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Moi : selem pourquoi t'es venu aussi près.

Raed : ben avec ta jambe je vais pas te faire marcher tranquille j'ai regardé si y avais personne sinon je serais pas venu jusque la.

Moi : hmm.

Il a démarré, et il sait garer dans une rue plus loin. Il a éteint le moteur. Il avait l'air fatigué

Raed : pour hier je suis désolé mais. Je croyais vraiment y avais un truc entre vous. J'ai pété un plombs. J'aurais pas dû faire pression en disant je vais balance à ta soeur. Ca se faisait pas.

Moi : ouais c'est sur. Que ça ma refroidis. Je vais pas te mentir.

Raed : yasar ma dis il te vois comme une petite reus rien de plus. Qu'il aimait une femme.

J'avais ressentie des picotements dans ma poitrine. Il aimait une femme. Ce beau mensonge.

Moi : temps mieu si ça repar avec amel.

Raed : c'est pas le prénom quil ma dis.

Moi : je veux pas entendre plus je suis l'amie d'amel je peux pas savoir sinon je devrais lui dire.

Raed : je pense qu'il va le faire lui-même.

Moi : ah. Bon ben. C'est pas mes affaires.

J'avais envie de fondre en larme mais je me retenais comme pas possible.

Raed : ouais.... et nous on en ai ou ? Je veux pas te forcer.

Moi : on fais comme on a dis on se donne du temps.

Raed : ok c'est bien yasar ma dis il te parlerais plus. Fais de même ok ? .

Moi : oui. ..

Il en soupiré en souriant. Sayais finalement son stress s'évacuait.

Raed : ça me manque nos délires. Essaye de t'ouvrir à moi un peu plus.

Moi : oui c'est l'accident la fac les fiançailles. Je suis pas bien.

Raed : et moi je te prend la tête comme un con.

Moi : c'est pas grave.

Raed : fallais qu'on ai notre première dispute.

Moi : oui.

Raed : ça va ça a pas été trop fort. Mdrr

Moi : mdrrr. Je peux pas resté longtemps tu sais avec les plâtres et tout ma mère est sur mon dos.

Raed : ouais normal je comprends. Je te laisse remonter. Je t'accompagne.

Moi : ça crin trop t'inquiète je monte doucement.

Raed : ouais ok.

Je suis sorti de la voiture et commencé à monter dans mon bloc. Mais arrivé dans le hall je me suis fais applaudir ca ma fais flipper ma race.

J'ai sursauté à en faire tomber une béquille. J'ai regardé c'était yasar. J'ai choqué

Moi : putain tu m'as fais peur. Tu fous quoi ici !

Il sait pencher pour ramasser ma béquille il me la tendu plongeant ces yeux dans les miens.

Yasar : prendre de tes nouvelles une dernière fois. J'étais mal parce que tu avais pleuré mais je vois que tu as vite été réconforter.

Moi : je vais bien merci adieu !

Yasar : tu vas trop me regretté tu sais ça.

Moi : adieu !

Chroniques : Elle avait dans les yeux, La force du cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant