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Plus que deux heures, 120 minutes, je me prépare? Je me prépare pas? Je m'endort, ferme les yeux, tous sa n'est pas vrais ce n'est qu'un cauchemart je vais me reveiller et trouver Yanis à mes côté, ce n'est qu'illusion, montage tous est irréelle. Mais si tôt ouvert la réalité est autre c'est Kamel qui dort a mes côté et faut que j'alle me préparais, il doit m'attendre, je me lève prend une douche, met la magnifique robe que ma offert Anissa, me fais un chignon, me maquille lègerement, mascara sa suffit. Je vais dans le salon ma mère ma pris dans c'est bras et à pleurais.
Benti - Tbark'Allah t'es magnifique.
Moi - Merci Yemma, pas autant que toi.
Anissa arrive - Pah pah trop belle, lâche t'es cheveux.
Elle mas fais une que de cheval, et elle restais la à me contemplais.
Anissa - Vite que je me marie et que je tombe enceinte comme toi.
Moi - Mdr patience, vas reveiller Kamel.

Quand Kamel ma vue, il a sourit il m'as pris dans ces bras et ma fais un bisous sur le frond. Ma mère à encore pleurais, c'étais la séquence émotion à la maison.
Après Kamel c'est préparais nous avons pris la route. On était silencieux plus on approchais, plus j'avais envis d'y dire fais demi tours, que c'étais pas une bonne idée. Kamel me regardais j'étais soucieuce.
Kamel - T'inquiète sa va bien se passer.
Moi - In sha Allah.
Je regardais pas la vitre, le monteur, a cesser de tournais.
Kamel - On est arrivait.
J'ai tournais la tête mais ou somme nous ? J'ai regardais l'horizon j'ai vu une prison, comment des être humains peuvent'ils vivres la dedans, ces sombre, ces gris, on pouvait ressentir, que de la tristesse réganais dans ces batiment que de la haine avait forgés ces murs. Pourquoi un homme trahis t'il sont propres frères et l'enferme t'il comme un vulguaire animal dans une cellule? L'homme est horrible, l'homme est cruel. On est trahis par notre propres éspeces. Je vous imagnie le soir, dans la nuit obscure entre lusure de ces murs revais de cete libertais tant espérais, entre chagrins et regrais, une pensée pour maman une pensée pour bébé, cette peine qui vous ronge, ne pas être la prêt de nous, pas être la quand on a besoin de vous, a cause d'un juge, d'une sentence, qui nous a privais de votre présence. Je ne cesse de pensé a toi, à nous, a notre avenir, a celle des nos enfants. C'est n'est pas un lieu pour papa, ce n'est pas un lieu pour nos frères, ce n'est ni un lieu pour nos pères... Une pensée a tous nos être cher, condamné qui passe leur journée dans des cellules enfermais, en copagnie de haine et regret.

"Dois-je regretter mes actes, ou dois-je les assumer ? Le diable m'a fait passer un pacte, et moi, je l'ai accepté…"

Je suis déscendu de la voitue, mes jambes on fraimis, vous vous rendez comptes vous n'étes pas encore née, et ou vous aventurais dans un endroit ou nul personne ne devrait y allait. Une choses et sur je vous y en protégerais. Kamel ma pris la main et on s'est avancée.
J'y vais ? J'y vais pas ? Est-ce une bonne idées ? Yanis veus tu vraiment me voir ? Ou le fais-tu pour te forgées une coscience afin de te faire pardonnée. Je marchais au pas, Kamel respectais mon choix, on s'avancait je me suis arrêtais j'ai regardais l'entrée de ce batîment c'est gens qui y rentrée tête haute et qui en sortais tête baisser, c'est mére de famille, c'est épouse, c'est soeur, c'est amies, comment l'état a t-il pu nous séparai? Laisser nos frères relancée l'économie du pays à leur façon, et vous occupais vous de la hausse du chômage, de la baisse du niveau de vie, de ce monde de fachiste dans lequel régne la France, de la crise financière, de toute nos entreprise que ferme, pourquoi parlais vous seulement de l'immigration ? Il a tellement de sujet auquel vous devriez y remediais, mais je ne ferais pas de politique car sinon on m'aurait élu présidente, n'est pas ? Non je rigole.

Oui ? Non ? Que dois-je faire? Mon coeur batais fort, mais larmes sont montée, les gens fesais la queu, et me regardais, en robe blanche enceinte, oh la pauvre. Leur pensée arrivais a mes oreilles, Kamel ma pris dans c'est bras. 
Kamel - Vas y okhty parle lui, je t'attend fais sa pour vos enfants.
Je me suis donc avancée, chaque pas que je fessais c'étais comme une éternitais, le batiment prennais de plus en plus d'empleur, nous étions en étais, mais plus j'approchais plus une fraicheur, me transpercais, c'est mur avais glacée mon sang, j'avais tellement peur, que je chercher du soutien auprès de mes bébés j'avancée la main sur le ventre, afin de les rassurais aussi. 
Moi - Mais bébé vous allée voir papa, reste sage, vous inquiète pas je suis la.
Premier contrôle, le temps me parait long, Yanis tu est à quelque mettre de moi, mon coeur t'appel, m'entend tu ? Les premières rentrée dans la salle, je me suis arrêter je voulais pas rentrée j'éssayer de contenir mais larmes pour pas craqué, avait-il changée? Etait-il toujours aussi magnifique? Une gardienne s'approche.
X - Sa va madame ?
Moi - Oui merci. 
X - Aller y entrée, y vous attend.
Il m'attend mon coeur c'est serrais, j'ai baisser la tête et je mis suis avancée. Comment vas t'il réagir ?
Je lève la tête pour le voir, je le chercher du regard quand y ses lèves. Mes larmes m'ont trahis ils ont pas pu s'empecher de coulais, les gens me regardais, je devais faire pitier, Yanis ma sourit, il avait le visage illuminais, il était heureux de me voir et sa se voyais, il a regardait mon ventre et à encore plus sourrit, qu'est ce qui peut-être magnifique mais en prison. Je me suis avancais vers lui je me suis assise en face de lui. J'ai si tôt baisser la tête, il est vraiment la en face de moi.
Yanis - Salem Merci d'être venu.
Moi - Salem c'est normal.
J'ai relevais la tête, il s'était laisser poussais un petite barbe qui lui allais magnifiquement bien, il a maigrit, ces heures enfermais ce fesais resortir sur les traits de sons visages, il avait l'aire épuissait. Il me dévorait des yeux il avait un sourire en regardant m'on ventre.
Yanis - Sa va ?
Moi - Hamdoulah et toi ?
Yanis - Hamdoulah et le bébé y vas bien ?
Moi - Oui y vont bien. C'est des jumeaux.
Il a sourrit, c'est yeux on brillait, il ma pris la mains qui était sur la table et la serrait. Je l'ai serrait a mon tour, on se ragardait dans les yeux, la première fois que Yanis me transmettais de l'amour, je pouvais lire dans ces yeux que cette évenement le rendais heureux. 
Yanis - C'est deux garçons ?
Moi - Oui.
Son visage s'éclairssicais de plus en plus de joie, je me suis rendu compte qu'il était enfermais durant des mois et que ma visite lui a fais énormement plaisir c'est en étant en face de lui que j'ai regrettais de ne pas être venus plus tôt.
Yanis - Nadia.
Moi - Oui.
Yanis- Pardonne moi, pardonne moi pour tous ce que je t'ai fais, j'ai longtemps cogitait et tu mérites pas sa, tu mérite pas d'étre ma femme mon pére à raison je suis et je resterai un bon à rien. 
Chaque mots chaque syllabe qui pronocais une larme coulais, je ne rêve pas Yanis tu t'excuses, tu t'en veux? Mais avec le temps plus les bébés grandissait plus, la haine que j'avais envers toi disparaissais et a fais place a des sentiments tu n'as pas le droit de dire sa, tu n'as pas le droit de te considérais comme un bon à rien.
Yanis - Pleure pas.
Moi - Yanis, non tu n'est pas un bon à rien, si tu l'aurait était tu ne t'excuserais pas, tu ne demanderai pas après moi, je te pardonne Yanis, si je fais sa c'est que les bébés ont besoins de leur pére.
Yanis - Z**** mais comment j'ai pu être aussi con avec toi, pourquoi tu reste calme, ma mère a la raison Nadia t'es une perle.
Mais larmes ne cessais de coulais Yanis serait fort ma main, pour me montrais qu'il était présent. 
Yanis - Séche t'es larmes, t'es magnifique.
J'ai laisser apparaitre un semblant de sourire, a voir sa toi la prison ta fait du bien, la prison a fait de toi un homme, avec un coeur et des sentiment. Je lui t'en une photo de l'un de mes echographies.
Moi - Tiens c'est pour toi, la y à bébé 1 et la bébé 2.
Il ma lâché la main pour regardais les bébés il étais facinais de ces deux êtres, il tournais l'image dans tous les sens. Apres il a levela tête vers moi.
Yanis - Nadia ?
Moi - Oui.
Yanis - Ta quelqu'un ?
Moi - Comment sa ?
Yanis - Tu ma remplacé ?
Moi - Non voyons on est marié.
Il a sourrit, il ma repris la mains.
Yanis - Tu m'attendras ?


Suite bientôt IN SHA ALLAH.
N'oubliez pas d'aimer S'il vous plaît !

As salam wa 3alikoum wa rahmatu'Allah wa baarakatuh ...

Chronique de Nadia : Mariée malgré moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant