L'ombre s'arrêta au beau milieu de la vitre parsemer de poussière, je me suis vite redresser en me rendant compte de ce que je venais de lire... L'ombre se figea encore plus à mon mouvement et parti hors de mon champ de vision. J'ai pris mon sac et suis parti fouiller les parties accessibles du centre commercial.
Mes pensées ne cessais de se mélanger dans ma tête, « les loups sont-ils toujours ici ? » « L'homme derrière la vitre ma vue » et « je dois faire quoi si ils sont ici ? ». Tout cela me donna la migraine et j'ai essayé de ne plus y penser.
Je suis revenue devant les escalators et est commencé à escalader les gravats pour accéder au second étage qui avait l'air moins piller et délabrer que le rez-de-chaussée, du moins vu d'en bas. Les gravats de béton qui encombrait l'escalator ne fut pas un grand problème, il a suffi que je les escalades doucement pour passer par-dessus. Je marchais tranquillement sur le sol craquelé et recouvert de poussière par endroit, du lierre que je n'avais pas remarqué avait même poussé à même le sol à certain espace. J'ai remarqué la carte du bâtiment accrocher au mur comme le voulait les consignes de sécurité d'avant... après l'avoir examiné j'ai compris que le centre commercial était coupée en deux parties, reliée entre elle par une passerelle à l'étage plus haut qui était d'ailleurs le dernier.
Je me suis dirigé vers l'allée qui était destiné à la nourriture et sans surprise le lieu avait été pillé de toute part, éventré de ces ressources. J'ai levé le fusil en regardant autour pour vérifier les lieux, après quelques minutes à écouter en silence j'en déduisis qu'il n'y avait pas d'infectés proches.
Je marchais dans l'allée couvert d'étalage vite ou renversée, des conserves ouvertes jaugeaient le sol ainsi que quelque trace de lutte. Je n'ai pu trouver que 2 conserves à peu près intactes et des piles près d'une caisse, des sortes de barrières faites avec des caddies qui depuis étaient couvert de rouille bloquaient précairement l'accès au couloir. Je n'eus aucune peine à les franchir, je me suis dirigée vers l'allée pour le bricolage qui se trouvait près d'un accès à la pharmacie. En marchant dans ce couloir sombre je distinguais vaguement des tentes et des matelas pourri par le temps et la pluie, ils étaient disposés en cercle à divers endroit, ce qui me prouvait que l'endroit avait bien été habité un certain temps.
La lumière revint à la fin du couloir, j'ai fouillé la section bricolage qui avait été bien moins pillé que celle pour la nourriture. J'y aie trouvé des tournevis au nombre de 3 et une lampe qui était compatible avec les piles que j'avais trouvé plus tôt, j'ai vite rangé tout ça dans le sac et j'ai remis le fusil en bandoulière en trouvant une petite hachette.
- Pas si mal au moins je pourrais me défendre assez facilement... me suis-je dis à voix haute avant de m'accroupir en entendant des bruits de pas et des voix à peine audible.
Je me suis caché derrière un étalage qui permettait de me laisser un accès visuel au couloir d'où venaient les sons et je vis un groupe de 5 hommes arriver.
Les 5 hommes parlaient entre eux et lorsque qu'ils sortirent du couloir je pu distinguer que 4 d'entre eux portait un uniforme militaire gris sombre, le cinquième avait un sac sur la tête et à ces mouvements semblait paniquer.
- Soldat 1 : Tu es le troisième de la semaine j'espère que tes amies comprendront la leçon. Dit le soldat à l'homme capuchonné.
- L'homme capuchonné : Vous... Vous n'êtes pas obligez de faire ça... laisser moi juste partir, dit-il avec une voix tremblante de peur.
L'un des soldats lui donna une tape sur son crâne avant de lui répondre :
- Soldat 2 : Ferme là ! On fait ça pour votre bien et puis sa permettra d'effrayer les prochains qui essayerons de pas bosser. Lui dit-il sur un ton rieur.
Les autres soldats autour rires au détriment de l'homme capuchonné qui fut mis à genou à la sortie du couloir.
- L'homme capuchonné : Je... je... je ferais tout ! Vous voulez des tickets de rationnement ?! Prenez-les mais pitié laisser moi partir ! Cria-t-il laissant transparaitre dans sa voix la peur pendant que des larmes coulaient sous la capuche.
Les soldats autour continuaient de rire puis brusquement tous s'arrêtèrent et l'un d'entre eux leva son fusil mitrailleur.
- Soldat 2 : On s'en fou de tes tickets de rationnement, nous ont mangent largement à notre faim ! Par contre pour ne pas avoir réalisé ton cota de la semaine tu vas être exécuté. Lui dit-il bizarrement en prenant un ton très calme à la fin.
- L'homme capuchonné : Pitié !!! J'ai une enfant je ne peux pas la laisser seule ! Hurla-t-il en transe, ses mains attacher dans le dos tremblait et des marques de luttes étaient visibles sur celle-ci.
Le soldat lui donna un coup de crosse ce qui le fit tomber au sol, le rendant encore plus misérable comme ça.
Je serais mon fusil en hésitant à l'aider... mais si je le faisais mes chances de survivre face à 4 hommes armés de fusil mitrailleur étaient proche de 0. Je fis le moins de bruit possible en les regardants faire, les hommes à l'uniforme gris avait tous un brassard noir sur le bras avec une sorte de forme de loup dessus...
Mes yeux étaient figer sur l'homme tremblant au sol puis... les tirs sont arrivées... 12 tirs pour être exacte... des lambeaux de chaires avait volé par-ci de-là, le sang coulait au sol abondamment et les douilles qui rebondissent sur le sol ont résonné dans ma tête plusieurs minute...
L'un des soldats traina l'homme partiellement en lambeaux vers un store d'un magasin fermé, il l'ouvra avec un trousseau de clef et ce que j'y vis manqua de me faire vomir...
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Je veille sur toi
Adventure2045... la fonte des glaces est quasi terminé, le permafrost à dans sa grande totalité disparu pour laisser place à une route commercial en mer du nord... une route qui a accélérer la propagation du virus inconnue qui avait été identifié en cet endr...