière se posait se genre de question.
— J'ai voulu faire une pause dans ma carrière me concentrer sur mes études, mentais-je habilement, mais son regard pointa sur mes mains qui se crispa sur le volant.
— Le mannequin Lila Rossi sous-entend que cette histoire d'étude serait pure fabulation inventée par votre père afin de couvrir de sombre secret vous concernant, déclara Marinette qui fouillait sur son portable.
— Ce n'est pas comme si j'avais fait de la prison, mais cette mannequina à toujours eu une dent contre maison après annulation de son contrat, me défendais-je difficilement. Mais il y a bien des choses vraies dans son tissu de mensonges, mais je peux en dire plus pour le moment, ça ne serait pas très bon pour affaire, vous apprendrez tout ça en temps et en heure.
— Je comprends parfaitement, mais peu importe les secrets que vous pouvez cacher le regard que je porte sur vous et l'entreprise de votre père ne risque de pas changer, me confessa-t-elle.
— Vous êtes l'une des rares personnes a qui arrive à m'ouvrir aussi facilement, même pas 1H15 vous avez réussis à percer ma carapace, la félicitais-je heureux de cette rencontre. On n'est pas partie du bon pied, mais rien ne nous empêche devenir ami, vu qu'on sera peut-être mené à travailler ensemble.
— Si vous reprenez votre carrière, ajouta-t-elle.
— Oui vous avez raison. J'aimerais terminer ma licence en littérature moderne et classique et ouvrir ce bar.
— Une licence de lettres ou finir gérant d'un bar, ce choix d'étude et quelque peu incohérent ? souligna Marinette visiblement perplexe de mes choix.
— Qui vous dit que je n'ai pas fait des formations pour apprendre ? rétorquais-je.
— C'est vrai, disons que vous n'étalez pas votre vie privée.
— Disons que mon père aime bien avoir la main mise sur certaines choses concernant mon image, il a passé de nombreuses années à me façonner telle une statue de cire, et cette statue doit rester l'image qui s'est efforcée de construire.
— Ce n'est pas trop contraignant ? Enfin si... j'image, ma question était stupide, bredouilla gênée Marinette.
— Aucune question n'est stupide, Marinette, aucune.
Cette vie de solitaire me força d'adopter mon père me m'a permis de vivre une adolescence comme les autres, le contacte que j'avais se trouvait à travers les soirées mondaines, où la jeunesse dorée parisienne ne semblait plus avoir goût à rien : alcool, fête, argent et quelques existants, la vie le paraissait fade, donc on testait de nouvelles limites. Mon père m'interdisait de sympathiser avec ses enfants futures héritées des plus grandes fortunes françaises voir futur dirigeant. Ramassis de personnes pourries gâter sans aucune valeur et notion de dur labeur, néfaste pour moi. Je l'écoutais sur ça. Quand les voyaient à peine 15 voire 16 ans boire du champagne comme du soda, ça ne me donnait pas envie de les rejoindre dans leurs microcosmes où tout semblait ennuyeux et où l'argent coulait à flots. Mon père m'apprenait, les règles du savoir-vivre dans la sphère de l'élite parisienne et mondiale, nouer des relations, etc.
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Chevalier De La Nuit
PertualanganL'histoire se passe dans une continuité alternative bien plus réaliste et sombre que la série. Ici, Adrien a arrêté sa carrière de mannequin après des événements personnels qu'il préférait taire. Paris se meurt lentement comme énormément de grandes...