Je veille sur toi

Chapitre 11

Les soldats partirent après avoir fermé le store avec le trousseau de clef, j'ai regardé la direction qu'il prenait avant de les perdre de vues.

La remonter acide me fit tousser et l'odeur qui s'était échapper du magasin fermer par le store me pris au tripe. Lorsque le soldat avait ouvert le store j'ai pu aisément voir des piles de cadavres en décompositions plus ou moins avancée, j'en déduisis que tous les autres stores devait être semblable à celui-là... quelques corps d'infectés était aussi visible parmi la chair grouillant de ver avant que le store ne soit fermer.

Après quelque minute je me suis remis à peu près de ce que je venais de voir, j'ai vérifié les alentours avant réfléchir sur ce qui venait de se dérouler sous mes yeux.

- Les soldats portait un uniforme gris avec un symbole de loup sur un brassard noir... ils sont forcément parti du groupe des Wolf qui était présent à l'hôpital il y a un an. Me suis-je dit avant de continuer à penser. Ils ont dû établir un camp ici... et d'après ce qu'à dis l'homme qui a été exécuter ils font travailler des personnes en échanges de tickets de rationnement... voilà qui explique que le centre soit vide, ils ont pris les ressources pour tenir entre leur mains les survivants qui viendraient, toute ces pensées à voix haute me tourmentait.

J'ai rapidement fouillé la pharmacie qui avait déjà été pillé préalablement, je ne pu y trouver que quelque bandage propre... si on ne compte pas la poussière comme une saleté et un flacon d'alcool à moitié vide. J'ai regardé le plan du centre qui était au mur une seconde fois avant de me décider à m'aventurer du côté de la passerelle qui permettait l'accès au camp militaire que je supposais être là-bas.

Après à peine une dizaine de minute de marche en étant au aguets, je suis finalement arrivé au pied d'une cage d'ascenseur ouverte avec au fond de celui-ci les ruines de l'ascenseur lui-même, je ne m'attendais pas à ce qu'il marche mais l'escalier me donnait l'impression d'être surveiller. J'ai regardé en contre bas avant d'envisager de l'escalader pour atteindre la passerelle.

J'ai pensées à la centaine... voir millier de cadavre sanguinolent ou pourrissant ici et me suis dit que je devais essayer de saboter leur camp, après tout si ils ont de l'électricité c'est surement avec un générateur qui fonctionne avec du fioul... il me suffirait de l'incendier ou de démonter la chaîne motrice. J'ai de nouveau regardé la cage d'ascenseur avant de sauter et d'attraper l'échelle de sécurité, cela ne me pris que une dizaine de minute pour arriver finalement à la passerelle où j'entendis des voix s'en élever.

- Soldat : Je te jure l'odeur est juste insurmontable quand on ouvre les stores, je te jure j'ai l'impression que je vais vomir à chaque fois, dis un soldat à un autre.

- Soldat 2 : Je te crois, après tout vous dites la même chose à chaque fois que vous en exécuter un, lui répondit-il.

J'écoutais en me demandant comment ces types pouvaient se considérer comme des humains... j'ai grimpé le dernier échelon et me suis retrouver derrière des caisses de ravitaillement de l'armée, elle était vide mais elles étaient empiler de tels sorte que elle me cachait largement.

- Soldat : Dire qu'il reste encore une dizaine de ces cloportes à nos crochets... dit l'un des soldats.

- Soldat 2 : Ta tout à fait raison, on est une cinquantaine à être stationner ici, on a nettoyé l'endroit et enfermer les infectés dans le parking sous-terrain mais ces foutus parasites de civiles de nous rapporte rien... fini le second soldat.

Les soldats partirent vers la section où se trouvait surement leur camp et je suis sorti de ma cachette le fusil lever. La passerelle était couverte de vitre brisé ou condamner par des planches, j'ai regardé rapidement dehors et ne vis que la ville qui se trouvait en bordure du centre commercial.

- Hum... ils sont nombreux ici et armée... ais-je réellement des chances dans un acte aussi futile ? Ais-je pensée.

J'ai remonté mon sac et un homme que je n'avais pas vu venir m'attrapa l'épaule et me colla contre la vitre de la passerelle, je ne pu voir son visage et il me retira le fusil que j'avais en main.

- Inconnue : Tiens un colporteur... désoler mais on est complet... me dit-il.

Je ne pouvais pas répondre mais je voyais dans le reflet le symbole des loups... sauf que celui était rouge surement le dirigeant des troupes ici. Il me traina en quelque seconde vers la cage d'ascenseur vide et me poussa dedans pour que je tombe, je me suis débattu comme j'ai pu et me suis tenu au porte défoncer de la cage d'ascenseur, je pu même lui mettre quelque coup mais il recula un peu avant de me donner un violent coup dans les côtes qui me fit reculer, j'ai glissé et perdu l'équilibre, je suis tombé dans la cage d'ascenseur vide en criant...

Une chute de presque vingt mètre suivi... et un bruit sourd termina la course vers le sol...