Le démon des samouraïs

Okita Sōji

Après que les combats est pris fin nous rentrions au Shinsengumi. Un silence de mort peser au sein de la marche, le seul bruit que l'on pouvait entendre était celui de nos pas. Il est drôle comme la victoire peut avoir un gout amer dans la bouche, beaucoup de personnes pense simplement que si nous gagnons une bataille nous en sortons fière et droit mais non. En l'occurrence ici Shinpachi marcher la tête basse et les bras lasses le long de son corps, nous avions perdu deux hommes ce jour-là, trois étaient gravement blesser dont Heisuke et sept autres avec des blessures plus légère. Ce jour restera à jamais marquer dans nos esprits et encore plus celui du jeune Heisuke, l'ennemis était maintenant belle et bien présent, il était maintenant impossible de faire demi-tour il fallait que l'on se prépare à les recevoir  et ne surtout plus les sous estimer.

Une fois arriver au dojo les garçon qui transportent Heisuke, le dépose  dans sa chambre je les suis sans rien dire tout en observant leurs faits et gestes. Je m'accroupie aux chevet de Heisuke, on m'aide à l'installer correctement dans son lit puis je regarde si il n'a pas de fièvre avec ce qui venait de se passer cela ne m'étonnerais pas qu'il nous en déclare une mais j'aimerais que cela ne soi pas pour toute suite. Je demande aux garçons que l'on m'accompagne au près de tout les patient que je devais voir aujourd'hui et bien-sur du plus grave au moins grave ce qui tomber sous le sens.. 

J'avancer de chambre en chambre pour aller voir dans les deux autres cas les plus graves, se qui restaient avec moi était Kondô-san et Sôji, l'un qui était très inquiet pour les hommes qui sont sous ses ordres et l'autre je pense tout simplement qu'il le suis comme un enfant qui suis sa maman, il regarder toujours se que faisais Isanami Kondô, je trouvais cela assez fascinent je voulais savoir pourquoi ? Quel était leurs relations ? Cela faisais partie des choses qui m'intriguait le plus chez cette homme ça, et son regard. Quand je l'est vue tout à l'heur combattre quant-il ma escorter jusqu'à Heisuke, je n'est pas pue faire autre chose que le regarder, sa gestuel, son sourire qu'il a en plein combat comme-si cela l'exciter et son regard avec cette lueur qui ma fait immédiatement pensé à une bête sauvage qui aller tuer sa proie.

Je m'assoie au niveau de l'un de mes patients, puis j'entend Kondô me parler.

_ Vont-ils réussir à survivre ? On pouvais entendre l'inquiétude et la tristesse dans sa voix.

_ Je ne suis pas devins et encore moins magicienne, alors je ne peu rien vous dire, je n'est pas envie de vous donnez de faut espoirs, déjà que je peux voir dans qu'elle état vous met cette situation. Il serais pour moi inconvenant de vous voire vous torturer plus. Lui dit-elle tout en continuant de s'occuper de son patient et sans prêter le moindre regard à son interlocuteur.

_ Je suis désoler de vous causer des problèmes en plus. Surtout que vous avez votre fils dont vous devez vous occuper et je vous est fait venir ici pour assister à des images qu'une femme ne devrais pas voir. Dit-il, juste à entendre le son de sa voix on peut entendre la franchise de cette homme.

_ Je fait simplement mon boulot alors pour cela vous n'avez rien à vous reprocher, je dois même vous vous remercier grâce à vous je fait se que j'aime. Et pour Haku.... Je...Je. Je venais de réaliser que je ne lui est apporter aucune nouvel, je l'est complètement oublier, j'était tellement absorber par ce que je faisait , que j'en avait oublier la nuit était tomber maintenant alors que je suis partie en fin d'après-midi il doit se poser tellement de question.

Je me retourne avec un visage remplie d'inquiétude en regardant Kondô, plus un seul mot ne sort de ma bouche et je ne bouge plus, ne savant plus quoi faire. Mon instinct premier est d'aller voir mon fils, mon corps commence à bouger quand.

_ Je vais aller le voir, toi reste ici et occupe toi de eux. Me dit Sôji d'un aire sérieux.

_ Mer...Merci, lui répondit-je avec les joues légèrement roser. Puis Sôji partie immédiatement.