Les larmes d'un cœur et la chaleur des lèvres

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Nous somme un soir du mois de novembre en 1850, dans la ville de Kyoto actuel capital du Japon. Une nuit noir avec un ciel remplie d'étoile comme souvent et calme de sur-crois, mais cela ne dure j'ai longtemps le son d'une cloche résonne dans cette nuit sans bruit et brise le silence. Un feu venait de se déclarer dans une maison, il fallait vite intervenir car les maison étaient toutes coller les unes autres il faut éviter que le feu ce propage au plus vite aux autres maison. Les habitants vont créé une colonne pour combattre ce feu, chaque personne l'une dernière l'autre ce passe des sceaux d'eau le plus vite possible. Ce ne sera qu'au petit matin que les véritables dégâts apparaisse à la vue de tous, une famille entière à était retrouver calciner dans les décombres, quand au deux maison qui entourais cette dernière elles aussi avaient était toucher mais heureusement que matériellement. C'est à la première heur que le Shinsengumi à était appeler pour mener une enquête et savoir si il s'agissait d'un accident domestique où d'un meurtre.

Mais personne ne pue savoir ce qui c'était passer il ne restais rien, mis à part des cendres et quelques planches de bois miraculeusement intacte. Ils avaient interroger les voisins, ce demandent si quelqu'un avait entendu quelque chose mais rien tout le monde disaient qu'il faisais nuit alors les gens dormait. Ne pouvant rien faire de plus le capitaine Hijikata fait signe à la brigade qui l'accompagner de rentré. Les jours et les nuits passe mais les feu continu de se déclencher la nuit une dizaine maison avait pris et malheureusement avec toujours ces habitants dedans. Alors Hijikata et Kondô organise une réunion des capitaines pour parler de ce qui se passait en se moment.


_ Hijikata : Messieurs comme vous le savez déjà les conflits interne ce sont intensifier depuis peu  et en se moment se sont les incendies volontaires qui  se font de plus en plus nombreux.

_ Heisuke : Comment peu tu dire volontaire, je croyais que nous n'avions pas de preuve ?

_ Hijikata : Effectivement on en à pas mais faut pas être dupe. Une dizaine d'incendie dans les mêmes environs, il se passe quelque chose que nous ignorons pas pareils.

_ Sôji : Sauf que à chaque fois il s'agit de famille, se ne son même pas des commerçant ou encore des samouraïs. La seul chose qu'ils en commun c'est d'habiter dans le même quartier.

_ Saitô : C'est pour cela que c'est étrange, quand on pose des questions aux voisins personnes ne sais rien et n'a rien vue, nous devrions voir de plus près.

_ Hijikata : En effet, cette nuit nous partirons en petit groupe séparer pour surveiller et couvrir un maximum de zone possible, et jusqu'à temps que l'on trouve les criminels.


Les hommes se sépare après ce discourt pour retourner chacun à ses occupations. C'est quand la nuit ce sois bien installer et dans les environs des 22h que les équipes partent en directions de la capital, chaque équipe est composer d'au moins deux capitaine et de dix hommes, pour être tout de même apte à combattre contre n'importe quel adversaire. Il faudra attendre la troisième nuit consécutive pour que des hommes suspects se font découvrir. Sanosuke et Sannan reste à l'abri cacher derrière une ruelle pour espionner, mais envoie tout de même un de leur homme prévenir l'unité la plus proche qu'ils on trouvaient  des personnes qui ne devraient pas être ici à cette heur-ci de la nuit. quand l'un des hommes sortie quelques chose de sa veste il n'en fallait pas plus pour le petit groupe de les attrapés. Vue que les hommes étaient qu'au nombre de trois il n'a pas fallu au groupe longtemps pour les maîtrisés, et c'est au même moment que les renforts arrive.


_ Shinpachi : On dirais qu'on est arriver en retard, dit-il avec son aire enjouer habituel.

Le démon des samouraïsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant