Entre les problèmes du club, mes obligations et ma mère qui a pétée une durite, je n'ai pas eu de temps à consacrer a ma propre famille.
Moi qui voulais reconquérir ma femme et faire en sorte que mon fils apprenne a me connaitre ça commence mal.Mon plus grand problème étant que quelqu'un au club a aidé mon connard de père à fuir.
Trop pressé de rejoindre Laya et Eden, j'avais juste enfermé l'enfoiré et décidé de le punir une fois que je serais revenu, sauf que j'ai été doublé par une salope du club.
Elle l'a libéré et ils ont fuit, connaissant ce connard il ne va pas refaire sa vie tranquillement.
Des qu'il sera remis de la raclée que Raph lui a mise, il se vengera.C'est le bordel.
Je ne sais plus où donner de la tête.
Alors une pause, parmis ma famille s'impose.
Raph et Pain ont acceptés de gérer le club pendant 1 semaine le temps pour moi de partir et passer du temps avec eux.
Quand je l'ai annoncé à Eden il était fou de joie.
J'ai également changé les réservations de Laya.
Elle avait réservée une petite chambre en dehors de Disney, j'ai opté pour une suite avec 2 chambres à l'intérieur du parc.Quite a lui faire plaisir autant faire les choses bien.
J'ai réservé un billet dans le même vol qu'eux, tout est prêt.
Il ne me reste plus qu'à ne pas penser à mes emmerdes.Mon sac de voyage en main, je frappe à leur porte.
C'est Laya qui m'ouvre, le sourire aux lèvres.
Sans prononcer un mot je fonds sur cette bouche qui m'a tant manquée.Je laisse tomber mon sac au sol pour entourer sa taille.
On finit par se détacher.
- Salut dit-elle, tu viens de le rater de peu, je l'ai déposé à l'école.
- J'ai roulé toute la nuit repondis-je.
- Entre, tu dois être fatigué dit-elle.
Non, pas vraiment, la tout de suite ce n'est pas la fatigue qui prédomine.
- Ca va repondis-je en récupérant mon sac.
Je le pose sur le canapé et la reprend dans mes bras.
- Tu m'as manqué avouais-je mes lèvres effleurant les siennes.
- Toi aussi repond-elle ses mains caressant mon dos.
Je reprends possession de ses lèvres et nous fais basculer sur le canapé.
Elle est allongée sur le dos, moi au dessus d'elle.Nos mains se caressent, nos bouches se dévorent, nos langues s'entremêlent.
Laya est la seule femme Capable de me faire ressentir autant de choses.Ses mains s'infiltrent sous mon tee-shirt qu'elle essaye de me retirer.
Je me détache de ses lèvres tentatrices.- T'es sûre de toi ? Demandais-je espérant de tout coeur qu'elle dise oui.
- Oui repond-elle.
Je me redresse et me déshabille entièrement, je l'aide ensuite à retirer sa robe et son string.
Quand nos peaux se touchent enfin sans barrières je gémis, les larmes me montent aux yeux.
Ses jambes entourant ma taille, je reprends possession de ses lèvres au moment où nos parties les plus intimes fusionnent enfin.
Je m'arrête au plus profond d'elle savourant après 6 ans d'attente ses parois chaudes et accueillantes .Je commence à me mouvoir, ses ongles se plantent dans mes épaules.
Je sépare nos levres pour la contempler.
J'accélère.Les dents serrées, j'y vais plus fort nous faisant gémir de concert.
C'est tellement bon d'être en elle, de la sentir m'enserrer.Je me repais de ses gémissements, de ses seins collés à mon torse, de ses joues rougis de plaisir.
Je lache la bride et mes coups de reins deviennent désordonnés, sauvages.
Je cris de plaisir quand ses parois se resserrent et emprisonnent ma queue comme un étau.
Haletant je la vois éclater en mille morceaux, se briser sous mes coups de reins.
Sa chute entraîne la mienne et je pousse un grognement animal en jouissant en elle.Mes larmes coulent.
Je ne les retiens pas.Me voilà enfin chez moi, auprès de la femme que j'aime plus que ma vie, au fond d'elle.
Je n'ai jamais été du genre émotif mais la je pleure de joie, de bonheur.
Dans ses bras , me murmurant des mots d'amour, je me laisse enfin aller en ne pensant à rien d'autre qu'à nous, à ma famille.
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Trahison
ActionQuand on apprend que tout n'est que mensonge, trahison. Que les personnes censées être de notre côté, nous aider, nous épauler sont au final ceux qui nous ont arrachés le cœur et l'ont broyés. Tout s'effondre autour de nous. Je ne suis pas le genre...