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Yanis - Tu veux pas me dire qui c'est ?
A quoi cela rimerai te dire ce qui m’est arrivé ? De te dire qui m’a fait ça ? C’est qui est fait est fait. Je ne te dirais rien car si elle m’en veut, c’est qu’il y a bien une raison et je ne t’en parlerai pas car c’est entre moi et elle. 
Moi – Non je veux me reposer.
Yanis – Ok, on en reparlera. 
Il est sortie, je me suis endormie le lendemain pas de Yanis à l’horizon j’ai essayé d’atteindre le téléphone pour prévenir Khalid que je ne viendrai pas, mais c’était comme rampais sur un champ de mine c’était horrible la douleur la souffrance, mon corps était couvert de bleu, il y avait des plais qui saigner encore. Une fois Khalid prévenu, je me suis posez sur le canapé et je me posée un tas de question, pourquoi Khaoula m’as t’elle fait ça ? L’aime t’elle a ce point qu’elle veut que je disparaisse ? Si elle le voulait tant, il avait qu’à aller l’épouser. Pourquoi avoir eu recours à la violence alors que des mots auraient suffi ? Nous vivons dans un monde très étrange. Je me suis endormie quand quelqu’un toqua a la porte, ce n’était même pas toquer c’était s’acharner dessus. J’essayer tant que mal, d’aller ouvrir, c’était Anissa.
Anissa –OH PUTAIN Y T’ES ARRIVER QUOI ?
Moi – C’est si moche que ça ?
Anissa – JE VAIS ALLER LE KTEL CE BATARD !
Moi – Calme toi rentre ce n’est pas lui.
Anissa – Comment ça s’est pas lui ?
Moi – Rentre on va parler. 
Anissa – Je t’attendais à la fac, et sa m’inquiété de pas te voir. Putain si j’aurai su.
Moi – Mehlish c’est rien.
Anissa – TU TE FOU DE LA GUEULE DE QUI ? T’ARRIVE PAS A MARCHER ET MEHLISH BON RACONTE ! 
Je me suis livrai à ma sœur, j’ai énormément pleurai, elle me prenait dans ces bras mais sa fessait mal, donc elle me soutenait du regard, même elle avait les larmes aux yeux. Je voyais de la colère montait en elle.
Anissa – CETTE **** JVER ALLER LA DBEH ! ET CE KHEMJ JVER LUI FAIRE MANGER CES B**** !
Moi – Anissa calme toi, sa reste entre nous !
Anissa – LA VIE DE MOI SI JE LA PLOMB PAS JE M’APPEL PLUS ANISSA ****
J’étais allongé sur le canapé, Anissa fessais sa crise d’hystérie dans le salon, quand Yanis et Rachid sont entré. 
Yanis – OH ! CRIS PAS !
Anissa – TOI ESPECE DE BOUFFON ! TA VU CE QUE T’APPORTE A MA SŒUR ??
Moi – Salem w 3alikoum Rachid, Anissa tais-toi !
Rachid – Salem, Wah Nadia y t’es arrivé quoi ?
Moi – Rien.
Anissa – RIEN ? RIEN ? MAIS FOU TOI DE MA GUEULE ! TA VU CE QUE TA PUTE A FAIT A MA SŒUR ? TES FIER DE TOI ESPECE DE KHEMEJ !
Yanis – FERME TA GUEULE, NADIA SUIS MOI !
J’avais du mal à marcher, il m’a portais m’a emmener dans la chambre ma posé sur le lit c’est accroupie a côté.
Yanis – C’EST KHAOULA QUI TA FAIS SA ?
Les larmes me montait aux yeux, il m’effrayer sa façon de me crier dessus pour connaître la vérité me fessais frissonner. J’ai dit d’une petite voie.
Moi – Oui.
Yanis – TA RACE POURQUOI TU MLA PAS DIT ?!
Il a claqué la porte et il est sorti violement, je vidais mon cœur de cette souffrance que j’avais renfermé en moi, je voulais garder le mal pour moi mais désormais, je souffrais car connaissant Yanis il n’allait pas la raté. Anissa ma rejoint dans la chambre, elle pleurait à mes côtés.
Anissa – Okhty tous sa c’est à cause de moi.
Moi – Ta gueule Anissa, mektoub okhty maktoub.
Anissa – Mais.
Moi – Ta gueule, rentre à la maison y se fait tard.
Anissa- Tu veux que je te fasse à manger que je te ramène un truc avant de partir ?
Moi – T’inquiète pas sa ira, dit rien à maman. 
Anissa – OUAIS MAIS CETTE P*** JVER LA PECHO ELLE VA VALSER !
Moi – Anissa attend que j’aille mieux et on ira la voir, aller rentre.
Anissa – Omri, je t’aime si ta besoin appel je passe demain.
Moi – Merci, aller rentre bien.
Je suis resté dans la chambre à regarder le plafond. Papa ? Papa ? Je t’appel mais tu ne m’entends pas me répond pas, pourquoi n’est tu pas là? Alors que j’ai tant besoins de toi, tant besoins que tu me sers dans tes bras et que tu fasses fuir tous ce qui me rend triste. Que tu me redonne le sourire, que tu me raconte une histoire et que tu veille sur moi le soir. Si seulement t’était là papa…
X – Nadia ?
Oh papa, c’est bien toi je ne rêve pas parle moi je t’écoute, mais promet moi de ne plus me quitté de ne plus me laissé papa, je suis si faible sans toi.
Rachid – Nadia ?!
Faux espoir, c’était Rachid, il pousse la porte de la chambre et rentre.
Moi – Oui.
Rachid – Sa va ?
Moi – El hamdoulah comme tu vois.
Rachid – Cette k**** elle t’a pas raté.
Moi – Ah 4 contre une sa fait pas le poids. 
Rachid – Ouais, il est parti règles sa.
Moi – Il n’avait pas à s’en mêlé.
Rachid – Hasoul ta faim ? 
Moi – Non merci.
Il est sortie, je me suis endormie, 3 jours on passée j’arriver de mieux en mieux à marcher, Yanis n’est pas rentré, Anissa venait tous les jours me tenir compagnie, ce soir-là j’ai eu un appel en inconnue, moi qui n’est pas l’habitude d’en recevoir, je me suis dit que cela pouvait être une urgence j’ai donc décroché.
X – T’es morte !
Si tôt dit, elle a si tôt raccrochée, mais qui sa pouvait être ? C’était une voie féminine, je n’ai pas longtemps cherché, cela ne pouvait être que Khaoula. Je prenais c’est menaces a la légères que pouvait-elle me faire tant que je ne sortais pas. Pauvre âmes perdu dans le fléau de l’amour, tellement aveuglais par ces sentiment pour Yanis, elle se rend pas compte de ses actes. Le surlendemain j’ai eu une visite inhabituel, mon frère Zouhir sa ma fait tellement de bien de le retrouver, de lui parler de me livrai a lui.
Zouhir – Ta une triste mine ?
Moi – Je suis fatigué, être femme marié c’est pas facile.
Zouhir – La hafrita a grandi ! 
Elle n’a pas que grandi, elle a murie désormais elle affronte les coups dur de la vie seul. Elle essaye d’y faire face, mais je sombre khouya. Aide moi remonte moi, rend moi mon rôle de petite sœur que tu aimer et que tu chérissais temps khouya. Mon Zouhir, je t’aime tellement ça me fait tellement plaisir que tu viennes prendre de mes nouvelles que tu t’inquiètes de ce que je suis devenu, une femme battu mais forte ;
Une semaine que cette accident c’était produit, une semaine que je sortais plus de mon appartement de peur de croiser Khaoula, une semaine sans aller travailler, mais Khalid m’avait rendu visite et je lui avais tous expliqué, il m’a dit qu’il fallait que je me repose et que quand je serais prête je reviendrai. Je fessais à manger quand Yanis est rentrée, il n’était pas dans son état normal il avait bu. Ce qui n’était pas à son habitude quand il venait a la maison. Je ne l’ai pas calculé, il s’est approcher de moi. 
Yanis – Sa me dit plus bonjour ?
Il puée l’alcool, il m’a attrapé ma tirai vers lui, j’essayer de me repousser, de me dégager de ses bras, mais il me tenait fortement.
Yanis – Mais laisse toi faire, S****.
Moi – Yanis lâche moi, ta bu, tu me dégoute.
Bam, il me gifle et me recolle à lui, ses mains étaient baladeuse, cela me répugnais j’essayer de m’en dégagé mais à chaque fois que je le repousser je me prenais un coup. Il m’emmène vers la chambre, j’avais peur, je pleurais, suffoquais, craignais de ce qu’il allait se produire. Yanis pourquoi me fait tu ça ? Yanis pourquoi réagis tu comme ça ? Bordel pourquoi tu penses qu’à toi ! Je ne te reconnais plus, mais qui ai tu pourquoi l’alcool change-t-il un homme ? Papa ? Papa intervient je t’en supplie. Papa aide moi, je suis ta fille, papa ne m’oublie pas ces grasse à toi que je suis en vie !
Yanis – TES MA FEMME Z******.
Moi – Oui Yanis s’il te plait lâche moi.
Yanis – ECOUTE MOI BIEN JE FAIS CE QUE JE VEUX QUAND JE VEUX ! ON EST MARIE !
Et la …

Chronique de Nadia : Mariée malgré moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant