Deux jours passèrent depuis que je suis arrivé à Londres. C'est assez vaste pour chercher une Vidia. Comment va t-elle maintenant? M'a t-elle déjà oublié? Non, je suis inoubliable, même Aude ne pouvait pas m'oublier-enfin, je crois. Mon père, Alan Drawkins, nous avait déjà réservé une chambre dans un hôtel assez huppé de Londres, il disait qu'on allait passer de bonnes vacances mais ça reste encore à voir. Recoller une famille est une tache indéniablement difficile et je ne pense pas que ma mère veuille se remettre avec lui, elle a plutôt été clair la dernière fois à Los Angeles. Disons que mes parents sont divorcés suite à quelque chose dont je ne comprend pas encore, et je passe absolument tout mon temps avec ma mère.
Mon premier vol a été quelque peu mouvementé. Voler dans les nuages, c'est pas difficile mais pour un humain qui ne sait pas voler comme moi, tomber de haut est ma plus grande peur. Le premier jour s'est bien passé, je ne suis pas sorti de la maison même pas une seule fois et le lendemain encore, mon père nous a fait appelé le service de chambres, ce qui fait que je n'avais rien à faire. Mais bien sur, je n'allais pas m'éterniser ici, aujourd'hui ma mère a décidé qu'on passe un peu au supermarché et acheté le journal pour mon père. On prit un taxi qui s'était garé au coin de la rue. Les gens ici semblent extrêmement occupés le matin, c'est certainement le travail. Où pourrait-elle être maintenant? est-elle dans la même ville que moi?
Ma mère demanda de se garer pas très loin du supermarché. Dès que je descendis de la voiture, l'odeur frais des viennoiseries remplit mes narines. Je suivis l'odeur jusqu'à arriver devant le point de vente. Il y avait toutes sortes de viennoiseries ici, je pris une place puis commenda un croissant et un chocolat chaud. J'avais complètement oublié ma mère, je m'assis en attendant ma commande, j'observai l'alentour de la cafétéria. À la caisse, une jolie brune parlait avec la caissière..ou plutôt disputait. Je crois que la demoiselle commendait des chaussons aux pommes mais on lui a offert des pattes d'ours. Je ris légèrement puis allai vers eux de peur que mon croissant ne se transforme en pain au chocolat.
- Tout va bien ici? demandais-je faiblement.
- Non, j'avais dis des chaussons aux pommes pas de pattes d'ours!! cria t-elle. Elle a l'air plutôt énervé, et bien jolie malgré que je n'aie pas vraiment vu son visage, elle pourrait être ma première distraction qui sait. Je vis par la vitrine qu'il n'y avait que les pattes d'ours. Le caissier lui rendait sa monnaie puis elle partit en flèche vers la sortie. Dommage, j'aurais pu mener une conversation mais je suppose qu'elle voulait du temps. Le chuchotement des employés me sortit de mes pensées.
- Elle avait l'air charmante la brune commença le plus jeune parmis eux.
- Charmante oui mais elle m'a énervé de si bon matin grogna l'autre.
- Tu aurais quand même pu sourire, si j'étais toi je m'estimais déjà chanceux de la voir tous les matins... Alors comme ça elle vient tous les matins? Je retournai à ma place tandis qu'une idée bouillona dans mon cerveau. Je pris mon croissant et mon chocolat chaud en laissant l'addition là où je m'assis puis je courus voir ma mère. Elle se tenait à l'entrée du supermarché en regardant de gauche à droite comme pour me chercher. Je traversais rapidement la rue pour m'arrêter devant elle.
PDV Vidia
Je courus comme une folle jusqu'à l'appartement de ma tante, j'ouvrais la porte immédiatement puis la claquais derrière moi. Je repris mon souffle et essayais de remettre de l'ordre dans ma tête. Ma mère préparait quelque chose à la cuisine, je la rejoins à pleine vitesse.
- T'aurais dû voir ce que j'ai vu!
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Wow déjà à plus de 600 vues sur l'histoire, ça fait tellement plaisir à voir. Énormément désolée pour le retard, j'avais du mal à écrire le chapitre
- Qu'en pensez-vous de l'affolement de Vidia? Serait-elle la jolie brune?! Qu'a t-elle vu?
- L'idée qui vient d'un coup dans la tête d'Eden?! eh oui, il est enfin arrivé à Londres.
Pour le prochain chapitre, la suite viendra après 10 vues :)
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Je te Détaime
HumorJe te déteste. Je te détest...Je te détes..Je te déte..Je te dé...Je t...Aime. "Eden, je te déteste !" cria t-elle. " Je t'aime aussi Vidia." Vidia et Eden, deux ennamis depuis la primaire. Le destin leur fait vivre une histoire aussi drôle et amusa...