prologue

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Pdv Iris

13:50

Aller Iris, tu peux le faire. J'inspire longuement et m'avance vers cet énorme bâtiment l'entreprise CARTER située au plein cœur de New York. J'entre enfin dans celui-ci les mains moites. Je vais postuler pour travailler dans cette grande entreprise qui aide les pays en manques d'argent qui ne peuvent pas se nourrir ou avoir un toit. Depuis petite, je ne veux qu'une chose aider tout le monde. Je sais, c'est impossible, mais je suis comme ça..
Je joue avec mes doigts en attendant mon tour à l'accueil.

''Bonjour que puis je pour vous ? '' Me demande la secrétaire en me souriant.

'' Bonjour je viens pour l'entretient d'assistante. '' dis-je en lui rendant son sourire.

'' votre nom s'il vous plaît.'' Demande t'elle.

''Iris BLAKE'' lui dis-je.

''Bien. Prenez l'ascenseur dernier étage, bonne chance !'' Dit elle toujours en me souriant.

''Merci beaucoup ! Bonne journée.'' Dis-je en lui souriant une nouvelle fois. Je me dirige vers l'ascenseur. Une fois à l'intérieur, j'appuie sur le bouton dernière étage. Il y a un grand miroir, je me fixe.

J'ai mis une jupe plissée avec une chemise blanche en dentelle sur les bras avec une petite veste par-dessus et des baskets. J'ai attaché mes cheveux Châtains en un chignon bas, je me suis légèrement maquillée. Mascara et un rouge à lèvre.
Rien ne vaut le naturel !

J'essaye de me détendre. Mes mains sont moites et mon cœur bat de plus en plus vite à chaque étage dépassé. Lorsque j'étais au lycée, j'ai commencé à développer des crises de panique, c'était un enfer, mais j'ai fini par apprendre à les contrôler et elles ont disparut, mais ça m'a laisser des séquelles, je continue de stresser énormément même si j'arrive a le cacher.

Le ding de l'ascenseur me fait revenir sur terre. Je sors de l'ascenseur. Je suis sous le choc.

Il y a une foule monstrueuse. Que des filles. La plupart sont avec des talons aiguilles. Minie jupe et décolleté. Sans parler du maquillage et le parfum qui agresse le nez. Mais malgré ça elles sont magnifiques et elles ont l'air tellement sûre d'elle.

Chacune leur tour elle son appelé. Elle ressorte tous énerver ou contrarier. Je commence à ne me sentir vraiment pas bien.

Une secrétaire vient nous informer que le patron prend une pause de 15 minutes. Génial ce qu'il me fallait.

Je me lève en poussant au passage plusieurs femmes je m'excuse rapidement et me dirige vers la secrétaire.

''Bonjour ou est ce que je pourrais prendre l'air juste 5 minute ?'' Demandais-je en sentant le stresse monter de plus en plus en moi.

''Normalement vous devez ressortir, mais comme vous m'avez l'air mal au point je vais faire une exception. Venez.'' me dit elle gentiment.

'' Merci beaucoup vraiment. '' dis je sincèrement.

Le stresse est encore en moi je n'arrive pas a le faire redescendre. Je serre mes poings. Mes ongles pénètrent dans ma paumme. Elle m'emmène sur un balcon.

''10 minutes pas une de plus." Dit elle. J'hoche la tête et elle s'en va.

Je me tourne pour fixer la vue. C'est vraiment magnifique. J'inspire doucement pour essayer de me détendre un maximum. Respire Iris. Tout vas bien...

''Que faite vous ici ?'' Dit une voix rauque qui me fait sursauter.

Je me retourne et je trébuche sous le coup de la surprise. Je vois le sol se rapprocher dangereusement de moi, je ferme les yeux et plaque mes mains devant moi. Soudain, je sens deux grandes mains ferme et puissante me soulever. Mon nez cogne contre quelques choses de dur. Un torse...

Je lève les yeux honteuse vers l'inconnu.

Oh mon dieu. Cet homme est magnifique. Il a un corps athlétique et un visage a tombé des yeux gris des cheveux marron.. Il me fixe. Mes yeux sont plantés dans les siens. Je n'arrive pas à décrocher le regard de ces yeux si intense.

''Vous êtes merveilleusement bea..Eu non, vous avez de merveilleux de réflexe. Je rougis. Je suis désolée..'' dis-je embrassé.

''Ce n'est rien, il sourit. Vous allez bien ?'' Demande t'il

''Oui..'' dis-je en bafouillant. Il est vraiment imposant. Reprends-toi, Iris !

'' Vous n'avez pas répondu à ma question. '' dit il en haussant un sourcil.

'' Je..eu..me sentais pas bien. Prendre l'air.. '' dis-je avec un sourire gêné.

Mais qu'est-ce que je raconte encore ? Je soupire et essaye de me calmer.

Je le sens se rapprocher de moi.

'' je suis désolée je suis très stressé..'' dis-je.

''Vous êtes venu pour l'entretient, c'est ça ?

'' Oui. Mais je me demande si je ne vais pas repartir. '' avouais-je.

'' pourquoi ?'' Demande t'il surpris.

Je plonge mon regard dans le sien, il me regarde sans comprendre.

''Vous n'avez donc pas vue toutes ces filles magnifiques et sereines? Une fois qu'elles entrent dans le bureau de monsieur Carter, elles ressortent contrariées. Imaginez moi. Je suis leur opposés " lui dis-je comme si c'était une évidence.

'' Vous avez bien vue comme elles sont ses filles ne s'intéresse pas à l'entreprise mais au patron et à l'argent.'' Dit il.

Je le regarde pendant quelques secondes réalisant peu à peu se dire.

''Peut être, mais..." Commençais-je.
Et comme toujours, j'essaye de me justifier.

''Vous êtes nouvelle n'est pas ?'' Me coupe t'il. Je fronce les sourcils par ce changement soudain de discussion.

''Ça se voit tant que ça ?'' Demandais je en reprenant une expression neutre sur le visage.

''A cause de votre accent.'' Il me sourit.

'' oh je suis française. ''Je souris. Il se rapproche de moi en souriant.

''Ne partez pas. Si vous êtes la, c'est pour une bonne raison non ?

''Oui je veux me rendre utile et aidé comme je peux les personnes dans le besoin.'' Dit je en laissant échapper un petit sourire.

''Je suis sûre que vous avez toutes vos chances.'' Me dit il en souriant.

Cette proximité me trouble. Je me tourne en me raclant la gorge et fixe l'horizon.
Pour ma débarrasser de ce moment gênant, je m'apprête à lui demander qui est ce, mais la porte s'ouvre de nouveau. Je tourne la tête en même temps que ce bel inconnu et je reconnais la jeune femme qui m'a fait sortir.

'' Mademoiselle il est temps de rentrer ! '' dit la secrétaire.

Je me sens étonnamment beaucoup mieux. Grâce a cet homme dont je ne connais toujours pas le nom. Je le contourne pour m'éloigner au plus loin de sa présence qui me trouble, je dois l'admettre et je me dirige vers la secrétaire. Plus je m'approche plus je remarque que quelques choses ne va pas. Son visage a perdu des couleurs et elle blêmis. Elle ouvre la bouche et la referme puis fini par prendre son courage et parler.

''Mon..Monsieur Carter... Je peux.. Tout vous expliquez.'' Dit elle en bégaillant.

Je me fige sur place. Dite moi que c'est une blague ?

Mon boss [RÉÉCRITURE] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant