Après avoir était submergée d'émotion, ma belle sœur ma pris dans c'est bras elle aussi pleurai, je lui ai rendu la lettre.
Elle – Nadia va le voir.
Moi – In sha Allah.
Elle – Non Nadia maintenant il a besoin de toi.
Moi – Je sais pas, laisse moi du temps.
Elle – Nadia sa fait 3 mois qu'il est au habes, 3 mois qui ta pas vu, et tu lui à même pas dit pour les jumeaux, t'attend quoi qui naissent et qu'as sa sortie y vois que ta fondée ta famille ?
Je fonderai ma famille, sans homme, sans marie, sans père pour mes enfants, c'est impensable, elle a pas tord, il fallait que j'aille voir Yanis, il fallait que j'aille lui annoncée, prendre de ses nouvelles il a fait un geste a moi de faire le mien. Je me suis endormie, je cogitais énormément, je me posée pleins de question dois-je allai le voir ? Oui il fallait que je lui annoncée pour les bébés, et il fallait que je le voie. Mais quand ? Le plus tard possible serait le mieux. Les jours passent rien de spécial je rester à la maison, ma mère m’accompagnais pour allée promenais, fallait que je bouge c'était bon pour les bébés. Il y avait des nouveaux voisin sur le pallier, je l'ai ai jamais croisée , Anissa fessais que de m'en parlais.
Anissa – Y a de ses fraîcheur sur le pallier.
Moi – Oh tu te marie dans pas longtemps !
Anissa – J'ai le droit de regardais !
Moi – Fais ta vie, c'est a Jawed que sa va déplaire.
Les jour passe le temps me paraît long, un jours j'étais allongée avec Malik et Riad sur les sadaris devant la télé, quand soudain une douleur, venant de mon intérieur, m'interpella, j'ai eu le réflexe de posé ma main sur mon ventre, je croyais rêve mais non ils bougeais, ils donnaient des coups. La première fois que je prenais conscience qu'il y avait deux êtres en moi, ils communiquaient par des petits coups, c'était la première fois qu'ils communiquaient avec moi.
Moi – ILS BOUGENT !
Riad – Qui ?
Moi – Les bébés.
Mes frères se sont redresser vers moi ils ont mis leur tête sur mon ventre.
Malik – Ayaaa, ils se font un match.
Riad – Vas y bouge.
Malik – Non attend.
Riad – Putain mais bouge je veux écouté.
Pire que deux grand enfants y était en admiration devant mon ventre, malik s’amuser a toc toquais, en croyant avoir une réponse.
Riad – Mais on entend rien.
Malik – Il connaisse tonton Malik. C'est des sah eux !
Moi – Euh je peux récupérais mon ventre ?
Riad – Toz, avec moi y font les morts !
J'étais morte de rire, après ils ont repris leur place, je suis allée dans ma chambre, je me suis allongée toute en carraisant mon ventre c'était magnifique, nous formions trois nous somme soudée, au mes bébés je vous abandonnerais jamais, vous pouvez pas savoir à quel point je suis heureuse de votre arrivée même si je l'appréhende énormément, même si a votre arrivée vous verrais pas papa, sachais que moi je serrais là, et je le serrais toujours.
Quelque jours plus tard c'était ma seconde échographie, avant d'y allée.
Zouhir – Ta intérêt à revenir en sachant le sexe des bébés.
Kamel – Vas y je t'accompagne comme sa je lui demande.
Moi – Mais non c'est bon maman viens avec moi.
Kamel – Non elle reste je viens j'ai dis.
Riad – Moi aussi je viens.
Zouhir – C'est bon vos gueule je l'accompagne.
Je suis allée finir de me préparé je l'ai ai laisse se prendre la tête tous seul, au final Kamel a eu le derniers mots et c'est lui qui ma accompagné. On est entrée la ginecologue nous a parler quand à un moment elle s’adresse a Kamel.
X – Vous êtes le père ?
Kamel – Non le frère.
X – D'accord.
Elle était habituer avoir des couples je suppose, j'étais gène a se moment là j'aurais bien aimer t'avoir a mes côtés Yanis. Après sa comme d'habitude je m'installe sur le lit, elle regard mon ventre, Kamel étais fasciner par l’écran, quand on dit que les grands son bête devant des enfants, je tiens a rajoutée, même devant un écran représentant des enfants.
Kamel – Ces des filles ou des garçons ?
X – Faut d'abord demandais l'avis de la maman. Alors vous voulez savoir ?
Peut importe filles ou garçons y seront les bienvenus ce dont dieu m'aura fais don, j'en prendrais soin, je ferai en sorte qui manque de rien ,qui soit bien élevé respectueux et qui remercie leur créateur de me les avoirs envoyais.
Moi – Oui.
X – Ce sont deux petits garçons.
Kamel – VOUS ETES SUR ?
X – Oui certaine.
Kamel ma embrassé il a aussi embrassé la gineco, sa se voyait qu'il était heureux moi aussi, deux petit Yanis miniature, quand il vas savoir sa y vas être heureux. Enfin je l’espère, elle nous a aussi dit que ce serait deux jumeaux dizygotes, ce seront des faux jumeaux car il ne partage pas la même poches.
Lors du retour à la maison je n'ai pas eu le temps d'arriver en haut que Kamel c'est empresser de le dire a tous le monde, alors quand je suis rentrée dans l’apparat y m'ont tous sauté dans les bras. Moi aussi j'étais heureuse vu qu'il était encore tôt je voulais allée l'annoncer à la mère a Yanis. Je prend mon sac, je descend les escaliers quand quelqu'un parle.
X – Oh Anissa !
X – Anissa Wesh !
Il me tire violemment le bras pour me mettre au mur. J'ai maintenu mon ventre quand il a vu que j'étais enceinte il a du comprendre qui avait erreur. Je l'ai jamais vu mais il était magnifique Ma sha Allah, et très élégants.
X – OH ANISSA QUAND Je t'appel fais !
X – Oh smeh, Mais eux t'es la sœur à Anissa ? Tu lui ressemble trop.
Moi – Tu peut pas faire plus attention, sauvage oui je suis sa sœur et tu lui veux quoi ?
X – Rien pour discutai, je t'ai jamais vu !
Moi – C'est que tu vois mal alors car je vis ici.
X – Sah ?
Moi – Oui je suis sa jumelle si t'as pas remarquai !
X – Si j'ai remarqué mais toi t'es enceinte !
Moi – Sans blague !
X – C'est bon smeh déstresse.
Moi – Désole j'ai un truc a faire.
X – Euh moi c'est Walid je suis le nouveau.
J'ai tracé sans répondre je sais que c'est mal polie, mais je suis marié. Même s'il était magnifique Anissa n'avait pas tord des fraîcheurs. Arriver chez la maman à Yanis elle était très herseuse que je passe la voir, on discutais...
Moi – Khalti c'est bon je connais le sexe des bébés ?
Khalti – Dis moi benti !
Moi – Deux petits garçons In sha Allah.
Khalti – You you you.
Des larmes coulaient de ses yeux, je l'ai pris dans mes bras, je suis égoïste car elle aussi souffre énormément avoir son propres bébé avoir des bébés.
Khalti – Fais moi plaisir benti vas voir Yanis, il a changé, je suis allée le voir y réclame après toi.
Moi – Oui in sha Allah khalti je vais demandais a Zouhir qui me fasse une demande.
Khalti – Merci benti.
J'étais désormais sur de moi il fallait que j'aille voir Yanis, il fallait que j'aille lui annoncée. Une fois arriver chez moi j'ai demandais à Zouhir de me faire une demande de parloirs j'étais déterminée …
Suite bientôt IN SHA ALLAH.
N'oubliez pas d'aimer S'il vous plaît !
La lettre disais a peu prêt cela.
Yanis - « ... Khty, dit a Nadia de passé me voir, prend soin d'elle est de notre enfant.. »
En lisant c'est quelque ligne mon cœur fus submerger d'émotion tous d'abord il demandais à me voir, moi aussi je veux te voir, te parler te regarder. Mais pourquoi voulait-il me voire ? Est-ce que je lui manqué ? Voulait-il sans doute me dire que toute est terminée, que je dois faire ma vie et l'oublié ? Sa je ne pourrais pas je m'étais trop attaché a toi, et je porte nos enfants Yanis, moi je ne pourrais pas te quitté mais si c'est ton choix sache que je le respecterai. Ou voulait-il simplement s'excusait ? Mais si il tenait a me quitté pourquoi voulait-il que sa sœur prenne soin de moi ? S'inquiète t-il de mon état ? S'en veut-il de ne pas être a mes côté ? De ne pas jouée son rôle de marie protecteur ? Ou ces pour faire bonne image dans la lettre pour ta sœur ?
Et je n'ai pas rêve il a dit « notre enfant », il se considère bien comme le père, cela ma rendu fière. J'en avais les larmes aux yeux. Au Yanis si tu savais tu aurais dit « nos enfants » car il y a n'as deux, mais faut que je puise la force en moi de venir te l’annoncer, mais comprend moi j'ai peur après tous ce que tu ma fais, comment vas-tu réagir ? Tu la pris mal quand y a n'avais un alors la deux ? Et tu lui à demandé aussi de prendre soin de notre enfant, c'est que tu doit t'inquiète, je crois rêvais Yanis tu développe un instincts paternelle ? Tu doit t'en vouloir d'être au placard ? C'est peut-être quelques mots que tu a écris sur un bouts de papier, mais ces quelque mots mon touchée en pleins cœur, des larmes on coulais ces que ta phrases c'est encrée en moi, tu pense à moi et à l'enfant et sache que de mon côté je n'ai jamais cessé de pensé a nous aussi, de nos avenirs, ou qui sait de notre avenir...
