Scènes [En Correction]

Quel magnifique vue! (M/M)

Je. Ne. Veux. Plus. Bouger. Je ne veux plus bouger d'où je suis. Je risque la mort. Je sens que je ne suis pas stable sur mes jambes. Je suis fébrile. Est-il partit?

- Louan es-tu toujours là ?

Ma voix aussi est fébrile. Je ne suis plus certain de ce qui m'entoure. Des ombre se mouvent à ma vue. Des bruit de circulation parviennent à mon ouïe. Mais plus aucun signe de présence de Louan. Aucune réponse à ma question.

Étant donner que je suis aveugle, j'ai besoin d'assistance pour me déplacer. Généralement, j'emenne ma canne, mais comme Louan avait proposée une sortit, je me suis laisser guider.

Je commençais à avoir peur. Je ne peux pas me retrouver seul... Je tendit timidement les mains devant moi pour rechercher un corps. Son corps. Deux mains s'agripèrent au mienne.

- Je suis là. Pardon, ne panique pas. Je suis là No.

Je me calmais. Louan me prit dans ses bras et je me laissais aller.

- Je vais te ramener chez toi.

Pourquoi? Je veux rester avec lui. Sentir à nouveau ses lèvres contre les miennes, ses mains caresser mon visage... Il prit ma main et commença à avancer. Je le suivi un peu à contre coeur, mais me concentra sur la chaleur de sa main dans la mienne. Nous avançâmes, nous arrêtons, tournâmes, à droite, à gauche. Puis une fois arriver devant chez moi, Louan me lâcha la main et m'embrassa la joue.

- Louan?

- Oui?

- Est ce que tu peux me décrire?

- Comment ça?

- Je veux me découvrir à travers tes yeux.

Silence radios. Il ne dit plus rien. Je crus qu'il était partit, et que j'étais seule devant chez moi, attendant une réponse qui ne viendrait pas. Mais je ne l'avait pas entendu s'éloigner, or nous étions entourer de gravier qui crisserai forcément sous ses pas. Toujours aucune réponse, je commençais tout de même à me poser des questions.

- Louan?

- Tu es magnifique. De beau yeux bleu quasi vitreux, contraste avec tes cheveux mi long d'un châtain délavé. Tu as de légère tâche de rousseur sous tes yeux, qui te rendent tellement craquant. Et quand tu sourit... Plus rien n'existe appart toi.

Je l'entendit faire crisser le gravier, puis je sentit ses mains se poser de part et d'autre de mon visage. Ses pouces caressais mes joues et chassaient des larmes que je n'avait pas sentit.

- Je te voix comme une magnifique personne qui m'a envoûté par sa beauté. Une personne pareil à aucune que j'ai put rencontrer avant.

Je sentis ses lèvres se poser sur les miennes. J'appréciais grandement. Je crois que je ne pourrai plus m'en passer. Louan se recula et m'embrassa la joue. C'était sa manière de me prévenir qu'il s'en allait.

- Attend.

Plus aucun bruit.

- Que puis je faire pour toi No?

- Reste avec moi. J'ai une place dans mon lit pour toi.

Louan lâcha un petit rire.

- C'est très tentant, mais il faut que je rentre chez moi. A demain No.

La porte s'ouvrit derrière moi.

- Bonjour Louan.

- Bonjour madame. A demain au lycée Noan. Au revoir madame.