Je ne vous ferais pas part de l’accouchement car pour moi c’est « hchouma », il s’est très bien passée, mes deux anges ont vu le jour ou plutôt la nuit, le 15 septembre 2008 à 3h45. Ils ont pesée 2kg 800, de beau bébé el hamdoulah, faut dire que j’ai beaucoup mangé j’ai pris du poids, mais quand on voie la récompense, il n’y a plus de complexités. Ils m’ont donc installé dans une chambre je me suis endormi car les mettre au monde c’est épuisant. Yanis tu n’as pas étais là pour couper leur cordons, tu n’as pas était là pour les voir venir au monde, être le premier à les serrais dans tes bras, voir ta progéniture voir le jour, assistait à leur premier cris, leurs première respiration, mes bébés papa n’étais pas présent, comme mon papa n’étais pas là, on vous prive de votre père comme on ma privais du mien, on vous prive de son amour comme on ma privais du mien, comme quoi mes bébés on a un liens qui nous unis. Papa si tu les aurait vu, ils sont tous petite tous mignon, leur petite main, leur petite pied, papa j’espère que de la haut tu les voies, que tes fières de moi et fière de tes petits enfants. Toi qui aurait aimé être grand-père toi qui nous parlais souvent de fondé nos propres familles, avoir nos propres enfants sache papa que désormais c’est chose faite.
A mon réveille mais deux anges étais à mes cotais l’un portait par ma mère et l’autre par Anissa, elle était heureuse ma mère me donna le siens que je pris pour la première fois dans mes bras, merci mon dieu, merci de m’avoir offert ses deux anges, d’avoir fait de moi une mère, je ne sassais de remercié mon dieu dans mes prières. Mes bébés se sont endormis ma mère m’a pris dans ses bras et m’a dit qu’elle était fière de moi. Anissa n’arrêtais pas de les prendre en photo. Quand soudain la porte s’ouvre, une dame voilée s’avance vers moi.
Ma mère – Bark’Allah w fik.
X elle m’embrasse. – C’est normal, In sha Allah mabrouk.
Moi – Merci.
Mais qui était-elle ? Pourquoi ma mère le remercie-t-elle ? Je ne l’ai jamais vu, quand soudain la porte se ré ouvre et je vois Walid entrée avec deux nounours géant, j’ai souris, il a fait de même car en plus de m’avoir amené ici, il ne vient pas les mains vide finalement ce Walid je l’avais trop vite jugé.
Walid en me tendant les nounours et embrassant les bébés. – Et bien félicitation.
Moi – Merci, c’est très gentille de t’a pars.
Walid – T’inquiète, alors comment s’appelle c’est deux merveilles ?
J’ai regardais l’un et l’autre comment s’avoir le quelle et Kais et le quelle est Saif ? Heureusement qu’il avait les petits bracelets à leur poigné, j’ai voulu que le première qui naisse porte le nom qu’avait choisi Yanis, et le second celui que j’avais choisi.
Moi – Alors là y a Kais, et la Saif.
X – Ma sha Allah, c’est des jolis prénoms benti.
Moi – Merci.
Walid – Ta raison Yemma, y sont magnifique.
Donc la dame était la mère a Walid, donc ma nouvelle voisine que je n’avais jamais vu, a je comprends donc sa présence, cette femme était rayonnante, je comprends la gentillesse de son fils en son égard. Après être restais un cours moment il avait décidais de s’en aller, ma mère avait demandais à Walid de la raccompagnais par la même occasion. Anissa était très heureuse elle n’arrêter pas de complimentais les bébés, les portais. Les infirmières venais prendre de nos nouvelles, les changés, moi j’avais du mal à bougés, il fallait que sa cicatrise.
L’un deux s’est mis a pleurais j’ai donc demandais à Anissa de ma le passait, je le regardais l’embrasser lui faisais des câlins mais rien voulais le calmé.
Anissa – Il a faim donne lui ton sein.
Moi – N’importe quoi appel l’infirmière.
Je ne sais pas y faire avec les bébés, il faudra m’y habitué. L’infirmière a confirmais qu’il avait faim, elle m’avait montrais la posture comment je devais le maintenir pour l’allaité. Quand soudain il a pauses c’est petite lèvre sur mon mamelons la première fois que je ressentais cette magnifique sensation, il était magnifique, mon propres bébé, c’est minuscule lèvre c’est main qui essaye de maintenir, ces petits yeux qui essayer de s’ouvrir, cette être fais partie de moi, cette être ces crée de Yanis et moi, Sobhen Allah. Il était tous beau, tous propres dans ses petits habilles bleu, je ne voulais plus m’en séparais, il s’était endormis, n’est-il pas choux. Je les reposais délicatement, pour qu’il termine sa sieste, quand c’est l’autre qui se réveille, et oui deux fois plus de tâche, deux fois plus de lait à fournir, j’ai fait les même geste qu’avec l’autre, ils sont tellement adorable, son petit corps, sa petite tête, et sa petite lèvre qui se pose de la même manière pour moi c’était une nouvelle sensation car ce ne sont pas les mêmes, je suis heureuse, Yanis il manque que toi, il faut que tu les voie, que tu les porte, que tu vois ce dont Allah nous a fait part. Je suis sûr que tu serais heureux autant que moi, que tu voudrais les portais, ce sont deux petits cristaux précieux, qu’il faut manier avec délicatesse. Mes bébés se sont endormis Anissa aussi, elle a fait une nuit blanche à mes cotais, elle était là à mes première contraction, à mon arrivais, à mon réveille, elle a portait mes propres bébés, ma propre sœur, tu représentes tellement à mes yeux tu aies toujours la quand j’ai besoin de toi, on ses formais dans la propres poche, on a grandi toujours l’une auprès de l’autre, désormais tu assistes à la naissances de mes propres en bébé, au sœurette on a grandi si vite, on a vécu trop vite, regard je suis mère à mon tour, tu es tata, alors que hier encore on était les bébés à maman. Le cycle de la vie…
La porte s’ouvre.
X- Chut !
X – Vas-y rentre !
Kamel et Malik s’avance.
Kamel – Yeah y sont née.
Malik viens m’embrasser – Mabrouk okhty.
Kamel à son tour – Tu la régale, ça va ? Sa c’est bien passé ?
Moi – Oui ça va, el hamdoulah sa c’est très bien passé.
Ils ne m’écoutaient même pas il était fascinés par les bébés.
Moi – Heureusement que j’ai pu comptais sur vous hier.
Pas de réponse chacun carraisait un bébé, lui fessais des bisous, ils les prenaient en photo.
Moi – Arrêtais j’ai eu du mal à les couchais vous les réveillez pas.
Kamel – Mais on les a pas vu réveillez.
Moi – Attendez leur réveille. Alors vous étiez ou hier soir ?
Malik – Smeh j’avais un truc à faire.
Kamel – Ouais. Regard l’autre bagra qui dort !
Moi – Laisser la tranquille elle au moins elle était la ! Et y sont ou Riad et Zouhir ?
Kamel – Zouhir y va arrivais avec Yemma et Riad Allah wahlem. Ta avertis Yanis ?
Moi – M’en parle pas 3 jours sans nouvelles, même pas un numéro pour le joindre.
Kamel – Chaud. Ah y c’est réveillez.
Kamel était surexcitait devant le lit du bébé, mais il n’ose pas le prendre, Malik de même. J’ai donc pris mon bébé dans les bras.
Moi m’adressant à Kamel – Vas y viens t’assoir à côté.
Il s’est assis à cotais de moi tel un enfant.
Moi – Tiens maintien le-là et là.
Kamel – Non garde le.
Je lui ai mis dans ces bras – Kais vas chez tonton.
Kamel et les bébés c’était magnifique à voir, on aurait dit la première fois qui portais un bébé il ne savait pas y faire, y ces même pas levé il le regardait tous sourire, il le serait fort contre lui, j’ai fait de même avec l’autre bébé et Malik, c’est magnifique de voir mes frères comme ça, leur vissage c’est attendrie, leur regard c’est éclairci, leur geste était tellement soigné délicats, mon dieu fais en sorte que mes frères ce range, faite en sorte qui retrouve le droit, chemin et qui fonde à leur tour leur propres famille, qui ait leur propres enfants, je l’ai contemplais mes frères, eux même des enfant qui on pas eu la vie facile qui on était privais de ton amour père, vous aussi je comprends que papa puisse vous manquer je comprends que vous aillez grandit sans la présence d’un modèle et quand la facilité c’est présentais vous n’avais pu que lui cédé je vous comprend mes frères. Mais croyez-vous que père serais fière de vous ? Croyais vous que père et venu en France pour que vous tourniez mal, non je ne pense pas il c’est tellement battu pour nous, battez-vous à votre tour, pour qu’il soit fière de vous. Je les regardais les dévorais des yeux les hommes de ma vie. Ils se sont décidais a ce levé et ce promenais avec dans le chambre chacun de son cotais.
Kamel – C’est qui le plus beau et c’est qui ? C’est Kais.
Malik – Allez dit hami Malik dit.
Kamel – Vas y ont échangent.
Il s’amusait avec les bébés, il en prenait soin, la porte s’ouvre la famille à Yanis, sa mère sort ces plus beau youyou, son père nous fais part de son plus beau sourire, ses sœurs se sont empressais d’embrasser les bébés. Le père de Yanis c’est avancé vers moi, il m’a déposais un bisou sur le front, qui était magnifique tel un père qui félicitais sa propres fille.
Beau papa – Mabrouk benti.
Mais larmes sont montais, il m’a pris dans ces bras, tout le monde assistait à la scène même Anissa ces réveillez et ces mise à pleurais, oh Papa tu me manque tellement papa, bébé a besoin de toi, bébé souffre sans toi, bébé a cessez de grandir quand on t’a ôté à moi, papa bébé et devenu adulte, il a mis au monde c’est propres bébé papa. Quand bébé a grandi, papa s’en est allée… La mère a Yanis ma pris à son tour dans ces bras, ainsi que ces sœurs. Il manquait plus que toi Yanis, il manquait ta présence, celle du protecteur de sa famille, celle du modèle de ses enfants, celle de la fierté de son épouse. Ils ne sont pas venus les mains vide, pleins de bon plats de cadeau, le moment qui m’a le plus touché c’est quand le père à Yanis a pris les bébés dans ces bras, il a versais des larmes de joie, voir votre propres enfants, avoir ces propres enfants, ça donne un coup de vieux. Les bébés se sont remis à pleurais trop de monde d’agitation, vous voyais mes bébés comme vous étés bien entourais, comment de personne sont la a votre arrivais, combien de personne attendais votre arrivais, combien vous étés aimée même si papa n’est pas la-vous pouvais contais sur la famille, votre nouvelle famille. Je lais ai donc allaité pour qui se rendorme, ils ont fait en sorte de pas faire de bruis, les hommes sont partie il ne restait que la mère à Yanis et ces sœurs ainsi qu’Anissa.
Après ce court séjours à l’hôpital viens le jour de sortie, les bébés se portais parfaitement bien, moi malgré que j’avais encore mal, on m’autorisa à rentrer. J’attendais avec impatience qu’on vienne me chercher, j’ai préparais les bébés dans leur berceau ma valise, ma mère m’aidait. Je m’attendais à ce que ce soit mon frères qui vienne me chercher pour que l’on rentre à la maison, mais quand la porte c’était ouvert c’était Lyes le frère à Yanis. J’avais complètement oublié que je devais aller vivre, chez eux en attendant la sortie de Yanis, j’ai donc souri, il a portais les deux berceaux ma mère les sacs et direction la maison, enfin chez les parent à Yanis. J’avais encore du mal à marcher car c’était douloureux. Arrivais chez eux, il y avait toute sa famille et la mienne c’était comme une surprise. J’étais trop heureuse, j’ai cherché du regard Yanis espérant qu’il était sortie que c’était lui mon cadeau, mais non il n’y avait pas de trace de lui. J’étais dessus mais heureuse d’être sortie de l’hôpital, il avait préparai un bon festin, mais avant sa y m’ont tous conduit à la chambre de Yanis. La porte était fermer ils m’ont dit d’ouvrir. Et là, le magnifique cadeau une chambre aménagé pour mes bébés et moi j’étais trop heureuse, il avait un grand lit sur le cotais, deux petits lits spécial bébé à ses cotais. Des nounours, des cadeaux.
Belle maman – C’est Anissa, Naouar et Warda qui ont aménagé sa te plait benti ?
Moi – Mais c’est magnifique, Merci.
J’ai embrassée tout le monde car toute le monde y avait participais. J’ai installé les bébés dans leur nouveau lits et j’ai rejoint le monde dans le salon, on a beaucoup parlais. Il y avait une bonne ambiance familial il manquait que Yanis.
Je suis allé m’installer dans cette nouvelle chambre qui était désormais la mienne, en ouvrant les placards il y avait des vieux habille à Yanis, sont odeur j’ai versais quelque larmes j’étais dans son monde, on me laisser enfin y accédait. J’avoue que j’ai fouillais un peu pour connaitre un peu plus sa chambre. Après sa je me suis endormis, qui dit bébé dit pleures, dit réveille pour sen occupais. Quand l’un ce mettais à pleurais il réveille l’autre par la même occasion, je me sentais vraiment gêner car sa réveillez la maison, et je n’étais pas vraiment chez moi, les soirs mère à Yanis ce réveillez pour m’aider en m’en occupais la journée c’était ces sœurs. Il s’en occupait souvent pour que je me repose et que sa cicatrise, je leur remercie de leur grand aide durant cette période. Les jours passé pas de nouvelle de Yanis, ça allait bientôt faire une semaine qui était née la normal voudrais qu’on les accueille avec une petite fête de leur arrivais, je ne m’en souciais pas mais la mère à Yanis et la mienne y tenais à cœur, elle préparait des gâteaux, ma mère venais souvent elle est Anissa. Anissa me parlais beaucoup plus de Walid que de Jawed je trouvais cela anormal, elle est fiançait a Jawed que je sache. Anissa me parlais, Naouar et moi on l’écoutait j’avais un bébé couché sur moi et l’autre dans les bras de Naouar, quand soudain le téléphone de Naouar sonna.
Naouar – Allo
Naouar – OH KHOUYA, SA VA ??
Naouar – EL HAMDOULAH ET TOI COMMENT TU VAS ??
Naouar – OUAIS ELLE EST LA !
Je ne voulais pas lui parlais j’avais compris qu’au bout du fil, c’était Yanis mais je lui en voulais de pas avoir pris de mes nouvelle de même pas avoir pris la peine de m’appeler.
Naouar – Tiens Nadia c’est pour toi.
Je lui fessais signe que non, je ne voulais pas lui parlait.
Naouar – Elle ne veut pas te parler !
Naouar – ELLE NE VEUT PAS JE TES DIT ! Nadia tiens hafek ! NON ELLE NE VEUT PAS !
J’ai quand même pris le téléphone !
Yanis – PASSE MOI MA FEMME NAOUAR !
Moi – Salem Yanis.