0.7

543 71 7
                                    

𝕄𝕖𝕤 𝕗𝕚𝕝𝕤 𝕤𝕠𝕟𝕥 𝕞𝕒 𝕣𝕖𝕝𝕖̀𝕧𝕖 💲
_________

(Quelques minutes avant)

Je regarde mon père s'éloigner de plus en plus puis me tourne vers Mayson et Liam qui étaient à fond sur la fontaine. En attendant j'ai bien envie de titiller Jayden.

Je lui lance un sourire que j'étale en grand sur mon visage.

Moi : Comment s'appelle l'élue ?

Il s'étouffe avec son verre.

Jayden : Va clairement te faire mettre Kenzo ta race.

Moi : C'est mignon tu es gêné.

Son pied vient heurter mon tibia sous la table et directement je m'appuie sur la table espérant étouffer la douleur qui me traverse à la seconde qui suit.

Kaïs laisse échapper un rire avant de boire son verre.

Kaïs : Les retombées petit frère.

En essayant d'oublier la douleur je lui fais un doigt. Enculé.

C'est seulement environ 5 minutes après, et encore, que la douleur s'estompe. Laissant largement le temps à Mayson et Liam de revenir, celui ci d'ailleurs a le contour de la bouche entièrement recouvert de chocolat, je grimace.

Moi : Viens là petit crade.

Il s'approche en sautillant et pose ses doigts collants de chocolat sur mon bas de costume, je grimace à nouveau.

Moi : Rappelle moi de te faire laver mon costume à la main Liam.

Il sourit de toute ses dents. Je souffle et lui nettoie la bouche avec un mouchoir que je sors.

Il repart ensuite se rassoir à sa table et prend des mains le paquet de bonbons que Mayson lui tenait.

Quelques minutes passent à nouveau et mon téléphone vibrant dans ma poche me stoppe dans le jeu de regards dans lequel je m'étais lancé avec une meuf.

Je fronce des sourcils en découvrant le « numéro masqué » écrit. Je décroche et porte le téléphone à mon oreille.

Moi : Kenzo Dayne.

Seule une respiration saccadée me répond.

Moi : Eh ? C'est qui là ?

??? : Monsieur Dayne, c'est mademoiselle Ferreira...

Un air de surprise se laisse facilement deviner sur mon visage, elle me veut quoi elle ?

Moi : Oui ? Il y a un problème ?

Amélia : O..oui...à votre bureau venez de suite nous avons...un problème...

Je fronce encore plus des sourcils et raccroche après avoir lancé un vif « j'arrive ».

Décidément, je peux jamais m'absenter sans qu'il ne se passe une dinguerie.

Dans La Cour Des LionsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant