Chapitre 14

388 29 16
                                    

Ma main part machinalement s'abattre sur cette cuisse rouge qui, à mon touché frémit violemment

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Ma main part machinalement s'abattre sur cette cuisse rouge qui, à mon touché frémit violemment.

La rougeur, visible sur de longues distances, s'étend entièrement sur une bonne parcelle de sa cuisse qui, ayant été exposée à de risques températures semblaient s'être empourprées, sévèrement, bien que l'épais manteau de fourrure lui va jusqu'aux cuisses. Ma main qui brûle sa peau telle une bouilloire en pleine fusion s'aventure dangereusement vers son sexe qui, contrairement à ses jambes a encore gardé de sa tiédeur maladive.

Elle vient retracer tendrement d'anciennes marques qui, comme je m'étais attendu, sont restées telles une cicatrice faite par de profondes lames gravées sur sa peau. Ces coupures tendent cependant à se faire moins visible avec le temps. Les autres mâles qui voudront lui faire du charme sauront désormais qu'elle est la propriété du gros chat noir que je suis et qui, depuis ce matin, avait repris une forme humaine, forme dans laquelle je prends un malin plaisir à pouvoir la dominer.

Ma femelle ne laisse paraître aucun frisson, aucun frémissement qui serait le doute d'une quelconque frayeur quant à l'inattendue découverte de ma vraie nature. Elle semble même ne pas s'en préoccuper davantage, exprimant indirectement son ennui total à vouloir me connaître si ce n'est que ma queue, qui avait eu la chance d'avoir été caressée à me rendre faible, a réussi à attiser le moindre intérêt pour moi.

Je souris inconsciemment à cette douce pensée qui me trotte longuement la tête tandis que ses prunelles noires, qui fixent inlassablement mes doigts prendre un chemin hostile à l'intérieur de son short, remontent lentement pour rencontrer avec défiance les miennes.

Mes yeux tentent de la rassurer, de l'apaiser en lui murmurant silencieusement à quel point je l'aime tandis que les siennes, qui ne semblent pas apprécier le spectacle qui se défile devant nos yeux me regardent durement. Mes doigts, qui ne cessent d'effleurer le haut de sa cuisse tant cette peau à la douce odeur de jasmin est encore froide jouent allègrement avec sa culotte pour parvenir à toucher sa vulve.

Stop !, elle s'écrit soudainement, me faisant rebondir sur le matelas alors que je ne m'attendait pas à une telle intervention

Ma femelle écrase vivement sa main contre la mienne pour empêcher quiconque d'avancer de plus belle vers son sexe que je sens se contracter pour la première fois à une possible peur d'être à nouveau touché. Alors que de son autre main, elle me lance violemment un sac en plastique en pleine tête. Le sac qui avait amorti inévitablement sa chute sur mon pauvre visage, retombe misérablement sur le matelas sur lequel il laisse échapper des vêtements qui semblent appartenir à celui d'un homme.

Habillez-vous que je n'ai pas à baisser les yeux en vous voyant..., elle me dit calmement, me regardant toujours aussi froidement comme elle en a l'habitude

Ses doigts de nymphes s'agrippent fermement à mon bras qu'elle me le retire brutalement pour que je n'ai pas à toucher cette zone qui reste jusqu'à aujourd'hui encore inexplorée. Ses yeux qui ne cessent de me toiser violemment du regard à croire qu'elle ne me voit que comme son pire ennemi parlent d'eux-mêmes lorsqu'ils se mettent à fixer longuement mon pénis qui est recouvert d'une épaisse couverture.

L'hybride - TaehyungOù les histoires vivent. Découvrez maintenant