Chapitre 13 Keller

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Cet enfoiré est introuvable ! 

Bordel, tout mes contacts sont aux aguets, tout nos alliés sont sur le coup et nous n'avons aucunes traces de lui.
2 semaines que Laya et Eden sont cloîtrés ai club et je vois bien qu'ils en ont assez.
Les brebis et les regulieres leurs tiennent compagnie mais je sais que Laya a besoin de sortir.

C'est devenu une femme indépendante, être enfermée va finir par la rendre barge !
J'essaye de trouver une solution.
Je cherche un endroit sécurisé ou je pourrais les emmener le temps d'une journée.

- Pourquoi pas chez moi ? Demanda Raph.
Je ne lésine pas sur la sécurité tu le sais, on peut organiser un barbecue et manger dans ma grande terrasse couverte.
J'installerai des jeux dans le jardin pour les enfants.
Ce n'est pas vraiment une sortie en extérieur mais ça leur fera du bien.

- T'as pas tort repondis-je, tu peux faire ça quand ?

- Dans 2 jours tout sera prêt repond-il.
J'inviterais les familles pour que les enfants jouent avec Eden.

- Merci mon frère lui dis-je.

- Pas pour toi que je le fais dit-il, c'est pour mon neveu.

Je pouffe, c'est vrai qu'ils sont nombreux à considérer mon fils comme leur neveu.
Mes frères l'adorent.

Ceux qui ne connaissaient pas Laya ont appris à l'apprécier, sans apriori.
Et ceux qui la connaissaient l'ont découverte sous un autre jour.

C'est un peu comme si elle se trouvait à sa place, qu'elle n'était jamais partie.
Les premiers jours elle a été très surprise de voir que les brebis sont très différentes de celles qu'on avait à l'époque.
Moins sournoises, moins garce.

Nous avons passés toutes nos nuits ensemble à faire l'amour, discuter.
Avec elle je me sens enfin bien, léger malgré les soucis qui pèsent sur mes épaules.
Elle a toujours eu cet effet sur moi, alléger mon fardeau par un rire, des regards, des caresses.
Je suis un foutu chanceux.

Je sors de mon bureau rongé par le besoin de la sentir contre moi.

Je la retrouve installée avec les filles et Eden qui dessine.
Arrivé derrière elle, je la souleve et la bascule sur mon épaule sous ses éclats de rire.
Dieu que j'aime cette femme.

- Pain criais-je.

- Je surveille Eden pigé repond-il hilare.

Je l'emmène dans mon bureau et demande aux 2 crétins de dégager pour que je puisse réaliser mon fantasme.

Ils finissent par partir en nous demandant de faire ça sur ma chaise uniquement .

Des que je la repose elle fond sur mes lèvres.
Je la saisis par la nuque et approfondis le baiser en y mettant la langue.

Ses gémissements me déchaînent.

Mes doigts commencent à descendre son pantalon et les siens se chargent de ma braguette, nos gestes sont maladroit mais c'est terriblement excitant.

Je la repousse pour ja déshabiller entièrement, cette petite peste saisit ma queue tendue par le désir et entame un mouvement de vas et viens.

- Bébé haletais-je, si tu veux que ça dure plus de 5 minutes retire ta main.

Elle pouffe.

Des qu'on se retrouve nu je la plaque sur le bureau, les fesses à l'air.
Je vais jouir comme un ado pour sa première fois devant cette vue.

Je me place derrière elle, des que je vois qu'elle est mouillée, prête à me recevoir, je m'enfonce en elle avec force la faisant couiner.

- Vite et fort Ca te va bebe ? Demandais-je.

- Oui dépêche merde !

Je lui agrippe les cheveux et tire sa tête en arrière en commençant à la pilonner .
Il n'y a rien de doux.

Rien que du plaisir à l'état brut.

Vite, bien trop vite je sens la jouissance me rattraper.
J'essaye de me contrôler jusqu'à ce que ses parois m'enserrent et je me lâche, en même temps qu'elle en poussant un hurlement à m'en arracher les cordes vocales.















Trahison Où les histoires vivent. Découvrez maintenant