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Et la comment vous faire part de cet horrible moment ? Lui dira qu’il a savourai son mariage, moi je dirai que je me suis faite violer, les gens diront c’est votre vie de couple c’est normal, que cela ne les regardé pas. Ce moment était horrible il m’a plaqué violement au lit, a fait son affaire, a pris son plaisir quant à moi j’ai perdu ma fierté, ma dignité tous ce que j’avais de plusprécieux en moi venais de s’envolé alors que je l’avais t’en préservé, toute mon enfance je me suis imaginée ce moment magique avec l’homme que l’on aime, et moi ce moment était tragique avec un alcoolique. Après avoir fini son affaire, je me sentais mourir, je me sentais sale mais larmes non pas arrêtait, papa tu n’as pas su protèges ta fille, t’es fils non pas remplis leur rôle de protecteur, leur petite sœur viens de perdre son bijoux. Le voyant à mes côtés j’essaye de le fuir, le voir me répugnais me dégouter, pourquoi ma tu fais ça ? Désormais t’es fière de toi ? Tu ma tous pris : ma famille, mon nom, ma maison, ma fierté que veux-tu ? Ma vie ? 
J’essayer tant que mal à rejoindre la salle de bain, j’avais beaucoup de mal à marcher, je tombé, je me relever, je n’avais plus de force pour affronter la vie, je voulais quitter ce monde m’en allait fuir afin de ne plus revenir. Papa si seulement t’était là… J’ai fait coulais une douche sa camouflait toute les larmes de mon corps j’ai passé ma soirée a pleuré, à me nettoyer c’était comme une obsession j’étais salle, il m’avait salie, j’avais beau frotté, je me sentais toujours sale, sans m’en rendre compte mon corps devenais rouge, des plaques apparaissez a force de frotté, frotté, ma peau commencer à ce décoller, mes blessures qui t’entais de cicatriser se sont remise à saigner, mais j’insisté pour moi il n’y avait pas plus horrible comme douleur que celle qui m’avait faite. Je voulais quitter ce corps qui n’était plus le mien, je voulais m’en aller de ce monde où il était devenu mon centre, tous ce passer autour de lui, tous ce qui voulais je lui fessais, tous ce qui réclamé je lui obéissais. J’avais passé ma nuit dans la salle de bain, à vider toute les larmes de mon corps, et a frotté sa saleté, sa présence, son être me dégoutté, comment a-t-il pu me faire ça ? Je ne voulais pas sortir de la salle de main tant que je n’avais pas entendu la porte d’entrée claqué, car je ne voulais pas affaire à lui, je ne voulais pas le voir, pas l’approcher, pour moi c’était un monstre. Après un long silence, j’entends un grand boum, qui m’a fait sursauté moi qui était déjà terrifier je me suis mise a tremblé, j’étais assise prêt de la baignoire, mais larmes ce sont échappé, j’entendais Yanis crié en colère, il insultait casser des choses, tapé violement dans les murs, mais que lui arrive-t-il ? Plus y s’approcher de la porte de la salle de bain, plus j’avais une envie de mourir sur place. 
Yanis – Z***** NADIA TES OU ? NADIA OUVRE !
Je l’entais criée de l’autre côté de la porte, je voulais me volatilisé comme Joséphine lorsque elle claque des doigts. Et la boum, il casse la porte. Quand il m’a vu assise à côté de la baignoire, la tête dans mes genoux, je trembler j’étais en larmes, j’avais peur, il ma regardais avec pitié a donné un méchant coup de poing sur le mur et il est sortie. Zouhir viens m’aider, Malik viens le défoncé, Kamel tu le, Riad sauve moi… Mais aucun de vous n’étais là, papa toi qui leur avait dit de bien prendre soin de nous, ce moment la aurait suffi pour prendre soin de moi, je ne leur demande pas la lune juste d’être là. J’ai quand même décidé de sortir mais j’avais du mal à marcher, il était dans le salon il avait sa tête dans ses mains comme s’il était en train de réfléchir, quand il m’as vu il prit sa veste et il est sortie. Je me dirige vers la chambre, je vois que le lit est retournée, c’était sans doute sa le gros boum, quand j’ai vu les draps j’ai compris, qua ce moment-là il avait réalisé son erreur. Il y avait des tâche de sang j’avais du mal, beaucoup de mal, j’ai quand même décidai de ranger, après sa j’étouffer dans cette appartement j’avais une crainte qu’il revienne, lève la main sur moi, ou me retouche. J’ai fait mon sac, je me suis habiller chaudement, et j’ai décidée d’allée passer quelque temps chez ma mère. Arrivée chez elle.
Maman – Benti, ça fait plaisir tu m’as manqué.
Je n’ai pas pu m’empêcher de m’effondrais en larmes dans les bras de ma mère elle me réconfortait, sans savoir ce qui m’es arrivé ma petite maman chérie était là, elle aussi versée ses larmes, tu n’aies pas le nombril du monde mais t’es celui de ta maman. Elle m’emmena dans ma chambre, et la nostalgie du retour à la maison dans ma chambre, elle m’avait temps manqué, Anissa était en cours, je me suis donc allongée dans son lit.
Maman – Benti y a pas Yanis avec toi ?
Moi – Non yemma, il est en voyage d’affaire.
Maman – alors tu vas rester ici avec nous ?
Moi – Oui maman jusqu’à son retour.
Maman – Avec plaisir benti, dort repose toi bien. 
La seule solution pour le fuir : le mensonge. Tous sa était nouveau pour moi, j’avais du mal, du mal à accepter ce qui venais de faire, qu’il avait osée m’ôté ma fierté. Je me suis donc endormie, sa fessais du bien de se reposée, là où j’étais sûr d’être en sécurité. Quand Anissa est arrivé elle s’est getter sur moi, mais j’ai eu un réflexe inhabituel j’ai eu peur de ma sœur, j’ai sursauté a l’arriéré elle m’a regardait bizarrement. La sensation que quelqu’un me touche m’approche me refait pensé à la nuit horrible que j’ai passé à ses côtés. 
Anissa – Sa va ?
Moi – El hamdoulah.
Anissa- T’es sur ? 
Moi – Oui, oui t’en fais pas je suis fatigué.
Anissa – Dit moi la vérité, Nadia y t’as touché c’est ça ?
Moi – Non, j’ai juste passé une nuit mouvementé, j’ai fait des cauchemars
Anissa – Euh, ouais si tu le dit, elle est ou la tarlouze qui te sert de marie ? 
Moi – En voyage d’affaire.
Anissa – Zehma y fait des affaires ?
Moi – Anissa me prend pas la tête y fait sa vie.
Je décide de me lever pour aller aider ma mère, au diner y avait tous mes frères cela me fessais du bien de se retrouver, retrouvé la famille unis qu’on était, on rigolait bien, j’en avais oublié le malheur de la veille, mais ce fut de courte durée, une fois au lit Yanis m’as appelé, je n’ai pas répondu car je savais que j’allais le regretté il m’a donc envoyé un message : « T’es ou ? Rentre ! ». J’ai préférai m’endormir, mais je n’arriver pas, je fessais des cauchemars de la veille, je pleurais suffoquais tremblais.
Anissa – Oh, réveille-toi ! Y t’arrive quoi ?
Moi – Quoi ?
Anissa – T’es sur qui t’as pas touché l’autre Z **** ?
Moi – Oui pourquoi t’insiste ?
Anissa – Tu fais que dire : « Yanis lâche moi, arrête »
Moi – Euh ta des hallucinations okhty. 
Anissa – z*** tu m’énerves, parle !
Moi – Y a rien à dire.
Anissa – Nadia je te connais, pourquoi tu mens ? 
Moi – Laisse-moi dormir j’ai rien à dire. 
Anissa – Demain on parle !
Moi – Si tu veux.
Pourquoi te divulguée ma vie privé ? Désormais je suis marié, ce qui ce passe à la maison devait y rester. Te dire que j’ai perdu ma fierté, je te connais tu serais allé le voir, pour l’engrainer, mais ces mon marie c’est à moi de réglais ces histoires, je me renfermais sur moi-même je mentais à ma propres sœur, sans m’en rendre compte je m’éloignée de mes proches, je n’avais plus confiance en moi, il m’avait tous trahi et laisser seul, j’étais seul au moment des actes et je resterai seul. Le lendemain Anissa était partie à la fac, sans moi j’étais d’humeur, je suis resté à la maison regardais, un film avec ma mère, mes frères dormaient. Sa toque a la porte, ma mère va ouvrir, moi je dormais sur a sadari. 
Maman – Yeah weldi t’es déjà rentrée ? 
Yanis – Salem w 3alikoum khalti, euh ouais.
Maman – Il s’est bien passer ton voyage ? 
Yanis – Elle est la Nadia ?
Maman – Rentre weldi, elle est dans le salon.
Je me suis redresser sur mon sadari, j’avais peur, peur de croiser son regard, peur d’avoir affaire à lui, je tenais fortement un cousin dans mes bras j’étais en pyjama, tête du matin. Quand Yanis est rentrée il ma sourie j’avais qu’une envie lui craché dessus, le virai de chez moi, lui dire va-t’en je ne veux plus de toi. N’approche pas ma famille tu m’a déjà assez sali. J’ai baissé le regard, il s’approcher de moi, mon corps trembler je ne comprenais pas ce qui m’arriver. 
Yanis – Salem.
Je n’ai pas eu la force de répondre des larmes commencer a monté, je suis donc allé dans ma chambre, il ma suivit ma mère comprenais pas.
Yanis – Rentre t’as assez squatté.
Moi –Laisse-moi.
Yanis – NADIA JVER PAS RIGOLER AVEC TOI RENTRE JE TAI DIT !
Maman – Qu’est ce qui ce passe ?
Yanis – Rien khalti, je suis fatigué je lui demande de se dépêche.
Maman – Rester mangé ?
Yanis – Non on doit rentrer merci.
Je me suis donc dépêche de faire mon sac. Il a portait mon sac on est parti, je trainer des pieds, je craignais de me retrouver avec lui, d’y faire face, dans la voiture pas un mot. Une fois à l’appartement, il s’installe sur le canapé, je vais dans la cuisine, il rentre et …

Suite bientôt IN SHA ALLAH.
N'oubliez pas d'aimer S'il vous plaît !
As salam wa 3alikoum wa rahmatu'Allah wa baarakatuh ...

Chronique de Nadia : Mariée malgré moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant