Chroniques : Elle avait dans les yeux, La force du cœur

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Amel : ah bon chez toi ??

Raed : ouais on va boire le thé avec ma darone.

Depuis quand ? Mdrrrr

Amel : ouah ça avance bien entre vous.

Raed : ouais.

J'osais pas le regardé. Je voulais pas savoir se qu'il en pensais. Meme si c'était un mensonge.

Raed : on vous laisse à plus.

Il ma tiré par le bras doucement et on a avancé.

Je trouvais pas de mot. On descendais les marches devant l'entrée quand il ma dis

Raed : il te quittais pas des yeux sa ma zehef. Smeh j'ai inventé un truc.

Moi : tu te fais des films je te l'ai dis plusieurs fois y a vraiment rien entre nous.

Raed : je sais se que je te dis. Putain j'en ai encore les nerfs. Ouais peut-être.

Moi : oublie ça. J'ai fais mdrrr j'ai envie de passé une bonne aprèm.

Raed : ouais. Ta raison. Smeh. Je me prends trop la tête.

Il ma souris.

Raed : tant que tu es la avec moi je suis au max.

Moi : oui.

Je lui ai rendu son sourire et il a pris la route pour le snack on a mangé tranquil et il ma ramené à la maison. Comme prévu. On était pas loin de chez moi quand il ma demandé.

Raed : ta réfléchi un peux.

Moi : ah quoi ?

Raed : a se qu'on officialise entre nous. Moi ça tien toujours.

Moi : ..... avec la fac ça va être dur d'organisé un mariage.

Raed : tu sais au pire on peut se fiancé et se marié après la fac. Si tu veux pas toute suite sauté le pas.

Moi : tu attendrais 3 ans ?

Raed : pourquoi j'attendrais pas ? Si on est fiancé ca me va déjà. Je t'aurais cadnacer

Moi : mdrrrrrrrrrrrrr ah ouais tu pense qua ça la bague sur mon doigts hein. La chaîne a mon pied. Mdrrrrr

Raed : mdrrr normal naan ? C'est ça le but.

Moi : mdrrrrr

J'étais morte de rire et lui aussi. Il savait me détendre. Il a passé ça main sur la mienne.

Raed : je t'accompagne il y a personne jusqu'en bas au moins.

Moi : d'accord oui merci.

Il ma accompagné jusqu'en bas. Et il ma dis avant de partir.

Raed : réfléchis à se que je t'ai dis. Ce fiancé ça serais bien. Pour nous, nos familles. Ca nous ferais avancé dans notre relations.

Moi : je sais. Je vais y pensé.

Il ma souri et je suis monté. Ma mère était pas là j'étais seul. Je me suis posé au salon avec mon tel je regardais la télé.

Je repensais au parole de raed. Il avait raison je devais grandir continué à vivre et pas ressasser le passé sans cesse.

Oui j'aimais yasar. Mais notre amour était impossible. Il était déjà fiancé à une autre. Je devais oublier l'idée qu'on puisse être un jour ensemble.

J'étais plus une enfant pour rêver. Je devais chérir raed. L'aimer sincèrement. Je le devais. Il était bien. Me contenter de ce que j'avais. Et c'était déjà beaucoup.