Prise de main 2

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 La foule se dissipa et la colère laissa place à la crainte, le corps de l'homme eu le même traitement que les 20 infectés.

Je regardais dehors un camion militaire empiler les sacs avec les corps quand des morceaux de conversations entre les deux gardes me vinrent aux oreilles. De ce que j'en ai compris, ils hésitaient à les brûler ou les enterrer.

Je me suis assis dans mon bureau et est répondu à la tonne de message que Léa m'avait envoyé, elle s'inquiétait beaucoup pour moi et apparemment les événements dehors ne se passait pas mieux que ici. En levant la tête pour regarder la chaîne d'information qui diffusait en direct toute l'actualité, je vis à quels points en dehors de l'hôpital c'était devenu le chaos. Le gouvernement essayait de cacher les risques de la maladie tant bien que mal, des manifestations sur les grandes avenues se sont transformer en véritable guérilla entra force de l'ordre et manifestants. J'ai regardé autours de moi et tout le monde dans l'hôpital avait les yeux rivés sur l'écran. Une journaliste se trouvait devant un hôpital d'une grande ville :

- Je me trouve actuellement devant l'hôpital Beaufort, où des violences se produisent pour essayer d'entrer dans l'établissement. Dit la journaliste avant que sa voix ne soit recouverte par celle des manifestants.

Le temps que la journaliste puisse reprendre la parole, j'ai regardé dehors et je vis exactement le même spectacle que celui auquel était confrontée la journaliste. La voix de la journaliste regagna le téléviseur :

- On m'annonce que les malades ont été éliminées pour que la transmission ne se produise pas... A-t-elle dit avant que son micro ne se détache et ne soit totalement utilisable.

Le caméraman continuait de filmer, tout se déroulait devant les grilles de l'hôpital où cette fois les patients n'avait pas encore été éliminée, des violences au sein même de l'hôpital ont retardé cet actions.

Les personnes autour de moi commençait eu aussi à être à bout, et les militaires se tenaient devant l'entrée principales bloquant ainsi la sortie. Mon téléphone continuait de vibrer par les messages de Léa mais également par des appels et des messages de mes proches qui s'inquiétaient. Le son fut remis par la journaliste mais pas de commentaire de sa part, seulement les sons extérieurs étaient transmis.

La caméra faisait des mouvements comme si elle était sur un bateau, et les cris de protestations des manifestants faisaient rage devant le portail de l'hôpital Beaufort. Quand les militaires levèrent leurs armes pour faire fuir les protestataires, cela n'eux aucun effet et la violence s'engagea alors entre manifestant et militaire. Le portail commençait à s'ouvrir pendant que les coups faisaient reculer les forces de l'ordre. Mais tout fut stopper en un instant par un bruit assourdissant, les yeux des manifestants et des militaires étaient river sur l'hôpital devant eux. Une autre explosion suivie et les vitres de l'hôpital Beaufort volèrent en éclat, suivi par une fumée noire qui s'échappa par les vitres brisées.
La journaliste reprit le micro est essayer de parler tant bien que mal :

- Aux dernières infos des bombonnes de CO2 auraient explosé dans la section des malades... elle se stoppa et se retourna, regardant l'hôpital également.

Les portes de l'hôpital Beaufort éclatèrent un fragment de seconde plus tard et les manifestants se dispersèrent dans tous les sens. Des civiles et des personnels de l'hôpital sortaient en courant comme poursuivie... des coups de feux étaient visibles au travers de la fumée et un cri suivie par une dizaine d'autre se firent entendre également avant que les premiers infectés ne sortent de l'hôpital. Les militaires de la grille se mirent en position en commencèrent à tirer au travers de la fumée.

Tout le monde regardait l'écran avec un mélange de crainte et d'incompréhension. Je dis à Léa de verrouiller l'appartement et de fermer les fenêtres jusqu'à ce que je revienne. Mon regard c'est de nouveau fixer sur l'écran en voyant les infectés qui courraient sur les soldats et qui réussissaient à les mettre au sol, des gerbes de sang suivirent avant que la caméra ne tombe au sol et ne diffuse plus que quelque image toute les 5 secondes, cris... tirs... sangs... puis une nouvelle détonation et la caméra se tut...

Je veille sur toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant