[Chap.9]

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en 1er média, c'est Vidia.

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Je m'endormis pendant tout le trajet arrivant devant l'immeuble où vit tante Vicky. Le lieu est peuplé et plutôt charmant à voir. Élodie a l'air ébahie tout comme moi. On décida enfin de sortir de la voiture pour prendre nos valises. Je pris les miens puis suivit Vicky entrer dans le hall. Elle sourit au portier puis se dirige près de l'ascenseur. On la suivit. L'appartement se trouvait au 3e étage et donne une belle vue de Londres le soir.

Okey, bienvenue à tous et faites comme chez vous.. fit-elle ouvrant la porte. Le petit salon était plutôt bien rangé et s'adonnait à la cuisine. Un sofa et une table basse au centre. C'est charmant. J'avançais près de la table basse, des piles de magasines s'y plaçaient et tous parlaient de mariage.

Euh, tante Vicky, tu comptes te marier? fis-je en lui montrant en éventail les magasines. Elle courra rapidement vers moi en les attrapant une par une pour les ranger ailleurs.

- N'y fais pas attention, ce n'est pas pour toi. riposta t-elle.

Je ne comptais pas me marier à mes 17 ans!!

-  Bon, assez les enfants! Élodie veut bien dormir. Elle semble gênée. Elle nous indiqua le plan de la maison depuis le salon. À gauche la douche, à droite les chambres, la première porte possède un lit 2 places dont mes parents vont occuper. Deuxième porte, chambre pour Élodie et moi. La dernière sera celle de Vicky.

Je suis si contente d'être enfin arrivée ici à Londres. J'aurai voulu rester à L.A et me tenir face à lui. C'est facile à dire mais pas du tout facile à faire. Je comprends absolument pourquoi il était obligé de faire tout ça: son air de matcho. Il ne peut pas supporter qu'une fille prenne la place qui lui revient, c'est extrêmement dur pour lui. Mais il devrait aussi comprendre que ce n'est pas un Monsieur-je-sais-tout. Je retira la lettre de la poche arrière de mon jeans que j'avais retrouvé à l'aéroport. On se reverra ma fleur. Je tiens toujours ma promesse. Qui aurait bien pu écrire ceci? Il n'y avait pas d'indices qui pourraient l'élucider.

[…] On se réveilla tous de bonne humeur. On s'est rapidement habitué au décalage horaire. Ma mère nous prépara des crêpes à tous sauf Vicky. Elle était sortie de bon matin pour faire son jogging dit la lettre plaquée sur le frigo. On avait la maison pour nous tout seul. Aujourd'hui on a décidé de ranger nos affaires respectivement dans nos chambres puis partir pour une petite balade familiale.

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- Eden, es-tu prêt oui ou non? cria ma mère depuis sa chambre. Je me leva encore paresseux de mon cocon. Aujourd'hui est grand jour car mon père a pu se libérer d'avance dans son travail, ce qui veut dire qu'on part pour Londres. J'ai déjà un peu ranger mes affaires mais pas dans toute la totalité. Je prenais mes vêtements en un grand paquet puis le déplaça dans la valise. Je l'arrangeais un peu puis c'est prêt.

Je descendis les escaliers avec ma seul valise puis la fis entrer dans la voiture de mon père mais je ne le vois pas. Je rentra et vit ma mère encore dans la cuisine à préparer quelques sandwichs pour nous.

- Alors, il est où papa? questionnais-je.

- Il va revenir, il est parti chercher quelques paperasses chez lui.

- Pourquoi il ne reste pas avec nous? Elle n'avait pas prévu cette question. Elle finit le dernier sandwich puis se tourna vers moi.

- Parce que c'est mieux pour nous tous. J'arrêtais mes questions car je suppose qu'elle ne veut plus en parler. Je sortis me mettre dans la voiture avec mon Ipod et mes écouteurs.

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Je te DétaimeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant