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Une fois à l’appartement, il s’installe sur le canapé, je vais dans la cuisine, il rentre et s'installe à la table.

Yanis - Assis toi !
Je ne voulais pas avoir affaire à lui, je voulais fuir m’en allée, m’en volée, mais pas le côtoyée, ni l’affronter. Je me suis installer en face de lui il me regardait avec insistance, mais larmes on commencer à coulais, j’ai pris ma tête entre mes mains. Je n’arrivais pas à rester face à lui, sa présence m’étouffer je me suis donc levé pour aller au salon, mais y ma attrapée ma tirée, et pour la première fois il a eu un geste affectif, malgré qu’il me répugner me dégoutter, il m’a pris dans ces bras et ma séré fort contre lui, c’était la goutte d’eau qui a fait débordait le vase, toute la haine en moi ressortait dans les larmes, dans mes cries dans les coups que j’essayer de lui donner y me serrer fort et moi je le tapais sur son torse y se laisser faire, j’étais déchainais je lui en voulais tellement mais y se contenté de me serais dans ses bras. 
Moi –Pou..pour quoi tu m’as fait, fais ça?
Je suis plus petite que lui je lui arrive en bas du menton, il a posé sa tête sur mes cheveux, je sentais sa respiration, son cœur battre, il était collé à moi il ne voulait pas me lâché, tant que je n’avais pas fini de me défoulais. Après avoir fini de l’insultait de tous les noms, d’avoir frappée de toutes mes forces, je commencé à suffoqué et tremblais, il a pris ma tête dans ses mains de façon à ce que je le regarde dans les yeux, il me regardait avec insistance mais son regard était adouci, je pouvais lire du regret, comme si c’est yeux me parlait voulais me dire quelque chose, tu veux sans doute t’excuser ? Garde ta salive c’est trop tôt je ne pourrais pas te pardonnée. Il a seulement déposée un délicat bisou sur mes cheveux, tous mon être à frissonner, je fus surprise d’un geste si affectif, je m’attendais à recevoir une gifle, une insulte, non il a simplement déposé un baisai sur mon front ce fus cour mais de sa part ce fus comme une éternité, c’est comme si le monde autour de nous c’était arrêter ces comme si j’étais morte et je revivais, la oui je ne pouvais que lui pardonné, la première fois qu’il ce comporté comme cela, la première fois que je voyais le cœur tendre de Yanis, toute à une première fois et j’espère que ce baisai a marqué un nouveau départ… Après sa il est sorti, j’étais tellement choqué du geste qu’il venait d’avoir envers moi que je ne réaliser pas, c’était un rêve ce n’était pas réel, non Yanis n’aurait jamais pu se comportait comme ça, je remettais en question ce moment durant des heures. Comme à son habitude des qu’il se passe un truc dans cette maison je ne revoyais plus Yanis pendant un certain moment, trois jours ce sont passé, j’avais décidé de retournais a la fac, car j’avais des partielles a passé. Et de la même façon reprendre mon travail. J’aimais bien mon travail, avec Khalid il y avait une très bonne ambiance on mettait de la musique à fond quand y avait pas son père et on se défoulait dans la boutique, ce qui me plaisais chez lui c’est qu’au naturel il était magnifique et aimé s’amuser faire la fête, il me donnait toujours le sourire, surtout quand y chantait …
Khalid – YAL BABOUR YA MON AMOUR KHAREJNI MALA MISER.
Moi – Je ne suis pas ton amour, ni ton babour, reste y dans ta misère.
Après sa-il imitait les gens du pays, pour les papiers c’était extra, les clients aussi rigolais, avec lui j’étais au pays des bisousnours, tout le monde est heureux tout le monde rie. Et ça me fessait énormément du bien, après l’épicerie je rejoignais Anissa à la fac, elle m’annonça que Jawed c’est enfin décidé à venir la khtob, j’étais énormément heureuse pour elle, ma sœur avait droit au bonheur. Après la fac, retour dans mon chez moi, vide, désert et ou j’étais seul. 
Je vais avancer dans le temps car il y a rien d’intéressant durant un mois, Yanis toujours à jouer au fantôme je le voyais de moins en moins Anissa c’est fiancé, pas de nouvelles de Khaoula, et moi toujours maison boulot fac et dodo. J’étouffais d’être seul, j’en avais marre, il m’arrivait d’avoir, des migraines des n’osés, je manger qu’avec Anissa à la fac, sinon je n’avais pas le cœur à cuisiner le soir. Je travaillée énormément je faisais des heures supplémentaire, car je m’ennuyais à l’appart. Un samedi matin je suis allé travailler comme tous les matins. Je portais d’énormes carton, je portais des choses très lourdes, je m’épuisais à la tâche me sentir utiles, m’encourageais à travailler plus. Avec Khalid on remplissait les étagères quand soudains j’avais la tête qui tourne, mais jambes répondais plus, j’avais un énormes mal de ventre, je commencer à voir flou trouble. 
Khalid – Nadia NADIA..
Trous noir. Mais que m’arrive-t-il ? Ou suis-je ? J’ai mal au ventre, maman aide moi, maman ou est-tu ? Une douleur atroce se faisait sentir dans mon ventre. Une lumière blanche m’aveugle quand j’essaye d’ouvrir les yeux, j’ouvrais délicatement les yeux, quand je me rends compte que je suis sur un lit d’hôpital, mais qu’est-ce que je fais, la ? Je n’ai pas fini de ranger mon rayon. Je tourne la tête à mes coté, il y avait Khalid, Yanis, ma Mère et Anissa. J’ai à peine ouvert les yeux qu’ils se sont tous getter sur moi.
Maman – Benti ça va ?
Anissa – Tu m’as fait peur Omri.
Khalid – Y t’es arrivé quoi ?
Yanis – Je t’ai dit travaille pas. 
Une infirmière arrive – Doucement avec les questions, vous inquiétez, pas son états de santé est parafait il lui faudra énormément de repos et il faut vous nourrir pour que le bébé arrive a sont termes en bonne santé. 
Yanis – Le bébé ?
Maman – YOUYOUYOU.
Anissa – UN BEBE ?
Un bébé ? Il y a erreur je ne peux pas être enceinte non pas de lui, il ne manquer plus que ça. Papa, tu vas être grand père papa toi qui aurais tant voulus avoir des petits fils, avec qui joués, leurs montrée ton savoir, leurs raconté ton vécu, tes histoires, si seulement t’était las papa…
C’est comme si le monde c’était arrêter autour de moi, j’ai tournais la tête vers la vitre, et tous les larmes qui me restais se sont échappé, t’es fière de ton geste ? C’est toi qui cause le trouble et c’est moi qui dois assumer ? C’est à moi de le porté alors que je t’ai rien demandé. Ce qui m’entourais était sur pose, plus aucun son ne m’atteignais, j’étais comme dans un monde coupé du leur, il y a un être vivant en moi ? Je porte une partie de toi en moi ? Mais je te hais, comment a tu pu me faire ça. Je voyais de la joie sur le visage de ma mère, celui de Yanis et Anissa était décomposé, Khalid compatissais dans la joie de ma mère. 
Infirmière – Dois-je en supposée que vous n’étiez pas au courant ?
Yanis – VOUS ETES SUR DE VOUS VERIFIER CAR JE VAIS PAS RIGOLER AVEC VOUS !
Infirmière – Oui, les tests sont affirmatifs. Qui est le père ?
Yanis – C’est moi.
Infirmière – je demanderais aux autres alors de bien vouloir sortir pour la laisser ce reposé. 
Non, me laisser pas avec lui, je ne veux plus que tu m’approches, plus que tu me touche, me regarde, je ne veux plus rien de toi, je veux que tu disparaisses, que tu me laisse et que tu t’en aille rend moi ma vie, celle où je te connaissais pas celle où tu n’étais pas là, celle où j’étais heureuse sans toi, rendais moi mon papa, et prenais le lui, c’est tellement injuste… Ils sont venus à tour de rôle me faire un câlin et y sont sortie, Yanis c’est assis sur le fauteuil à côtes la main dans sa tête, après un long moment de silence. Il décida de le brisée.
Yanis - …

Chronique de Nadia : Mariée malgré moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant