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Zou - T'es heureuse au moins ?
Si je suis heureuse ? Il y a un moi de sa je savais ce que se mon signifié, je savais ce que c’était être heureuse, mais depuis ce jour ou t’on frère ma annoncer cette nouvel, depuis ce jour ou ma vie est devenu un calvaire, je ne sais plus, je pense même qu’il n’existe pas, le bonheur ? Etre heureuse ? Ce n’est pas fait pour moi . . . Te mentir ou te dire la vérité ? Inquiété maman ou l’apaiser ? Approuver ce qu’a fait Kamel ou oublier et avancer ? Laisser une chance à Yanis malgré ce qui m’a fait ou t’enté de construire un avenir a deux et le pardonner en espérant qu’il devienne un homme dont papa aurait tant rêvé ? Cela fait qu’une semaine que nous somme marié, une semaine que j’espérais que tu fasses ton apparition, une semaine que j’attends que tu me libère de cette maudite prison. Mais durant c’est sept jours rien de tous cela ne s’est produit, rien de tout cela est arrivé, c’est donc le maktoub khouya ce qui devait arriver et arriver. Donc pourquoi tous gâcher alors que nous avons encore rien tentais malgré ce que j’en dur, ce que Yanis me fait subir, je ne veux pas tous gâché. Je veux essayer, si l’on en est là ce que c’est notre destinée, je ne veux plus inquiéter ma mère, je veux désormais construire mes repères, quitte a côtoyé Yanis, je la rendrai fière. Donc j’ai baissé la tête car mentir dans les yeux de mon frère m’aurait arraché le cœur.
Moi – Des petites engraine de couple mais el hamdoulah.
Zou – En cas de problème tu sais ou me trouvais.
Moi – T’inquiète, et toi alors rien en vue khouya ? T’es en âge de mariage.
Zou rigolant – In sha Allah okhty sa vas pas tarder.
Moi – Cachotier ta quelqu’un ?
Zou – Oui mais sa reste entre nous. Allez lève-toi y nous attende pour manger. 
Moi – Ta vue comme tu fuies le sujet ?
Zou – J’ai faim, on en reparlera.
Moi – ok.
On est parti les rejoindre au salon, Zouhir et Yanis avais vite trouvé un sujet de discussion il avait l’air de bien s’entendre, Yanis avait l’air d’apprécier Zouhir, qui ne peut pas l’apprécie il est tellement adorable. Mes autres frères sont arrivé on les a Salem, y se sont joint a la discutions d’homme et moi j’ai rejoint ma mère a la cuisine pour les aider. Ma mère me demander comment ça se passer à la maison avec Yanis je répondais que sa aller, Anissa me fusillait du regard l’air de dire « Arrête de mentir ». Mais que voulais-t-elle que je fasse ? Me plaindre, non cela n’est pas mon style. Une fois à table les garçons s’entendait bien, je me rendais compte que Yanis était tellement sociable avec mes frères, mais quand il était avec moi il était inexistant. Le repas fini, retour chez moi avec mon marie. Il me dépose et s’en vas, sans un mot aucun échange. Je m’endors le lendemain, j’ai décidé de préparer mes cours pour reprendre la fac, car j’en avais marre de rester toutes seul dans ce grand appartement, marre de côtoyais toujours la même personne et marre que cette personne ne me remarque pas. Lundi je retrouve le chemin de la fac, Anissa était heureuse car je l’avais manquer durant la semaine, on a vite retrouver nos habitudes, les cours sa aller, cela me permettais d’évacuer, cela me changer les idées certain diront j’aime pas les études et moi j’aimais sa c’est tous ce qui me sortait de mon train-train habituel, ce qui me faisais fuir de cette prison qui représentait ma maison. Pendant cette période je ne croisais pas Yanis y dormait pas à la maison y devait passer quand j’étais à la fac, car en rentrant je trouver toujours une trace de son passage : vaisselle dans le lavabo, ses habilles dans le panier à linge, son lit défait que je lui faisais, la télé allumé, de la nourriture sur la table. Tous cela ne trompé pas, et je me suis aperçu qui laissais de la monnaie sur la table de la cuisine, mais sachant d’où provenais cette argent cela m’écœurais et j’y touchais pas, il me fallait un travail et vite car je ne pouvais pas vivre avec son argent provenant du hram. Je suis donc allé à la recherche d’un emploie, mais où je vivais c’était déjà dur pour les gens diplômais alors pour moi, une semaine, deux semaine, pas de réponse et pas de nouvelle de Yanis. Un jour en allant au marché, je suis rentrée dans une épicerie, d’un vieil homme âgée, le voyant débordais des commandes des cartons de légumes a décharger, j’ai décidais d’attendre en dehors de l’épicerie sa fermeture pour y demander si il aurait besoin d’aide, s’il voudrait bien m’embaucher. Je voyais qu’il allait procédait a la fermeture, je me suis approcher de lui et Ma sha Allah c’était un être magnifique un vieux monsieur marquer par les traits de la vie sur son visage, il avait des petit yeux clair et les cheveux blanc, mais qui continuais a travail malgré son âge et son état de santé. Il m’a vu arrivai il s’est dressait devant moi comme pour me dire je t’écoute ma fille.
Moi – Salem w 3alikoum.
X – Wahlikoum a salem.
Moi – Excusez-moi monsieur, je vous ai vu travailler tous à l’heure et j’ai pas pu m’empêcher de remarquer que vous étiez seul et débordai. Je vous propose mon aide car je recherche un travail.
X – Benti c’est très gentille de ta part, mais mon fils et la d’habitude.
Moi – Ah d’accord, mh et bien merci quand même.

Je me suis retourné j’étais dessus, et j’avais une dizaine de sac de course, je faisais le pleins pour le moi entier sa m’éviter de revenir. C’était lourd a portais, je commencer à marcher quand le vieil homme m’apostropha. 
X – Benti.
Moi – Oui monsieur.
X – Ta vraiment besoin d’un travail ?
Moi – Oui monsieur.
Je me suis mis à lui expliquai ma situation que je venais de me marier que mon marie était dans le haram, cela ne va pas étonnai vu les cités ou l’on vivait, et que j’étais encore à l’école. Il avait l’air tellement compréhensif que je parlais, je me livrai, il avait quelque chose en lui qui inspirai confiance. 
X – Benti passe samedi matin, je vais voir ce que j’ai à te proposer.
Moi – Merci monsieur c’est très gentille à vous. 
Je suis repassé samedi matin, et il ma donner la chance de lui montrer ce que je valais, il m’a offert un emploi ce n’était pas le luxe, mais c’était déjà bien. Je devais rangeais les légumes et les petits rayons des épiceries arabe, c’était ce style. Je travailler le matin et l’après-midi j’allais à la fac. Un moi on passée, un moi ou j’essayer de m’habituer à mon quotidien de femme mariée, a un fantôme…

Chronique de Nadia : Mariée malgré moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant