- Éloignez-vous. Laissez moi donc en paix.
- Mais pourquoi? Vu que nous nous sommes plut au premier regard, dans ce parc ou il pleuvait des roses par milliers...
- Je le sais, mais nous ne pouvons pas nous voir. Je suis navrée.
- Mais pour quel raison? Ma douce vous ne me croyez pas sincère en l'expression de mes sentiments?
La jeune femme tourna les talons, mais le garçon pas du tout décourager se posta à nouveau en face d'elle.
- Ou est ce à cause d'un homme. S'il le faut j'y irai lui prouver la véracité de mes paroles...
La jeune femme soupira et tourna à nouveau les talons.
- Ne me suivez pas je vous en prie. Le supplia t elle.
Il la retient pas le poignet.
- Vous ne m'aimez pas?
- Ce n'est pas ça... Vous ne comprenez pas. C'est dangereux de rester près de moi. Vous me rendez la tâche trop difficile et à elle bien trop facile.
- Expliquez moi pour que je puisse vous aidez à vous soulager de ce poids. Afin que nous puissions être enfin réunis ma belle.
La jeune femme soupira de nouveau. Elle vit derrière son jeune prétendant une ombre glisser sur le sol, et elle le tira jusqu'à se trouver avec lui sous la lumière d'un réverbère.
Elle prit le temps de l'observer. Il était beau. Blanc, une mâchoire carré et des trait bien dessiner. Des yeux verts clair la scrutait en retour. La pluie commença à tomber légèrement, puis de plus en plus forte.
- Avez vous une lampe? souffla-t-elle.
Le jeune homme fouilla dans sa besogne et en sortit une lampe à huile. L'ombre se rapprochait d'eux. La jeune femme l'alluma et la positionna près de son compagnon de sorte à faire disparaître toute ombre directement en contacte avec lui. Puis elle s'éloigna d'un mètre environ.
- Ne me suivez pas!
L'ombre était à leur niveau. Elle voulait le jeune homme. Elle voulais le tuer. Peu convaincu, l'homme fit un pas en avant.
- Je vous en prie. Croyez moi et ne bougez pas. Si vous laisser une ombre, elle vous tuera. le supplia la jeune femme.
- Qui?
- L'ombre. Vous n'êtes pas en sécurité avec moi. Elle veut la mort de tout les hommes qui m'approcherait de trop près.
- Est-ce une plaisanterie? il fit un autre pas en avant.
- Arrêter! Je vous en supplie. geint-elle.
Il ne la croyait pas. Il allait mourir et elle le savait. Elle ne pourrait pas le sauver lui aussi.
- Ma dame, allons nous mettre à l'abris, vous allez attraper la mort. Vous tremblez déjà.
Il fit un autre pas. Il était à la limite de l'ombre. Un pas de plus lui serait fatale.
- Quel est votre nom? sanglota-elle.
- Jules Desmarres et vous ma dame êtes Mlle Layne.
- Je vous aurais aimé Jules. Elle fondit en larmes, et cela signa son arrêt de mort.
Il fit un autre pas et arriva dans l'obscurité des ombres. L'ombre assoiffé de son sang, de sa mort fondit sur lui, et l'enveloppa de son corps. Mlle Layne lui tourna le dos tout en continuant de pleurer. Le pauvre Jules ne comprenait pas ce qu'il lui arrivait. L'ombre avait faim. Elle dévorerait jusqu'au dernier des os du jeunes imprudent.
Mlle Layne en avait marre elle n'en pouvait plus. Voir tout ces hommes souffrir à cause de sa malédiction. Elle couru. Elle était trempé jusqu'à l'os mais elle devait les protéger. Elle couru sur les routes pavé, trébucha, tomba. Elle écorcha ses genoux, déchira ses bas, mais se releva et reprit sa course en direction du château sur la colline. Il était abandonné, et elle savait qu'ici, ou personne ne montait jamais, elle serai en sécurité. Elle pourrait les sauver en devenant Hermite et prier pour qu'un jour ce supplice prenne fin. C'était le prix à payer, pour avoir aimé la mauvaise personne. Sa vie contre celle des hommes.
VOUS LISEZ
Scènes [En Correction]
General FictionUne scène, ou peut-être plusieurs qui sait? Scène sans histoire, histoire en scène, unique. Je ne sais pas si vous avez compris, mais dans cette oeuvre, il y aura des scènes ponctuelles. Bonne lecture! 🙃 (Majorité de romance entre hommes.)