Dans La Cour Des Lions

0.8

𝕄𝕖𝕤 𝕗𝕚𝕝𝕤 𝕤𝕠𝕟𝕥 𝕞𝕒 𝕣𝕖𝕝𝕖̀𝕧𝕖 💲
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Elle se lève de mon bureau et vient tourner autour de moi une main se déplaçant à son actif sur moi. Je me mord la lèvre.

Moi : Donc c'était ça l'urgence ?

Elle arrive déjà qu'elle me rend dingue. Elle se positionne derrière moi, mais je tire sur sa dentelle verte et la ramène à mon torse.

Moi : Vous allez regretter.

Amélia : Profitons, j'aurais tout le temps de regretter plus tard. Et vous aussi...

// Mayson //

Je me tourne encore et encore dans mon lit. Je grogne et jette un coup d'œil à l'heure de mon téléphone. 4h30. Bordel.

Je grogne et me lève, enfile un tee-shirt et sors de ma chambre. Je descend en bas et m'assois sur le comptoir de la cuisine. Je me sers un verre d'eau et me met à l'actu foot sur mon téléphone.

5 minutes après j'entends la porte s'ouvrir et la tête de Kenzo apparaître. Un petit sourire en coin se dresse sur mon visage. Un problème avec son secteur hein ? Bien sûr.

Il ne me calcule pas étant donné la grande distante qui nous séparait et s'affale sur le canapé du salon. Un con, mon petit frère est un con.

Mon téléphone affiche une notification. Lorhan, mon putain de frère de coeur.

De Lorhan : YO poulette prépare toi demain c'est ta première soirée depuis ton arrivé ! Met toi en bombe !

J'inspire, je crains le pire. Les idées de Lorhan sont jamais bonnes à prendre mais bon.

Je ne prends pas la peine de répondre à son message et retourne me coucher, je lui répondrais demain.

Le lendemain, 13h

La tête de mon assistant apparaît derrière la porte et il me sourit. Sourire que je lui rend.

Jeffrey : Alors alors, comment ça se passe, vous avez préparez un speech ?

Moi : Moi, besoin d'un speech ? J'y vais au talent Jeffrey.

Je me lève et sors de mon bureau suivis de près par lui. Je rentre dans la salle de réunion et fais face à tous les reporters que j'ai recruté. Bon, again.

[...]

Moi : Les potages ?

J'essaye de dissimuler un petit air de rigolade sur le visage de Mademoiselle Fuentes mais rien. Putain.

Elle : Divers et variés je peux très b...

Je la coupe.

Moi : Pas besoin, je ne veux pas de potages comme article.

Une femme lève timidement sa main. Si je me souviens bien, elle s'appelle Emma Frenesi..

Moi : Une proposition ?

Elle : Oui. J'ai un contact qui pourrait nous faire une petite interview. Wiliam est chargé de l'affaire Wilhow. Alors on pourrait peut-être avoir son point de vue.

Je me tourne vers le tableau et jette un coup d'œil aux idées déjà notés avant de me tourner vers elle.

Moi : Bien, vous travaillerez donc avec William. Si ça ne le dérange pas bien sûr.