Il décida de le brisée.
Yanis en se levant vers moi – ECOUTE MOI BIEN SALE PETITE K**** TU VAS PAS ME LA FAIRE A MOI QUI ME DIT QUE JE SUIS VRAIMENT LE PERE TA DU TE FAIRE TOURNER DANS TOUTE LES CAVES ET TU VEUX QUE SA RETOMBE SUR MOI.
Je n’étais pas assez brisée, torturé, blesser il fallait qu’il en rajoute, il fallait qu’il ait toujours les mots pour m’enfoncer, prend moi pour une fille de joie tant que tu es, prend moi pour une fille facile. J’en peux plus de toi et de ton égocentrisme, j’en peux plus d’avoir faire à toi, j’en peu plus d’être toujours celle qui est en tort, même en étant sur un lit d’hôpital et aillant ton enfant en moi tu oses m’insultait me blesser ? Je ne sais pas ce qui m’as pris par colère par haine, la méchanceté dont il a fait preuve en vers moi j’étais en train de faire une crise, j’arracher tous les fils des machines d’hôpital et je lui gueulé dessus.
Moi – DEGAGE SORT D’ICI JE VEUX PLUS TE VOIR, BARRE TOI ! OUBLIE MOI ! CES FINI, FINI JE VEUX PLUS TE VOIR !
Quand il a vu que j’étais hors, de moi il sait rendu compte que ce qui venait de dire ma blaiser il m’a attrapé les mains pour essayer de me calmer, mais sans était trop, c’était les paroles de trop. Les infirmières sont arrivé, elles l’ont sortie, et mon calmer je me suis endormie, à mon réveille y avait Anissa est ma mère, elle ne comprenait pas ce qui c’était passer, Anissa c’est allongé a côté de moi et moi je venais de réaliser, que j’allais devenir mère mais que mon enfant n’aller pas avoir de père car je n’en pouvais plus c’était trop pour moi, lui pardonner jamais j’y arriverai, il m’a trop blessé trop, trop fais souffrir pour lui j’ai ravalé ma fierté, j’ai perdu ma fierté…
Maman – Sa va benti ?
Moi – Non Yemma, j’en ai marre.
Maman – Y s’est passé quoi benti ?
Moi – Y veux pas du bébé.
Maman – Benti c’est hram d’avorté tu le garde et tu rentres à la maison avec nous, weld lehram.
Moi – Merci Yemma.
Enfin, enfin je pouvais retourner vivre chez moi, depuis le temps que je l’attendais, depuis le temps que Yemma j’espère te retrouvé mais désormais je ne suis plus seul il y a le bébé. Mon petit séjour à l’hôpital fut de courte durée. Malik est venu me chercher.
Malik – Je vais être tonton.
Moi – Oui in sha Allah.
Malik – Pah pah sa me les régales, challah que c’est un bonhomme.
Moi – Mdr, aller calme toi, il n’est pas encore là.
Malik – Mais ça va pas tarder, je vais lui apprendre a jonglé, a pister les gazelles.
Moi – Sa risque pas, je te le dit tout de suite.
Malik – On verra.
Mes frères était tous heureux d’avoir un neveu, ils prenaient soin de moi la veille ils sont tous rester à la maison, ma mère était heureuse, ils n’arrêtent pas de ma charrié.
Zouhir – Pourquoi il n’est pas la Yanis ?
Entendre son prénom était dur, je n’en voulais plus, c’était fini, je me suis levé et je suis partie dans ma chambre, je n’ai pas pu m’empêcher de pleurai en y repensant, comment a-t-il pu penser sa de moi ? Comment a-t-il pu me rabaisser à ce point ? Comment est-ce que je n’ai rien vu venir ? Je n’ai pas réagis et aujourd’hui je dois encaisser et avancer si je fais ça c’est pour le bébé, même si je n’en veux pas dieux me la envoyer et je dois en prendre soin. Sa toque à la porte j’ai essuyai mais larmes.
Kamel – Euh ça va ?
Moi – Oui rentre.
Kamel – Pourquoi tu pleures ?
Moi – Non rien t’en fais pas.
Kamel – C’est Yanis ?
Je me suis remise à pleurais Kamel, ma prise dans ces bras, est on s’est couché.
Kamel – Calme toi j’irai lui parler.
Moi – J’en ai marre.
Kamel – Dort okhty dort, ce n’est pas bien pour le bébé.
Je me suis endormie dans les bras de Kamel, merci d’avoir était la merci de me soutenir a la place de Yanis, il n’est pas capable de remplis son rôle de marie, sera-t-il capable de remplir son rôle de père, je ne pense pas. Le lendemain tout le monde a repris sa petite vie, on était moi et ma mère a l’appart elle m’interdisait de bouger j’étais donc allongée toute la journée, j’étais allonger je fixais mon ventre, et j’ai posé ma main dessus pour carraiser, un geste maternelle dira-t’ont ? Alors il y a un bébé qui se cache en moi ? C’est magnifique cette sensation, j’étais heureuse de devenir maman moi qui le rejette le savoir en moi, me redonner de la force, simplement ce geste me comblé, en fin d’après-midi sa toque à la porte. J’entendais parlé.
Maman – Salem w Alikoum.
X – Wahlikoum a Salem.
Maman – Rentré, rentré.
X – Merci Nadia est là ?
Maman – Oui elle dort elle est fatigué.
X – Elle a raison faut qu’elle se repose, il va bien le bébé ?
Maman – El hamdoulah.
X – Yanis m’a dit qu’il a fait une bêtise est qu’elle veut plus le voir, y regrette.
Maman – Une bêtise, y veut pas du bébé.
X – STARF ‘ALLAH. Weldi y rejette son bébé ?
Vous l’auriez compris c’était ma belle-mère, elle discutait avec ma mère elle était choqué, je suis quand même allé dire bonjour, quand elle m’a vu elle m’a pris dans ces bras, elle pleurait de joie.
Belle maman – Benti, weldi c’est un hmar y te mérite pas y regrette hier il est passé à la maison y m’a dit Nadia elle a un bébé mais elle veut plus de moi, reviens benti.
Moi – Khalti je ne peux pas ton fils y me fais trop de mal.
Belle maman – Pardonne lui benti, rentre à ta maison.
Maman – On va la laisser se reposer une fois qu’elle ira mieux elle fera son choix, benti vas dormir.
Alors comme sa y regrettais, c’est trop facile d’envoyer ta mère pour que je te pardonne est que je revienne comme si rien ne c’était passé, je ne peux pas Yanis tu me fais trop de mal, je te hais tu le comprends je ne veux plus à faire à toi, ce n’est pas ton enfant c’est le mien. Je me suis rendormie, une semaine chez ma mère les n’osais les vomissements, elle était la m’aider me soutenais mes frères essayer de comprendre ce qui ce passer avec Yanis mais je ne préférais pas leur en parler sa mère téléphoner souvent pour avoir de mes nouvelle quant à lui libre comme l’air pas de nouvelle, ta raison, je ne veux pas de toi. Un soir j’étais dans ma chambre Kamel viens me parler.
Kamel – Nadia, parle à Yanis y tourne mal en ce moment.
Moi – Y fais sa vie.
Kamel – NADIA JE RIGOLE PAS AVEC TOI SI Y CONTINUE Y VAS PAS TARDER A TOMBE !
Moi – Mais tu ne comprends pas j’en ai rien à foutre.
Kamel – Tu penses qu’à ta gueules tu veux que ton enfant grandissent avec un père en tol ?
Je n’ai pas pu m’empêcher de verser mes larmes, alors c’est bien vrai Yanis allé mal ?Suite bientôt IN SHA ALLAH.
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