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Y : heu. Pleure pas je sais pas quoi te dire la.

Moi : merci pour les fleurs tu peux me laissé.

Y : je vais pas te laisser comme ça wesh. Wallah tu me fais trop pensé à ma petite soeur.

Je pleurais, et lui il sait assis sur le fauteuil près de mon lit. Il a sortie son téléphone et il a mis de la musique. C'était du rai sentimentale. C'était une histoire d'amour comme souvent. Ca ma calmé je sais pas pourquoi. J'écoutais la chanson. Je pleurais plus. Elle a duré longtemps et il a finis par dire

Y: quand ma sœur elle pleure je lui mets cette chanson. Mon reup il l'écoutais tous les jours, ça la calme et on dirais ça marche sur toi.

Moi : ouais.

Y : elle y est dans l'ipod que je t'ai laissé.

Moi : je l'ai pas écouté encore.

Y : ouais ta de quoi faire.

Moi : merci.

Y a eu un blanc.

Y : tu veux jouer ?

J'ai regardé dans ces mains il avait ramené un paquet de carte le uno. J'ai pas pu m'empêcher de rigoler.

Moi : mdrr j'ai plus 10 ans

Y: ta quel âge 13 ans ?

Moi : je suis en 5eme. 14. Et toi ?

Y : ouais a un an près. J'ai 20 ans.

J'ai fondu sur place. Je me demandais pourquoi il était là à me propose de joue au uno alors qu'il avait 20 ans. Ca avançais à quoi ?

Moi : c'est toi t'es trop vieux pour jouer à ça.

Y : mdrrrrrr mate sur la boite y a écrit jusqu'à 99 ans je passe nan ?

Moi : mdrrr ... oui. Mais pourquoi tu ferais ça pour moi ?

Y : .... je t'ai dis tu ressemble à ma petite soeur. Je t'ai sauvé normal je prends des nouvelles. Je vois t'es solo je t'aide à passer le temps.

Moi : dis plutôt que t'as pitié de moi

Y : t'es dur avec toi.

Moi: c'est la vérité c'est tout.

Y. : mohim tu veux pas jouer avec moi ? Une partie je te montre qui sais le boss ici.

Je l'ai regardé de travers il était déjà entrain de mélanger les cartes. J'ai rien dis et accepté les cartes qu'il me tendais.

On a commencé à jouer en silence au début et on a fini par discuté de tout a part de nos famille il restais très secret. Et c'est pas moi j'allais lui posé des questions.

Y: c'est que des cheveux. Ca va repoussé.

Moi : c'est facile de dire ça toi avec tes cheveux long.

Lui : mdrrrrr. Ca jalouse ma pecou. Je les coupes je t'en fais une perruque si tu veux.

Moi : ... mdr. Ca se fais pas.

Lui : ça ta fais rire quand même.

Moi : mdrr.

Il avait les cheveux détaché du coup il avait un élasticité autour du poignet ca ma fais rire et il a attaché ces cheveux.

Lui : ta vu je me les attaches comme ça t'es pas dégoûtés quand tu me vois. Qu'est-ce ta tu marre ?

Moi : chepa ça fais bizarre un mec avec un chouchou. Rose en plus.

Lui : mdrrr ta geule c'est ma soeur elle me carotte les miens je me retrouve avec les tout pourris.

Il venais de grimacé en touchant le pansement sur ca tampe.

Moi : ça a l'air grave.

Lui : des points de souture ça tire c'est tout.

Moi : smeh.

Lui : mdr c'est pas toi tu ma cogné c'est pas a toi de t'excuser. T'es ouf toi.

Moi : ....

On a continuer à jouer la partie a la fin il a regardé l'heure sur ça montre.

Lui : ouah le temps il est passer trop vite faut que j'y aille je dois récupérer ma soeur a l'école.

Il a remis ça veste qu'il avait pendu à la chaise, il la lancé un rapide regard en sortant de la chambre

Lui : selem la petite.

Moi : et les cartes ?

Lui : garde les je reviendrais prendre ma revanche !

Et il est sorti de la chambre. .. il était resté près de 3h00 avec moi. Et c'est vrai qu'il m'avait aider à passé le temps.

Il avait réussi à détendre pour quelques heures. J'ai regardé les fleurs qu'il avait ramené elle était superbe ces fleurs.

Quelques jours plus tard je continuais de ne pas manger alors il avait décidé de me mettre un sonde par le nez pour me nourrir.

C'était désagréable et j'avais l'impression que ça affaiblissant bien plus que ça me nourrissais.

Ma mère venais de partir il était tot elle devait préparé mon inscription dans les écoles près de chez ma cousine. Mon frère c'était proposé mais ma mère préférais que je sois avec ma cousine pour qu'on aille dans la même école si possible.

Bref j'étais seule. Il était 17h00 quand on a toquer à ma porte. J'étais trop faible pour pourvoir crier entré.

La porte c'est ouvert c'était Y. Ma mère venais juste de partir.

Y : j'ai eu chaud j'allais faire un scandale en entrant ici 20 secondes avant.

Je lui ai fais un timide sourire. Le sien c'était effacé il sais approché de moi.

Y : y sais passé quoi ? Je te retrouve comme une grand-mère la ?

Il avait un sac cartonné dans la main. Il la posé sur la commode et en a sortie des nouilles chinoise avec des nems et d'autres spécialités.

Y : ca tombe bien j'ai ramené à mangé. Tu vas manger comme un être humain. C'est quoi ça le tube dans ton pif. Eh nan je t'ai pas sauvé pour que tu finisse en légumes.

Moi : nan je veux pas

Y : y a pas de tu veux pas c'est une blague ? C'est un besoin tu comprends pas tu vas mourir si tu continue comme ça.

Il a sorti les baguette chinoise et a ma grand surprise il savait trop bien sen servir

Y : tu ma dis la dernière fois tu craques les nouilles de ***** au centre. C'est celle la. alors mange les.

Je souriais et il la vu

Y : mdr quoi ca t'en bouche un coin je sais manier les baguettes ? Hachik mange. Pense à ta mère wesh.

Il a avancé les pâtes jusqu'à mon visage.

Y : la ta plus 14 ans mais 2 ans. Faut que je fasse l'avion avec les baguettes.

J'ai rigolé et fini par ouvrir la bouche. Il a fais entré les nouilles dans ma bouche.

Mdr j'étais morte de rire mais il avait réussi. Je les avais mangé ces nouilles.

Cette fin d'après midi la, on avait bien rigolé et j'avais bien mangé aussi...

Chroniques : Elle avait dans les yeux, La force du cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant