L'hôpital était bloquer depuis seulement deux heures et pourtant les personnes qui y étaient avait les nerfs à vifs. Il devait y avoir environ 160 personnes dans l'hôpital, dont une dizaine de militaire qui étaient chargée de la surveillance du lieu pour éviter tout débordement. L'hôpital était composée en 3 parti chacune composée d'une équipe médicale de 10 personnes, et toute les parties de l'hôpital sont relier par un couloir bordée de chambre, c'était un petit hôpital avec seulement deux étages. Je me suis mis à compter les personnes qui n'étaient ni militaire ni médecin et je suis finalement arrivé au nombre de 120... et en retirant les personnes infectés ça donnait 100 tout rond.
L'aile médicale réserver au infectés fut interdite au personne non habilité et même le personnel médical chargée de leur cas ne put entrer en contact avec eux, l'armée prenait désormais les décisions de l'hôpital. Le groupe armé chargée du lieu se faisait appeler les loups et en les voyants on comprenait pourquoi... c'était tous des hommes avec un uniforme gris sombre et une arme de rafale en bandoulière, il se différenciait des militaires de base par une tête de loup dessiné sur leur épaulière. Quelqu'un exigea de voir sa femme qui était contaminée et cet homme s'adressa au garde qui était en charge justement de la surveillance de l'aile des contaminées.
- Laisser moi la voir ! Vous ne pouvez pas empêcher des personnes de voir leur famille et en plus de les séquestrer ici ! Lui cria dessus l'homme qui paraissait plus perdu qu'autre chose au militaire.
Sans même prendre le temps de lui répondre, le soldat le repoussa violement en redressant son arme. L'homme qui l'avait interpellé recula de frayeur avant de se retourner vers les personnes présente dans l'hôpital et qui était des civiles.
- Vous allez les laisser faires ? Vous ne voyez donc pas qu'ils vont tuer des innocents qui n'ont comme seule jugement le fait d'être malade ?
Des voix commençaient à s'élever un peu partout dans l'hôpital et la méfiance grandissait encore plus vite en voyant les réactions des soldats. Les soldats ont fermée l'hôpital de l'intérieur et le grillage du parking avait été cadenassé pour éviter tout véhicule de pénétrer le périmètre.
L'un des soldats m'interpella en voyant que je coordonnais l'équipe médicale.
- Vous êtes celui qui dirige cette aile médicale ? Me dit-il sur un ton parfaitement normal qui ne laissait transparaitre aucune émotion de sa part.
- Oui, pourquoi cette question ?
- J'ai besoin de vous dans la section qui a été privatisée pour les infectés.
Sans attendre ma réponse il m'entraîna dans la salle où tous les infectés était contenus et me pointa l'intérieur de la pièce qu'on voyait au travers d'une vitre blindée.
- Vous ne remarquez rien de suspect ? Dit-il en me pointant une nouvelle fois la pièce.
- Euh... non excepté des malades qui se tortille de douleur causé par la fièvre je ne vois pas grand-chose.
- Alors je vais vous le dire ce qui ne va pas. Vous avez des patients infectées hautement contagieux à l'heure actuels, au nombre de vingt en plus... Me dit-il en me fixant dans les yeux comme si il essayait de voir mon âme.
- J'ai peur de ne pas comprendre. Lui répondis-je.
Il me pointa une autre partie de la vitre blindée et je compris ce qu'il me montrait. La vitre était blindée et pourtant des marques de coups était clairement visible dessus et à divers endroits qui plus est.
- Vous voulez dire que les vingt patients présents ici font tous parti de la seconde phase du virus ? Lui dis-je en regardant un à un les malades.
- Pour tout vous dire, ont à du nouveau du côté de l'évolution de la maladie et désormais elle n'est plus mortelle du tout et se découpe en 3 phase distingue les unes des autres. Phase 1, la maladie infecte le corps par voie respiratoire ou alors par contact violent, c'est-à-dire tout ce qui est morsures et éventuels griffures.
Il continua à parler en me faisant signe d'écouter.
- Phase 2, le virus gagne votre cerveau et l'individu infectées devient extrêmement violent envers tout ce qui l'entourent, que ce soit un animal ou bien un humain le résultat est le même, il voudra le contaminée, mais il ne s'en prendra pas aux autres contaminées. A ce stade le patient ne ressent plus la douleur et n'est plus capable de parole proprement dîtes mais communique avec les autres infectées en criant, cela arrive en moyenne une semaine après l'infection quels soit respiratoire ou non.
J'allais encore une fois essayer de prendre la parole mais son geste de silence pour la seconde fois suffit à me faire obéir.
- Et enfin la phase 3, le corps de l'être contaminée commence à rentrer en putréfaction mais l'individu en question qui aura perdu la vue à cause de la putréfaction développera une ouïe super sensible. Cela arrive après plusieurs mois de contamination au stade 2.
Il me pointa les patients dans la salle qui était comme en transe.
- Ce que vous voyez là, ce sont des infectés de phase 2... Nous avons effectuées plusieurs tests sur des patients d'autre hôpital et les informations recueillis sont en notre défaveur. Les sujets contaminées ne ressente pas la douleur comme je vous l'ai dit mais n'ont plus également besoin que d'une seule heure de « sommeil », et leur capacité physique augmente... surtout au niveau de l'endurance. Et d'après le dernier rapport que j'ai en ma possession, le seul moyen de stopper un infectée qui serait arrivé au stade 2 est de lui causer un traumatisme crânien ou alors de le brûler tout simplement.
Le soldat qui me disait ça avait l'air d'être celui qui commandait les autres et c'est alors que j'ai réalisé ce qu'il me disait en me montrant les malades.
- Vous voulez... les tuées ? Je lui dis ça en étant sur de la réponse.
- Pas les tuées plutôt les libérées de cette maladie.
Il me montra un papier signé de l'armée.
- Ceci est votre ordre de mission, vous êtes sous mon commandement désormais par ordre de l'armée et l'ordre qui a été transmis dans tous les hôpitaux est l'exécution des infectés.
Sans que je puisse répondre il me fit sortir de la pièce et fit dégager tous les civils qui se trouvait entre la porte d'entrée principales et l'aile où se trouvaient les infectés. Tout le personnel médical du anesthésié les patients malades du virus puis le même soldat revint me voir.
- Nous allons les éliminées en bonne et due forme, me dit-il en sortant un objet qui ressemblait à une arme d'un sac.
- Qu'est-ce que c'est ? Lui posais-je bêtement.
- Ceci est un objet qui est utilisé dans les abattoirs pour tuées les bêtes sans douleur, lors de la détente une onde de choc violente se crée et il ne reste plus grand-chose du cerveau.
Il me fit une démonstration sur un patient qui se trouvait à sa gauche en posant l'objet contre son crâne.
- Avec ce système on en serra vite débarrasser, dit-il en souriant avant d'appuyer sur ce qui me semblait être la détente.
Le patient endormi par les anesthésiants fut une vive secousse et un petit filet de sang coula de son crâne.
- Voilà un de moins ! Cria-t-il comme une victoire.
Il fit de même avec tous les infectés avant de les faires évacuer emballer dans un sac isotherme à l'extérieur de l'hôpital. Les civiles présent et qui voyaient là devant eu, vingt corps allongé sans donné d'explication attisa le feu et l'homme qui avait interpellé un militaire il y a peu de temps devint violent envers eux. Le militaire en question, sans rien montrer de ces émotions leva son arme et un coup de feu parti suivi par la chute de l'homme au sol, sûrement mort sur le coup.
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Je veille sur toi
Adventure2045... la fonte des glaces est quasi terminé, le permafrost à dans sa grande totalité disparu pour laisser place à une route commercial en mer du nord... une route qui a accélérer la propagation du virus inconnue qui avait été identifié en cet endr...