Nalu: Qu'elle étrange effronté.

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      Grey s'en vas à fleure de peaux. Mais je ne regrette rien pour autant. Je vais réclamer mon dus, elle avait été museler. La corde de ses chaînes me fut tendu, après que j'ai réglé la somme astronomique de l'équivalent de deux de mes repas 

-Pourquoi l'avoir muselé ? Demandais-je innocemment.

-C'était préférable. Cette femme est démoniaque, elle ne ressent pas la douleur et fais plus de bruit qu'un cirque. Les animaux lui obéissent et elle est plus forte que 10 lions. Me répondit le marchand d'esclave visiblement à bout de nerf.

"Le pauvre il va en pâtir, mieux vaux s'en- allez avant qu'il ne change d'avis." pensait-il

- Eh bien-

     Je ne pus finir ma phrase avant qu'il ne déguerpisse en quatrième vitesse, avec l'argent bien sûr. Je regarde celle tant crins, elle le regardait courir avec un certain amusement. Mais bon je ne pouvait pas le lui reprocher.

      Je me rapproche doucement d'elle et lui enlève la muselière. Nos visage était très proche, de près; elle est encore plus belle. 

- Bonjour! Sortit la jeune fille avec un magnifique sourire.

- Enchanter. Répondis-je simplement en l'observant sous toute les coutures.

Étrange... Cette fille m'intrigue, mais, que vais-je bien pouvoir faire d'elle?

     Pendant tous le trajet elle n'avait nullement l'air effrayer, elle se contentait d'observer chaque objet, chaque maison, chaque arbre. Toute en ignorant toutes les personnes qui passaient, tendit qu'eux, n'avaient de cesse de scruter chaque personne qui passait à proximité, surtout les plus aisé, toutes en jugeant du regard.

     Le monde est corrompu mais c'est notre monde. Je préfère observer celle qui a fait trembler le marchant d'esclave le plus cruel de tous. Elle s'en rendit compte et tournât sa tête vers moi.

- Tu es quelqu'un d'aisé pour m'avoir acheter si chère. Me dit- elle soudainement.

- Effectivement. Répondis-je simplement

- Pourquoi m'avoir acheter? Enchaîna t-elle.

-Moi même je l'ignore, mais faisons en sorte que tu n'es pas été une dépense inutile.

- Je te préviens, une fois mon but atteint, je partirai.

- Tu as de l'audace et je n'ai pas vraiment besoins de toi. Je te propose quelques chose, si tu arrive à réaliser 3 de mes souhaits, je réaliserai un des tient en retour. 

- Très bien mais ces souhaits ne devront aucunement être en rapport avec des choses comme s'embrasser ou pire.

-J'aviserai selon les circonstances.

     Elle me lançât un regard plein d'incertitude, mais ne répondit rien... Nous voilà déjà devant les portes du palais. Le voyage pour ce rendre en ce loin a été des plus plaisant.

     Nous sommes tous les deux rentré dans le grand bâtiment, et voyais bien qu'elle admirais chaque tableau, chaque pièce, chaque couloir ce qui me fit sourire intérieurement. Une fois dans ma chambre je la détache doucement avec la plus grande des précautions. 

     Ses poignets, son cou et ses chevilles étaient ensanglantés. Je lui enlève ses chaines puis, désinfecte ses plaies. Étonnement elle se laisse faire, mais je voyais bien qu'elle scrutais chaqu'un de mes gestes avec attention. Ensuite, j'ordonne qu'on lui prépare un bain, je congédie le serviteur; rentre de nouveau dans ma chambre et porte la jeune fille tel une princesse. 

     Je la sentait rougir sous mon contact, elle me fixait intensément. Pour briser le contact visuelle je lui dit simplement.

-Tu es lourde.

     C'la a marcher, peut importe qu'une femme soit captivante noble ou pauvre cette phrase les agace toutes. Elle détourne le regard et scrute la pièce que nous sommes sur le pont de quitter. Chaque fois que ma peau rentre en contact avec la sienne, je sens comme des picotements parcourir chaque parcelle de mon corps en ébullition.

     Je la transporte jusqu'à la salle de bain elle est légère comme une plume. Pas étonnant vu la quantité de nourriture qu'on lui donnaient là bas. 

- Dis moi? m'interrogea la fille. 

- Hum? 

- T'as pas de penser perverse à l'esprit j'espère, parce que je ne compte pas me laissé faire. Tu es prévenu! 

Non mais... J'allais rien faire moi... Une fois dans la salle de bain je la laisse tomber à terre et sort prestement de la pièce. Qu'elle toupet!

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Désolé pour les fautes d'orthographes surement nombreuses. Ce chapitre ne contient pas tant d'action que je l'aurais souhaité, le prochain me plaie d'avantage à vrai dire, mais bon! Mon avis importe peu. Sur ce: je vous souhaite tout de même une bonne fin de journée!

Mon soleil à moi!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant