Chroniques : Elle avait dans les yeux, La force du cœur

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Elle a regardé par la fenêtre et l'avait même ouverte. A ce moment la je me souviens avoir arrêter de respirer et fermé fort les yeux quelques secondes.

Voyant qu'elle ne disais rien. J'ai compris qu'il n'y était plus. Et j'ai pu relâcher le stress que j'avais accumulé jusqu'à la.

Mounia : aller bien te coucher tu papoteras avec lui demain.

Moi : ouais.

Elle ma tendu la main et je l'ai saisie elle a regardé par dessus mon épaule.

Mounia : oublie pas ton téléphone. Je vois l'écran il s'allume. Il peut deja plus se passé de toi.

Mon coeur sait mis à palpiter et je me suis jeté sur mon portable en panique qu'elle reconnaisse le numéro. Je l'ai vite éteint et laissé dans ma main. Elle devait me trouver trop bizarre. J'avais honte de lui mentir. Mais j'étais toujours pas prête à lui faire face au sujet de yasar.

J'avais honte. Comment lui dire. On sais recouché enssemble au lit. Et j'ai pu lire les messages en baissant la luminosité de mon écran. Je m'étais quand même mis sous la couverture pour pouvoir lui répondre.

Yasar : je me suis foulé la cheville de ta faute ! T'es sans pitier, toi. Tu ma tej de la fenêtre ! Mdrr je m'en souviendrais de celle la!

Yasar : ta mon pull ? Mdrrrrrr je suis mort.

Moi : heureusement t'es vite partie ma sœur a regardé par la fenêtre. Mdr oui j'ai ton pull.

Yasar : faudra tu me le rend en discret !

Moi : je peux le laissé chez amel pas trikar en vrai y a plein d'affaire à toi chez elle.

Yasar : ouais ta raison. Ca te fais quoi de voir mes affaires chez amel ? Ca te fais mal ?

Moi : mdrr c'est quoi ces questions relou.

Yasar : tes une grosse gamine wAllah. Assume wesh.

Moi : bien sur c'est moi !

Yasar : tu rend ouf je te jure. Pourquoi t'es dans ma tête comme ça hein ?

Moi : je me pose les mêmes questions...

Yasar : j'ai essayé de te zappé. Tah sah j'ai essayé mais je peux pas.

Moi : pourquoi tu te marie avec amel alors ?

Yasar : parce que j'ai plus 20 ans. Je veux plus. Tu comprends ? je veux le mariage, la maison les enfants je veux tout.

J'avais le cœur qui battais fort. Ça faisait longtemps qu'on avait parlé comme ça qu'il était si honnête envers moi. Ça m'avait mise mal à l'aise.. tant de vérité.

Moi : ah ouais ta plus le temps.

Lui : eh non petite.

Petite ? Sous entendu que j'étais trop jeune pour son projet ? J'ai commencé à y pensé sérieusement. C'est vrai que je me serais bien vu à la place d'amel lors de leurs fiançailles.

Mon cœur s'emballait seulement quand lui me regardais et me parlais. Avec personne d'autre j'avais ressentie ça.

Lui : ta vu. Moi je m'endors pas aussi facilement quand je parle sérieux comme ça.

Moi : je dors pas. Je réfléchissais

Lui : à quoi ?

Moi : à toi.

Lui : zehma arrête de me faire tourné en rond.

C'est vrai. Il pouvait se sentir perdu. Même moi je me perdais moi-même.