Ton nom ?

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PDV Extérieur

Voilà une semaine que le dieu de la malice, Loki, est enfermé dans les prisons à vie. Une semaine que Thor souhaite renoué d'une façon où d'une autre avec son frère. Une semaine que Loki se pose la question au sujet de cette mystérieuse femme, a qui il a parlait la veille, et qui disparaît à la venue de gardes. Une semaine que Frigga, essaye désespérément de raisonner Odin au sujet de la peine du dieu déchu.

Mais ce dernier ne veut rien entendre, et encore moins que son épouse le remette en question, pour un rien. Il sait parfaitement que si il change son jugement, son pouvoir auprès du peuple sera remit en question, surtout si Frigga en est la cause. Même si le peuple sait parfaitement que la Reine a tendance à adoucir les humeurs et les choix d'Odin, ils ne s'attendent pas qu'elle puisse renverser le jugement d'Odin, le père de toute chose.

La Reine se résout donc à s'y prendre autrement avec Odin. Ne plus lui parlait de cette affaire directement, mais indirectement serait probablement meilleur.

Thor se charge des guerres qui éclatent dans les neufs royaumes, suite aux désastres que Loki a fait, et suite à la nouvelle que le dieu de la malice n'est en rien Asgardien, mais un prince Jötuns emprisonné sur Asgard au bon vouloir d'Odin.

PDV Loki

Qu'elle mystérieuse Asgardienne... Je n'ai même pas eu le temps d'entendre son nom qu'elle est reparti aussi vite qu'elle est arrivée. Une semaine que je me demande ce qu'elle fiche ici ? Pourquoi ? Comment elle se nomme ? Et pourquoi me prêter autant d'attention. Moi ? Le dieu déchu, de la malice ? Un régicide, un faux Asgardien. Un Jötuns d'autant plus. Je ne suis pas animal de foire, désolé pour elle, les marchés sont plus loin, pas ici.

Je fais les cents pas en long, en large en travers, faisant de temps en temps des cercle, et autre formes géométriques qui me passe par la tête à ce moment. Quand un toussotement me fais arrêter, je suis encore une fois dos à la vitre. Je me retourne avec un sourire aux lèvres, comme je sais les faire. La voilà ; dans la même robe qu'hier soir. Je m'avance intrigué par elle, de plus en plus intrigué...

Moi : Revoilà cette mystérieuse ombre dans la nuit.

"Oui mon seigneur"

Moi : Que viens-tu faire dans les prisons ? Aussi souvent ?

"Mon frère est un garde du palais. Il m'autorise d'aller et venir comme bon me semble. Et les prisons sont un endroits ou peu aime aller." Me dit-elle en me regardant de temps en temps dans les yeux.

Moi : Il doit être haut gradé, pour qu'on autorise des membres de la famille d'un garde de venir au palais. N'est-ce-pas ?

"Oui mon seigneur. Il est un garde royale précisément".

Moi : Quel est ton nom ?

"Pardon mon seigneur ?"

Moi : Ton nom ?

"Heum... je ne pense pas que cela vous intéresse mon seigneur... Elle baisse les yeux au sol, peu après elle me regarde de nouveau voyant que je ne disais rien et que je l'observais attentivement. Je m'appelle Mena mon seigneur"

Moi : Mena. Mémoire en vieux Asgardien il me semble.  Pourquoi t'avoir doté d'un nom pareil ?

Mena : Je suis très observatrice et j'ai une excellente mémoire, des gens, des évènements.

Moi : Pourquoi tu viens à chaque fois vers moi Mena ?

Mena : Vous m'intriguez mon seigneur.

Moi : Oh. J'intéresse une jeune femme, j'en suis flatté. Et pourquoi ça ?

Mena : Vous êtes en prison pour une attaque sur Midgard. Je me pose la question de pourquoi avoir fait ça ?

Moi : Tu vas pouvoir te poser la question encore un moment. Parce que moi-même je n'en sais rien chère Mena.

Mena : Je sais faire preuve de patience. Elle tourne son regard sur sa gauche et reviens face à moi. Je dois vous laisser mon seigneur.

Moi : Pourquoi dont ? Tu es autorisée il me semble ?

Mena : Pas dans les prisons. Au revoir mon seigneur.

Ça me déchire de lui dire, ma fierté en prend un coup ainsi que mon égo. Mais je ressens le besoin de lui dire.

Moi : Mena. Elle se retourne et s'arrête dans sa marche pour me regarder. Pourrais-tu venir plus souvent ? J'aimerai avoir de la compagnie. Une vie ici est très ennuyeuse sans avoir quelqu'un avec qui parler.

Mena : Bien sûr mon seigneur.

Elle repart en me laissant un sourire timide, elle court en dehors des prisons. Par la suite des gardes courent après elle.

Coucou les choux !

Désolé ce chapitre est un peu plus court que les autres. mais j'avais plus beaucoup d'inspiration pour celui-ci. Si je continuais j'aurais révélais un peu les suivants, et désolé mais je ne voulais pas vous gâcher la suite les amis.

Alors comme ça, Mena n'a pas le droit d'aller dans les prisons, et pourtant, elle y va. Coriace la jeune femme.

Allez zoub à vous les choux, prenez soin de vous surtout ! 😘😘😘

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