Environ un an se sont écroulé depuis la sortie de Yanis…
Cela fait un mois qu’on est installé dans notre nouvelle maison, tous va pour le mieux, c’est l’été les petits rampe et marmonne des syllabes, ils ont tous petit et grassouillet. Yanis est mystérieux depuis quelque jours, je voie qui va mal, je vois qu’il me cache quelque chose, est-ce arrête de fumer qui lui prend la tête ?
Avait-il replongée ? Le voir dans cette état me soucié beaucoup, je me posée pleins de question je n’ose pas lui demandé.
Je recevais des lettres à son nom qui m’interdisais d’ouvrir il provienne de la mairie. Je me demande ce qu’il cache, mais il ne veut rien me dire, je persiste mais rien, il me met à bout de nerf les cachoteries je n’aime pas ça.
Moi – T'as une lettre.
Yanis – Donne, tu l'as ouvert ?
Moi – Non.
Yanis – Vaut mieux.
Moi – Y a quoi dedans ?
Yanis – T’occupe.
Je lui lance la lettre au visage et je change de pièce, pourquoi me cache-t-il quelque chose ? Je suis sa femme ! Je me remets à douter sur lui, sur sa sincérité.
Les jours s’écroule je reçois un relevé de compte, il a fait un retrait de 500 € mais pourquoi faire ? Je me méfier, mais que fait-il pourquoi ne me dit-il rien, c’est sûr il a replongé. Il s’absentait plus les week-ends, il avait toujours des papiers à régler, un jour il amena Kais et Saif du matin jusqu’au soir sans rien me dire, le comportement de Yanis m’inquiétais, j’avais même peur pour mes bébés.
Un jour je tombe sur une enveloppe de la mairie je décide d’ouvrir, mais il vient me l’ôter des mains. Alors je décide de me clarifier.
Moi – Tu me cache quelque chose !
Yanis – Quoi ?
Moi – Tu m’explique le retrait de 500 €, les lettres de la mairie ?
Yanis – Mais en quoi ça te regarde ?
Moi – Mais dit moi le en face que t'a replongé, tu me déçois.
Y me regardais, m'sa pris la tête dans ses mains il voulait que je le regarde, mais non je l’ai poussée je suis parti prendre Saif et Kais et m’enfermer dans notre chambre.
Yanis – Ouvre Nadia.
Moi – Non je ne veux pas te voir !
Je me suis endormie avec mes petits, le lendemain j’y faisais la gueule vu qui voulais pas me dire, des jours passée comme sa je l’ignorais y tenter des approche : le soir y venais s’allonger à côté de moi y me prenais dans ses bras je le repoussais, la journée y tentait des approches je l’envoyais valsé, oui je me rebellais.
Une semaine sont passé à esquiver Yanis, je voyais qu’il allait plus mal, mais je voulais rien savoir. J’étais en train de pliée le linge devant la télé quand il vient le sourire aux lèvres, ça fait du bien de te revoir sourire.
Yanis en ce maintenant devant la télé – Tu fais toujours la gueule ?
Moi – Bouge.
Yanis – Non, si tu ne me suis pas je ne bouge pas.
Moi – Yanis je ne rigole pas bouge !
Il vient me tire par le bras, me tire vers notre jardin, mes ses mains sur mes yeux.
Moi – Yanis tu m’énerve lâche moi.
Yanis enlevant ses mains de mes yeux – Surprise.
Je reste la figée, mais c’est sa qu’il trafiquait, mais on a n’as pas les moyens, mais elle est magnifique, j’étais trop heureuse il y avait une magnifique voiture garé dans le jardin, un magnifique monospace, et il n’y avait plus sa voiture, je me suis retournais et lui ai sauté dans les bras.
Moi – Elle est magnifique. Mais t’es fous on a n’as pas les moyens, et ta BM ?
Yanis – T’occupe elle te plaît ?
Moi – Mais bien sûr qu’elle me plaît.
Yanis – Vas l’ouvrir.
Je me dirige vers elle, mais elle est magnifique, j’ouvre je m’installe au côté conducteur je n’ai pas le permis, mais j’aimais cette sensation, je regardais par tous quand j’ouvre la boite à gants je tombe sur une lettre, je regard Yanis par le pare brise y me sourit l’air de dire ouvre. J’ouvre et là je trouve des passeports, le sien celui des petits et le mien, ainsi que des billets pour le Maroc. Mais c’est ça qu’il trafiquer depuis le temps, mais tous s’explique la mairie, le relevais, mais je suis trop contente les billets étais dans 1 semaine, je sors de la voiture pour aller remerciais l’homme de ma vie. J’étais en larmes dans c’est bras.
Moi – Putain j’ai été **** de douté de toi, c’est trop, je t’aime de trop.
Yanis – Mais non, ça te va dans une semaine t’es prête ?
Moi – Mais bien sûr, mais pourquoi tu m’as pas dit.
Yanis – T'as cru qu’avec ce temps on aller passée l’été ici, et faut que je te présente à mes grand parent toi et les petits.
Moi –Ah mais oui, mais c’est vrai, mais je ne suis pas prête du tous alors.
Il était mort de rire, car je faisais des manières, qui a-t-il de plus beau cadeau que le première été des bébés au Maroc ? C’était comme un voyage de noce improviser, c’était magnifique.
fin