Unconscious

Dans la cellule

(média : imaginez Mena à la place de Frigga)

PDV Thor

Je n'arrive pas à faire entendre raison à Loki, et ça a encore le don de m'agacer malgré que je me sois ouvert aux autres. Loki a toujours eu le don de m'énerver au plus au point. Cela fait une semaine que je ne suis plus aller le voir, et je m'en veux, même si pour lui, à mon avis. mon absence de l'infecte pas. Il a toujours été très solitaire, mais je pense que de rester dans une cellule le restant de sa vie, va le détruire d'autant plus, surtout sans visite.

A moins que quelqu'un vienne le voir discrètement ? Il va falloir que je sache si c'est le cas. Si oui, il faudrait que je rencontre cette personne et que je lui parle...

PDV Odin

Depuis que Loki est en prison, Frigga ne cesse de me parler d'un possible changement dans mon jugement. Matin, midi, et soir elle m'en parle, je commence à être à bout de patience avec cette histoire.

Frigga : S'il te plaît écoute moi enfin !

Odin : Pour la dernière fois, c'est non ! Rien ne changera pour lui, il n'aura aucune grâce de ma part ; aucune sortie, même sous surveillance, aucune visite de ta part également, rien !

Frigga : Tu traites ton fils comme un animal.

Odin : Il a agit comme un animal ! Tuant des dizaines de personnes innocentes, voulant dominer les hommes sur Midgard ; il n'est rien d'autre qu'un animal sauvage Frigga. Il n'a pas sut quoi dire pour se défendre. Je ne reviendrai pas sur ma décision.

PDV Loki

Une semaine que Thor ne vient plus, que les gardes ne cessent pas de bouger dans tout les sens comme des imbéciles. Ils me donne le tournis à force. J'ai déjà lut la moitié des livres que mère m'a amené, je commence sérieusement à perdre patience et à m'ennuyer. Et l'ennui et le pire ennemi de tout être dans l'Univers.

La petite espionne essaye bien tant que de mal de trouver une autre solution pour qu'on puisse discuter tranquillement sans avoir à être coupé par ses gardes. Des pas rapide se font entendre, devant Mena essoufflée arrive en courant avec un passe dans la main. Elle ouvre la cellule et la referme immédiatement.

Mena : A vous, de... faire votre... partie... du marché... mon... seigneur. Me dit-elle essoufflée

Moi : Et pourquoi je le ferai ?

Mena : Parce que je vais être sortie de force, et je ne pourrais plus revenir. Et vous serez dans de pire condition.

Moi : Pas si je dit que tu es là pour me tuer. Seulement toi, tu auras des problèmes.

Les gardes s'approchent, Mena commence à paniquer, je le vois à ses mains qui tremblent sa respiration de plus en plus forte et le visage crispé par la peur. Les gardes arrivent devant la cellule, nous regarde, et repart. Mena se retourne vers moi, je ris à plein poumons en voyant sa réaction.

Mena : Vous m'avez menti !

Moi : Évidemment. Il fallait bien que je me détende en te faisant croire que je te donnerai aux soldats. C'est un divertissement très plaisant, dommage que tu sois la seule à venir me voir. Viens t'assoir.

Je m'assois sur mon fauteuil et serre de verre de vin. Mena s'assoit toujours sur ses gardes sur l'autre fauteuil. Elle cache le passe pour pas que je ne puisse pas m'échapper.

Moi : Vue où tu le mets, ça ne m'empêchera pas d'aller le chercher. Dis-je en regardant sa main ressortir de son décolleter

Mena : Je pourrais toujours me défendre, d'une façon où d'une autre. Et puis, il suffit que je cris et les gardes rappliqueront.

Moi : Qu'elle est très futée. Tu n'as pas tord. Allons parlons, tu es là pour ça à la base.

Mena : Vous voulez parler de quoi Mon seigneur ?

Moi : De qu'elle famille viens-tu ? Je voudrais en savoir plus sur toi.

Mena : Je vous intéresse à ce point ?

Moi : Une fille paysanne ne pourrait pas avoir un frère dans la garde royale, encore moins laisser sa petite sœur sauvage se balader dans le palais. Alors je t'écoute ?

Mena : Elle fait tourner son verre dans les mains la tête basse. Je viens de la famille Merston, mon frère ne porte pas le même nom. Il se nomme Fits Gareson, il porte le nom de mon père qui est mort il y a 14 ans. Il a été admit à la garde royale pour rendre hommage au sacrifice héroïque de père durant la bataille face aux Géants de Feu sur Muspelheim. Comme vous l'avez soulignez, je ne viens pas d'une famille de paysan, mais je ne viens pas d'une famille de noble non plus. Je suis une simple Bourgeoise.

Moi : Hum. Intéressant. Pour une simple bourgeoise tu es très intéressante à écouter.

Mena : A votre tour mon seigneur. Il est vrai que le Tesseract est dans la salle des trésor d'Odin ?

Moi : Tu comptes le voler ?

Mena : Non simple curiosité. De toute façon la salle est très bien protégée.

Moi : Pas temps que ça. Murmurais-je. Il est vrai, mais il y a différentes solutions pour passer entre leur tours de surveillance.

Mena : Oh je suis curieuse de l'entendre de vous.

Moi : N'y comptes pas. Je ne dirai rien de mes petits passages secrets.