Je me réveille en sursaut. Je suis en sueur, paniquer. Où suis-je? Je m'agite dans tout les sens afin de déterminer ce qui m'entoure. Quelqu'un bouge à coté de moi. J'ai peur.
- Calme toi, ce n'est rien. Calme toi Léo.
Je me reculait le plus possible du jeune garçon qui venait d'émerger des draps. Ali. Je me calmais un peu, et Ali s'approcha de moi pour me prendre dans ces bras.
- C'est fini. Je suis là Léo.
Il me serrait fort. Ses mains me pressai contre son torse. Ses boucle châtain me chatouillais le visage. Maladroitement, je mit à mon tour mes main dans son dos. J'appréciais grandement cette étreinte et me laissais aller en fermant les yeux. J'inspire profondément son odeur douce et sucré.
- C'est fini.
Ali se décale de moi et inspecte mon visage de ses magnifique yeux clair. Je ne m'étais pas rendu compte que des larmes dévalaient mon visage, avant qu'Ali ne les essuie avec ses pouces. Délicatement.
- Tu veux me raconter?
J'hochais la tête je reprenais peu à peu mes repère. Je me trouvais dans ma chambre. Le garçon à mes cotés est mon copain. Je me remémore l'affreux cauchemar et secoue la tête pour chasser la vague d'émotion négatif qui revenais. Ce n'était qu'un rêve. Je passe une main sur mon visage comme pour m'assurer que j'étais bien réveillé.
- Désolé. Furent les premiers mots que je sortis.
- Ne t'excuse pas. Ce n'est pas ta faute.
Ali me regardait avec un petit sourire tendre trop mignon. Ce mec est un amour. C'est mon amour. Je passais encore ma main pour essuyer les larmes qui revenait en même temps que le souvenir du cauchemar.
- Eh, tu as besoin de quelques chose?
L'inquiétude s'entendait dans sa voix. Il était assis en tailleur face à moi.
- Non...
Ma voix s'eteingnit sur le sanglot que je ne put retenir. Je pleurai à présent. Je fixai le matelas, j'avais trop honte de me montrer aussi faible, aussi vulnérable. Cela ne m'était jamais arriver devant lui. C'est moi qui soignait ses blessures, et consolais ses pleurs. Mais je suis incapable de me retenir.
- Oh, mon Léo miel...
Ali vint me reprendre dans ses bras pour que je puisse me calmer de nouveau. Il faisait des caresses en cercle dans mon dos, et jouait avec quelque unes de mes mèches noires. J'adore ça. Comme je ne me calmais toujours pas, Ali m'entraîna sur lui. Nous étions à présent allonger sur le lit. Je veux pas qu'il ne me voit plus longtemps dans cet état.
Je me levais et Ali me laissa faire. Il me regarda me rendre dans la salle de bain sans un mot.Je me laissais tomber le long de la porte et entoura mes genoux de mes bras avant de mettre ma tête. Pourquoi je n'arrivais pas à me calmer? Je faisais souvent des cauchemars, j'avais l'habitude. Je me révellais en sursaut et puis allais faire ma vie... Mais pourquoi étais-je dans cet état?
Enfin calmer, je retournais dans la chambre. Ali qui était assis sur le lit contre le mur, releva la tête vers moi. Il ne dit rien. Tout en fixant le sol, je me dirigeais vers lui, et m'allongea, la tête sur ses genoux. J'ouvris les yeux que j'avais fermer pas peur de son regard sur moi. Mais il ne me regardais pas. Il fixait un point sur les draps au delà de mon visage. Une de ses mains se perdit dans mes cheveux. Je refermais me yeux et soupira. Nous restâmes un long moment dans le silence avant que le courage s'empare de moi.
- J'étais dans un lieu sombre, la seul lumière qui était présente se trouvais au dessus de moi. Je me trouvais dans une pièce totalement close. Sans porte ni fenêtre.
Ali posa ses yeux sur moi. On dirait qu'il était totalement vide qu'il ne savait pas comment réagir qu'il s'inquiètait à en faire un blocage. J'ai mal de le voir ainsi. Il m'écoutait attentivement.
- Des cris de douleur se faisaient entendre. Quelqu'un hurlait à la mort, suppliait qu'on le laisse tranquille. Qu'on ne lui fasse plus de mal.
Puis il s'est mit à me dire: ''Attention il arrive pour toi aussi. Fuis, fuis.''
Puis il s'est remit à crier. Et quand je demandais qui arrive je n'obtenait que des cris comme réponse. A un moment donner, une main à traversé le mur. Elle était noir comme immerger dans du charbon. Puis une moitié de visage tout aussi noir. Les yeux ressortait, et une partie de son sourire satisfait. Je le regardais enfin vraiment. J'avais tellement peur.Avec sa main, il essuya mes larmes, alors que l'autre torturait toujours mes cheveux. Et bon sang que j'aimais ça.
- C'est fini maintenant.
Il embrassa le bout de mon nez.
- Je suis désolé.
- Arrête de t'excuser! Tu ne contrôle pas tes rêves!
Je me redressais pour me mettre en face de lui à genoux.
- Regarde moi. Je vais bien je te demande pardon. Je vais bien.
C'était à moi de le rassurer maintenant. Ali apporta une de ses mains et me caressa la joue. Il avait toujours le regard vide. Il s'en voulait, je le sais très bien.
- Tu es super. Je t'aime.
Son regard reprit vie. Et je l'embrassais pacionnément.
- Moi aussi.
Je souris. Et me repositionna la tête sur ses genoux.
- J'adore lorsque tu as ta main dans mes cheveux.
- Je sais... Je serai toujours là pour t'aider quand tu ira mal Léo, ne te cache pas.
Je le regardai. Il avait repris son regard sérieux. C'est donc le fait que je me sois isolé dansa salle de bain pour me calmer qui l'a froissé.
J'hochais la tête, et ses lèvres se posèrent à nouveau sur mes lèvres dans un baiser langoureux.
VOUS LISEZ
Scènes [En Correction]
Ficção GeralUne scène, ou peut-être plusieurs qui sait? Scène sans histoire, histoire en scène, unique. Je ne sais pas si vous avez compris, mais dans cette oeuvre, il y aura des scènes ponctuelles. Bonne lecture! 🙃 (Majorité de romance entre hommes.)